Cycle sexuel de la femelle – Chez les chevaux domestiques, la détection des chaleurs se fait le plus souvent par le passage de la barre, en utilisant un étalon souffleur ou, La jument est immobilisée dans la barre de soufflage. La personne qui tient la jument passe la longe dans un anneau et se place de manière à éviter les coups d’antérieurs.
L’étalonnier amène l’étalon perpendiculaire à la barre, à hauteur de la tête ou du garrot, en se plaçant entre l’étalon et l’arrière, et à observer les réactions de la jument. Les deux chevaux prennent contact en se flairant, puis l’étalon va mordiller le garrot ou l’encolure de la jument, avant d’aller renifler l’arrière main.
Il faut prendre son temps si l’on veut avoir le maximum de chance de détecter toutes les juments, car certaines peuvent être longues à se déclarer. Se méfier également des juments suitées, chez laquelle la présence du poulain peut être inhibitrice. Mais il existe d’autres méthodes.
La détection des chaleurs peut commencer dès le mois de février si la jument a subi une photo-stimulation. La détection des chaleurs doit être régulières et de préférence avoir lieu tous les 2 ou 3 jours (Un écart de 5 jours semble un maximum). Après la fin des chaleurs, il est conseillé de repasser la jument à la barre au bout de 10 jours pour ne pas être surpris par des juments dont le cycle est raccourci.
L’ permet de suivre la croissance des follicules sur les ovaires, et de prédire en partie la croissance des follicules. Les plus gros follicules ont en général 20 mm de diamètres au début des chaleurs et n’évoluent généralement pas avant d’avoir atteint un diamètre de 35 a 40 mm.
Il faut se rappeler toutefois que : – En début de saison les follicules grossissent généralement beaucoup plus ; – Des vagues de croissance folliculaire suivies d’ovulation peuvent avoir lieu en dehors des chaleurs : il est donc déconseillé d’inséminer à ce moment Le suivi ovarien est l’occasion d’effectuer un examen de l’ensemble de l’appareil génital, et notamment de l’utérus, afin de noter la présence éventuelle de kystes utérins, de liquide inflammatoire.
L’échographie peut permettre de détecter des chaleurs. Pendant les chaleurs, l’utérus présente une image particulière dite en “quartier d’orange”.
Contents
- 1 Comment le cheval fait le rapport sexuel ?
- 2 Pourquoi bander les jambes des chevaux ?
- 3 Comment traire une jument ?
- 4 Comment se reproduit une mule ?
- 5 Pourquoi un cheval lève ses lèvres ?
- 6 Pourquoi les chevaux se mordillent ?
- 7 Quel est l’organe qui permet l’accouplement chez la femme ?
- 8 C’est quoi position à cheval ?
- 9 Pourquoi faire coudre la vulve d’une jument ?
Comment le cheval fait le rapport sexuel ?
Saison des amours – Elle débute au printemps car les chevaux sont sensibles à l’allongement de la durée des jours. En effet, la lumière stimule la sécrétion de certaines hormones. Lorsqu’une femelle est en chaleur, elle émet ce que l’on appelle des phéromones détectables par un mâle à plusieurs kilomètres de distance.
Celui-ci retrousse en général sa lèvre supérieure dans une grimace caractéristique appelée ” flehmen “. En présence de la jument, il commence sa cour : naseaux dilatés, oreilles dressées, tête levée, portant sa queue en panache. Il émet de petits hennissements brefs, lui tourne autour et vient, latéralement pour éviter les coups, la renifler et lui mordiller la croupe et les flancs.
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Comment accoupler une jument ?
Comment se déroule la saillie? L’étalon est conduit à la longe vers la jument (d’où le nom de monte « en main ») et est laissé la flairer. Une fois en érection complète, il la chevauche et introduit sa verge dans le vagin de la jument.
Comment sortir le zizi d’un cheval ?
Faire défourailler le cheval Entrez votre main gantée et couverte de savon dans le fourreau, allez au fond pour saisir le gland, délicatement, et exercez une traction douce et constante pour tirer la verge hors du fourreau.
Pourquoi bander les jambes des chevaux ?
Bandes et sous-bandages – Les bandes peuvent être utilisées aussi bien pour protéger les membres de son cheval que pour la régénération après une blessure. Elles permettent également de garder les membres au chaud, ce qui peut être particulièrement bénéfique pour les chevaux âgés.
- En dressage, des bandes de couleur assorties complètent l’équipement du cheval.
- Toutefois, elles ne protègent pas aussi efficacement le membre des blessures que les guêtres à coque rigide.
- Attention : mettre des bandes s’apprend ! Si la bande est trop serrée, elle peut bloquer gravement le flux lymphatique du cheval, de sorte que les toxines ne peuvent pas être éliminées.
En conséquence, les blessures existantes guérissent plus lentement et les tendons et les ligaments deviennent plus sensibles, ce qui peut à son tour favoriser de nouvelles blessures. Donc ne pas laisser de bandages sur le membre du cheval plus longtemps que nécessaire, par exemple pour monter à cheval.
- Des exceptions sont prévues lorsque le vétérinaire l’exige expressément, par exemple en soignant une lésion tendineuse au moyen d’un bandage.
- Pour le bandage, il est préférable d’utiliser des bandes polaires qui ne sont que partiellement élastiques, ce qui évite de les serrer trop fort.
- Les bandages élastiques ne sont pas du tout adaptés, car ils risquent d’être trop serrés et d’endommager le tissu sous-jacent.
Voici comment mettre correctement les bandes, de sorte que les bandages soient bénéfiques :
Toujours utiliser un sous-bandages qui égalise les points de pression de la bande.Le sous-bandages et la bande doivent être posés sans plis sur le membre du cheval.Enrouler de haut en bas et de l’extérieur vers l’intérieur en descendent.
Les tours des bandages doivent se chevaucher d’environ 3 cmArrivé à la moitié du boulet, enrouler du bas vers le haut. Maintenant, les intervalles entre les différents tours peuvent être plus grands.La bande se ferme correctement lorsque l’extrémité du velcro se trouve à l’extérieur en haut.Idéalement, le bandage se termine juste sous l’articulation carpienne ou l’articulation du genoux.
Comment se passe l’accouplement chez l’homme ?
Quelques particularités de la reproduction dans l’espèce humaine – L’espèce humaine est une espèce animale qui appartient aux mammifères. À ce titre, elle partage avec les autres mammifères certaines caractéristiques générales de la reproduction, comme la viviparité, l’existence d’un placenta et l’allaitement des jeunes.
- Avec les autres primates, en particulier les grands singes qui sont nos plus proches parents sur le plan de l’évolution, elle partage d’autres caractéristiques telles qu’une durée de gestation et de soins aux jeunes relativement longues.
- Toutefois, la reproduction humaine présente aussi des caractéristiques uniques : contrairement à celles des autres mammifères, les périodes de fécondité de la femme s’étendent tout au long de l’année et, contrairement à celles des autres primates, ne se révèlent par aucun signe extérieur.
D’autres particularités sont liées au développement du psychisme et de la culture. C’est ainsi que l’espèce humaine est la seule qui s’isole lors de l’accouplement. En outre, l’attraction sexuelle, le plaisir et la procréation, phénomènes étroitement liés chez les autres mammifères, peuvent être dissociés dans notre espèce.
Cette dissociation a été rendue très efficace par les progrès scientifiques qui ont conduit notamment à la contraception, ensemble des techniques permettant des relations sexuelles sans finalité reproductrice, et à la procréation médicalement assistée, ensemble des techniques permettant la reproduction sans relations sexuelles.
: Biologie humaine : fonctions de reproduction
Comment traire une jument ?
Pour la traite, il est primordial que les juments soient suitées, autrement dit qu’elles aient un poulain. C’est une étape délicate qui comporte de nombreuses difficultés, car contrairement aux vaches, les chevaux ne sont pas élevés pour la production de lait : leur capacité de production est assez réduite.
Et comment ces juments si rustiques et présumées sauvages peuvent-elles se laisser traire et donner leur lait ? La confiance en est la clé ! En effet, la traite demande beaucoup de doigté et une relation de sincérité entre la jument et la personne qui trait. Les juments sont des animaux très sensibles, la moindre perturbation de l’environnement ou l’absence du poulain peut provoquer un tarissement en seulement quelques jours.
Les conditions d’élevage et les soins qui sont apportés aux juments résument le facteur primaire pour la production de lait de bonne qualité. L’élevage naturel en troupeau est donc préconisé : c’est en effet le mode de vie qui correspond le mieux aux besoins de ces chevaux.
Ces juments aux robes de sel et aux crins de lin ne sont donc pas enfermées lors de la traite. Elles restent dehors, à l’ombre des arbres, ou sous les rayons du soleil, un brin de vent soupirant sur elles, ce sont elles qui choisissent. Mais elles doivent toujours garder ce sentiment de liberté. Les poulains sont séparés dans un parc non loin, mais restent proches de leurs mères.
Ils peuvent se voir, se sentir, s’appeler, galoper. Les poulinières s’exposent à deux traites dans la journée (toutes les 3 heures), une après l’autre où un seau d’orge les attend, ainsi, la relation propre entre la jument et la personne qui trait est fixée.
- Les mères seront ensuite relâchées avec leurs poulains jusqu’au lendemain.
- Pour nous, le poulain reste le consommateur prioritaire du lait.
- La traite des juments, qui s’effectue à la main, ne commencera que lorsque les poulains auront deux mois, autrement dit lorsqu’ils auront l’âge de se nourrir d’eux même.
Les juments seront alors traies pendant 6 mois environ.
Comment se reproduit une mule ?
Le stérile mulet se reproduit par publié le 30 mai 2003 à 23h12 Un horizon vertigineux s’ouvre au mulet : celui de la reproduction. Issu du croisement d’un âne et d’une jument, le mulet est stérile, comme de nombreux hybrides interespèces. Ses cellules possèdent un nombre impair de chromosomes (63), caractère rédhibitoire pour les appariements chromosomiques qui préludent au développement de l’embryon (1).
- Mais voilà que le biologiste Gordon Woods (université de l’Idaho, Etats-Unis) et ses collègues annoncent aujourd’hui dans Science la naissance, le 4 mai, d’Idaho, un mulet obtenu par clonage.
- Certes, Idaho Gem n’est pas le clone d’un mulet adulte, à l’instar de Dolly qui était la copie d’une brebis âgée d’une dizaine d’années.
Il est le clone d’un foetus de 45 jours. Il n’empêche, la performance est là : Idaho Gem est le premier mulet jamais sorti des entrailles d’une mule. Digne émule de Dolly, il est issu d’une cellule ordinaire, déjà différenciée, prélevée sur le sus-dit foetus de mulet, et introduite dans un ovule de mule préalablement vidé de ses propres chromosomes.
Le mulet rejoint donc le bestiaire du clonage qui compte déjà des ovins, des caprins, des bovins, des rats et des souris, et un chat. Mais c’est la première espèce stérile à avoir une descendance grâce à cette technique de procréation sans croisement sexué. Quelles perspectives est susceptible d’ouvrir cette première ? On peut douter que le clonage devienne une technique d’avenir pour la reproduction du mulet, espèce aujourd’hui fort peu courtisée.
Mais les chercheurs visent un autre marché : Idaho Gem est le premier représentant du genre équin à passer avec succès l’épreuve du clonage. Aucun clone de cheval n’est né, à ce jour, toutes les tentatives se soldant par des échecs. Idaho Gem ravive donc l’espoir de répliquer un jour des étalons qui valent de l’or.
Quelle taille fait le zizi du cheval ?
Le pénis a une longueur totale de 50 cm, dont 20 cm libres. Il comporte un processus urétral de 3 cm de long en moyenne (Nicolich, 1989).
Pourquoi un cheval lève ses lèvres ?
Qu’est ce que le flehmen ? – Le flehmen est une attitude caractéristique des équidés et de quelques mammifères. Lorsque le cheval étend son encolure vers le haut et l’avant et qu’il lève sa lèvre supérieure (parfois celle du bas également), c’est le flehmen. Cela lui sert à détecter les odeurs ainsi que les phéromones grâce à un organe situé sous le palais.
Pourquoi ne jamais se mettre derrière un cheval ?
Derrière un cheval : attention aux coups de pied et aux ruades – Un cheval peut donner un coup de pied avec un de ses postérieurs, c’est même le geste d’agression le plus fréquent chez les chevaux. Lors d’un coup de pied, le cheval garde les 3 autres membres au sol, alors que lors d’une ruade, le cheval soulève sa croupe et ses deux postérieurs, et frappe souvent des deux sabots postérieurs.
Pourquoi les chevaux se mordillent ?
L’ORIGINE DU COMPORTEMENT DU CHEVAL QUI MORD – L’acte de mordre chez le cheval, est un comportement naturel que l’on retrouve régulièrement dans son rapport avec ses congénères et avec son environnement, soit pendant « l’allo-grooming », qui est une action pour les équidés, de se toiletter, mordiller mutuellement, soit pour exprimer les différents stades hiérarchiques mais aussi pour mettre en exergue un mécontentement ou un conflit.
Pourquoi on se met à gauche d’un cheval ?
Au Moyen-Âge, les chevaliers, majoritairement droitiers, portaient leur épée sur le côté gauche, afin de pouvoir la saisir rapidement en cas de besoin. Ils se mettaient donc en selle, montant par le côté gauche du cheval, pour ne pas être gênés. Cette tradition aurait traversé les siècles et perduré jusqu’à nos jours.
Pourquoi l’homme se fait-il aider par le cheval ?
Le bien être mental – La pratique de l’équitation est le meilleur moyen pour s’évader du quotidien. On partage un moment avec cet animal majestueux. Il faut rester concentré, retenir des parcours et des reprises de dressage. De plus, à cheval, il faut penser à rester droit, à utiliser les bonnes foulées en fonction de la main droite ou la main gauche en carrière, regarder où l’on va avant de tourner, bien accompagner l’allure du cheval, garder les talons vers le bas.
De plus, la communauté pratiquant l’équitation est très soudée, les clubs équestres peuvent créer des amitiés et rapprocher les gens autour d’une seule et même passion. Cet intérêt commun permet également de partager de bons moments. Hormis les bienfaits du cheval à travers l’équitation, la relation unique avec cet animal peut également avoir des conséquences positives sur l’homme.
Le lien crée est très fort et il est prouvé que le cheval ressent l’empathie. Contrairement aux hommes, même s’il ne comprend pas, le cheval sait écouter. Il ressent les émotions et adapte alors son comportement en fonction de celles-ci. Certaines thérapies existent pour soulager les déceptions par exemple car une relation avec un animal est toujours plus fidèle qu’avec un humain.
Quel est l’organe qui permet l’accouplement chez la femme ?
Fonctionnement de l’appareil reproducteur féminin > 5eme, 4eme, 3eme > > Fonctionnement de l’appareil reproducteur féminin > 5eme, 4eme, 3eme > > Fonctionnement de l’appareil reproducteur féminin Les règles et l’ovulation, phénomènes cycliques, apparaissent chez la fille à la puberté, et durent jusqu’à la ménopause. Elles marquent le début du fonctionnement de l’appareil génital féminin. Celui-ci manifeste plusieurs changements cycliques. D’où proviennent les ovules ? Quel trajet suivent-ils dans l’appareil reproducteur féminin ? Quelle est l’origine des règles ? Comment les cycles sexuels de la femme se déroulent-ils ? 1. Constitution de l’appareil génital féminin L’appareil génital de la femme comprend des organes qui sont presque tous invisibles : – deux ovaires, glandes génitales produisant les ovules ; – deux trompes conduisant les ovules vers l’utérus ; – l’ utérus, organe de nidification et de gestation ; – le vagin, organe d’accouplement ; – la vulve, entourée de grandes et de petites lèvres, qui sont des replis de la peau, visibles à l’extérieur.
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Doc.1 : L’appareil génital féminin. |
2. Fonctionnement cyclique de l’ovaire : le cycle ovarien À partir de la puberté, l’appareil reproducteur féminin se met à fonctionner. Les ovaires produisent, en alternance, un ovule par mois. La taille d’un ovule est environ 30 fois supérieure à celle d’un spermatozoïde.
Doc.3 : Ovaire et évolution des follicules contenant les ovules. |
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L’ovaire est une glande formée de follicules, de taille et d’âges différents, et contenant chacun un ovule. Il fonctionne de façon cyclique. Le début des règles correspond au départ d’un nouveau cycle de l’ovaire. À chaque cycle, un nouveau follicule mûrit.
Sa maturation correspond à la première phase du cycle ovarien. Au 14 e jour du cycle, le follicule se rompt et laisse échapper l’ovule dans le pavillon de la trompe : c’est l’ ovulation, Le reste du follicule va se transformer en corps jaune qui se détruira le 29 e jour en l’absence de fécondation. C’est le début des règles et du cycle ovarien suivant.
À ce moment, un autre follicule se développe.
Doc.5 : Le cycle ovarien. |
L’ovulation s’accompagne d’autres phénomènes cycliques tels que des variations de température corporelle et des variations dans la production du mucus au niveau du col de l’utérus, donnant ce que l’on appelle les pertes blanches,
Doc.6. Variations de la muqueuse utérine au cours du cycle utérin. |
3. Fonctionnement cyclique de l’utérus : le cycle utérin L’utérus fonctionne de façon cyclique. L’épaisseur de la paroi interne de l’utérus, appelé endomètre, varie et s’enrichit périodiquement de vaisseaux sanguins permettant d’accueillir une cellule-œuf s’il y a eu fécondation.
L’ovulation a lieu en moyenne le 14 e jour du cycle. À partir de ce jour, et en absence de fécondation, l’endomètre continue à s’épaissir et à se vasculariser jusqu’au 28 e jour, veille du 1 er jour des règles. Les règles sont constituées de l’ensemble des membranes gorgées de vaisseaux sanguins qui tapissaient l’endomètre.
Dès que l’endomètre a retrouvé son état initial, au bout de 5 jours environ, il développe à nouveau un réseau de vaisseaux sanguins jusqu’au 28 e jour. Lorsqu’il n’y a pas de fécondation et que la femme n’est pas enceinte, les règles se répètent à cadences régulières, c’est-à-dire à chaque cycle ovulaire.
Chaque période limitée par les règles constitue un cycle qui commence le premier jour des règles et s’achève la veille des règles suivantes. Ce cycle dure en moyenne 28 jours, le premier jour des règles étant naturellement le premier jour du cycle. Les règles expriment extérieurement le fonctionnement cyclique et synchronisé de l’ovaire et l’utérus.
Elles marquent le début de la puberté féminine.
Doc.6 : Variations de la muqueuse utérine au cours du cycle utérin. |
Le cycle de l’utérus comprend trois phases : la phase pré-ovulaire, la phase de l’ovulation et la phase post-ovulaire, L’appareil génital de la femme comporte deux ovaires, des voies génitales et une vulve visible, Il fonctionne de façon cyclique de la puberté à la ménopause,
Les ovaires produisent des ovules enfermés dans des follicules, À chaque cycle ovarien, un des deux ovaires émet un ovule qui est expulsé dans le pavillon de la trompe où il est susceptible de rencontrer un spermatozoïde. En absence de fécondation, ce gamète est détruit, Le cycle utérin s’ajuste au cycle ovarien par l’intermédiaire des hormones ovariennes véhiculées par le sang.
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Comment se reproduire seul ?
Plusieurs espèces d’animaux concernées – La parthénogenèse est courante chez les petits invertébrés tels que les abeilles, les guêpes, les fourmis et les pucerons, qui alternent entre reproduction sexuée et reproduction asexuée, mais l’on trouve des cas de parthénogenèse chez d’autres espèces, comme les reptiles, les poissons et dans une moindre mesure certains oiseaux.
Testez vos connaissances sur les espèces animales qui ont disparues et qui sont menacées à cause de l’activité humaine ⋙ Quiz animaux : Ces espèces menacées ou disparues à cause de l’humain Concernant ces derniers, citons par exemple l’exceptionnelle découverte du zoo de San Diego, aux Etats-Unis, en novembre 2021 : deux poussins condors y ont été conçus sans mâle, une première à en croire les spécialistes de cette espèce en danger d’extinction.
Les scientifiques ont ainsi constaté que l’embryon s’était développé sans fécondation. Un fait d’autant plus notable que les femelles condors étaient en présence de mâles. “Nous pensons que nos résultats représentent le premier exemple de parthénogenèse aviaire facultative qui n’implique pas de ségrégation des sexes”, ont ainsi constaté des chercheurs qui ont étudié ce cas spécifique.
Quels sont les organes d’accouplement chez l’homme et la femme ?
On nomme appareil reproducteur l’ensemble des organes dans notre corps qui servent à nous reproduire, c’est-à-dire à donner naissance à de nouveaux humains, Ils sont différents selon que nous soyons un homme ou une femme : chez la femme, ce sont essentiellement le vagin, l’ utérus et les ovaires, tous internes ; et chez l’homme, le pénis et les testicules, plus « visibles ». Notre appareil reproducteur nous permet de pouvoir donner naissance à des enfants. On peut le nommer aussi organes génitaux, organes sexuels, ou organes reproducteurs, L’être humain étant un mammifère, ces organes ne sont guère différents de ceux des autres primates,,
Pourquoi recoudre la vulve d’une jument ?
Sutures vulvaires chez la jument Les sutures vulvaires chez la jument sont de plus en plus courantes dans les élevages et chez les particuliers désireux d’obtenir une gestation tranquille. En effet, c’est souvent l’infertilité des juments ou la crainte de l’avortement qui dicte ce choix.
Mais quels avantages et quels risques prend-t-on à pratiquer une suture vulvaire ? Commençons par définir ce qu’est une suture vulvaire. La suture la plus courante est celle de Caslick. C’est de celle-ci que dérive la plupart des sutures aujourd’hui pratiquées sur les juments pour résoudre les problèmes d’infertilité et d’avortement.
L’opération de Caslick consiste tout d’abord à pratiquer une ouverture sur les deux grandes lèvres de la jument. Les deux plaies feront 1 à 1,5 cm de large pour une hauteur égale aux 2/3 de la longueur totale de la vulve. Ces deux plaies seront reliées par une suture les juxtaposant sur tout leur longueur.
- Les précautions à prendre pour cette opération sont une mise à jeun 24 h avant, un nettoyage minutieux de la vulve et de toute la zone qui l’entoure, un rasage des poils et la mise en place d’un travail ou d’un espace étroit pour bloquer la jument.
- La jument est anesthésiée localement sauf complications ou risque de complications.
- Les jours suivant l’opération (entre 3 et 10 jours), un nettoyage minutieux et une désinfection quotidiens avec un traitement à base d’antibiotiques et d’anti-inflammatoires sont recommandés.
90 % des juments cicatrisent sans complication dans les 10 jours, on enlève alors les fils de suture. Les autres présentent des cicatrisations problématiques ou des infections, une deuxième intervention est alors nécessaire et le plus souvent, suffisante.
- La suture vulvaire : quels avantages ?
- Les sutures vulvaires sont connues pour limiter les contaminations microbiologiques de l’utérus et augmenter la fertilité, notamment dans le cadre des juments ayant des malformations génitales.
- On favorise ainsi la fécondation et le maintient ensuite de la gestation à l’abri des infections venues de l’extérieur.
En effet, les juments atteintes de malformations génitales avec pneumovagin ou une mauvaise position de la vulve absorbent les crottins, l’air et les bactéries avec. Ce qui entraîne des inflammations puis des infections de la vulve, du vagin, de l’utérus.
et donc l’impossibilité de commencer ou de maintenir une gestation. Dans ces cas-là, la sutures des lèvres de la vulve permet de réduire le phénomène voire de le faire disparaître complètement. Il est aussi prouvé que la plupart des juments difficiles montées, environ 86 %, le sont à cause d’irritations chroniques des voies génitales.
Les crottins et les diarrhées en tombant (même sur des juments saines) vont entrer un peu dans les voies génitales et vont irriter l’intérieur des lèvres de la vulve voire le vagin. Ces douleurs chroniques ou liées au cycle (les juments clignotent de la vulve et l’ont plus ouverte quand elles sont en chaleur) s’effacent après une suture de Caslick.
Les juments seraient donc plus calmes après suture si les causes de leurs troubles sont génitales. Enfin dans le cas d’un avortement ou d’une mise bas difficile, la suture de Caslick aide la vulve a reprendre une forme normale et évite les infections à répétition. On est alors plus proche de la vulvoplastie (reconstitution de la vulve) que de la suture de Caslick au sens strict.
Mais comme pour toutes les techniques, la suture vulvaire a ses inconvénients. Le premier est que lorsqu’on utilise une suture pour favoriser et éviter les infections pendant une gestation, il arrive un moment où la mise-bas arrive. Et si on n’a pas prévu le coup et ouvert à nouveau le passage, le poulain se le fait lui-même.
en déchirant la vulve et tout la zone génitale. Le deuxième est que l’utilisation de la suture de Caslick pour aider les juments avec une malformation de la zone génitale est efficace seulement si la jument n’a pas d’infection utérine. En effet, une telle infection peut devenir chronique et ne plus nécessiter d’apport extérieur pour se maintenir.
La suture gardera ainsi une zone infectée et ne permettra pas le début d’une gestation. Il peut aussi arriver que la suture génère des réactions immunitaires violentes ou que l’utérus soit en constante inflammation. Dans les deux cas, la suture ne changera rien voire provoquera le problème.
- Enfin, la suture peut former, en cicatrisant, des adhérences qui seront un obstacle supplémentaire qu’il faudra éliminer ou qui boucheront le trou laissé.
- On aura alors une rétention des liquides, dont l’urine, avec une inflammation, une infection et enfin une nécrose du vagin.
- Il convient également de noter que bien que très utilisées auparavant pour éviter les prolapsus vaginaux, cette suture est aujourd’hui obsolète car elle ne permet pas de maintenir le tractus génital complet dans le bon sens.
En bref, c’est une méthode très efficace, très utile et très utilisée. Néanmoins, elle ne peut se passer d’un suivi sérieux et d’une étude préliminaire approfondie pour éviter les mauvaises surprises.
- A bientôt,
- Anne
: Sutures vulvaires chez la jument
Pourquoi on ne boit pas le lait de jument ?
Allergies et carences – Le lait de jument contient de la caséine, l’une des protéines les plus allergisantes du lait, qui peut provoquer des réactions chez les personnes allergiques à la caséine du lait de vache, Toutefois, cette proportion est plus faible que dans le lait de vache, entre 47 % et 68 % de l’azote du lait y prend la forme de caséine contre 80 % chez la vache, ce qui donne 13 grammes de caséine par litre chez la jument, contre 25 grammes pour la vache,
Pourquoi la Pointe de la Jument ?
La pointe de la Jument tire son nom d’un rocher qui émerge de l’eau dont la forme rappelle celle d’une tête de jument.
Pourquoi un cheval lève ses lèvres ?
Qu’est ce que le flehmen ? – Le flehmen est une attitude caractéristique des équidés et de quelques mammifères. Lorsque le cheval étend son encolure vers le haut et l’avant et qu’il lève sa lèvre supérieure (parfois celle du bas également), c’est le flehmen. Cela lui sert à détecter les odeurs ainsi que les phéromones grâce à un organe situé sous le palais.
C’est quoi position à cheval ?
Pour avoir une bonne position à cheval, il est essentiel de suivre les conseils suivants : Le cavalier se tient droit dans sa selle sans être rigide. Les fesses sont lourdes et avancées dans la selle. Les jambes sont molles et les genoux légèrement ouverts.
Pourquoi faire coudre la vulve d’une jument ?
Sutures vulvaires chez la jument Les sutures vulvaires chez la jument sont de plus en plus courantes dans les élevages et chez les particuliers désireux d’obtenir une gestation tranquille. En effet, c’est souvent l’infertilité des juments ou la crainte de l’avortement qui dicte ce choix.
- Mais quels avantages et quels risques prend-t-on à pratiquer une suture vulvaire ? Commençons par définir ce qu’est une suture vulvaire.
- La suture la plus courante est celle de Caslick.
- C’est de celle-ci que dérive la plupart des sutures aujourd’hui pratiquées sur les juments pour résoudre les problèmes d’infertilité et d’avortement.
L’opération de Caslick consiste tout d’abord à pratiquer une ouverture sur les deux grandes lèvres de la jument. Les deux plaies feront 1 à 1,5 cm de large pour une hauteur égale aux 2/3 de la longueur totale de la vulve. Ces deux plaies seront reliées par une suture les juxtaposant sur tout leur longueur.
- Les précautions à prendre pour cette opération sont une mise à jeun 24 h avant, un nettoyage minutieux de la vulve et de toute la zone qui l’entoure, un rasage des poils et la mise en place d’un travail ou d’un espace étroit pour bloquer la jument.
- La jument est anesthésiée localement sauf complications ou risque de complications.
- Les jours suivant l’opération (entre 3 et 10 jours), un nettoyage minutieux et une désinfection quotidiens avec un traitement à base d’antibiotiques et d’anti-inflammatoires sont recommandés.
90 % des juments cicatrisent sans complication dans les 10 jours, on enlève alors les fils de suture. Les autres présentent des cicatrisations problématiques ou des infections, une deuxième intervention est alors nécessaire et le plus souvent, suffisante.
- La suture vulvaire : quels avantages ?
- Les sutures vulvaires sont connues pour limiter les contaminations microbiologiques de l’utérus et augmenter la fertilité, notamment dans le cadre des juments ayant des malformations génitales.
- On favorise ainsi la fécondation et le maintient ensuite de la gestation à l’abri des infections venues de l’extérieur.
En effet, les juments atteintes de malformations génitales avec pneumovagin ou une mauvaise position de la vulve absorbent les crottins, l’air et les bactéries avec. Ce qui entraîne des inflammations puis des infections de la vulve, du vagin, de l’utérus.
Et donc l’impossibilité de commencer ou de maintenir une gestation. Dans ces cas-là, la sutures des lèvres de la vulve permet de réduire le phénomène voire de le faire disparaître complètement. Il est aussi prouvé que la plupart des juments difficiles montées, environ 86 %, le sont à cause d’irritations chroniques des voies génitales.
Les crottins et les diarrhées en tombant (même sur des juments saines) vont entrer un peu dans les voies génitales et vont irriter l’intérieur des lèvres de la vulve voire le vagin. Ces douleurs chroniques ou liées au cycle (les juments clignotent de la vulve et l’ont plus ouverte quand elles sont en chaleur) s’effacent après une suture de Caslick.
Les juments seraient donc plus calmes après suture si les causes de leurs troubles sont génitales. Enfin dans le cas d’un avortement ou d’une mise bas difficile, la suture de Caslick aide la vulve a reprendre une forme normale et évite les infections à répétition. On est alors plus proche de la vulvoplastie (reconstitution de la vulve) que de la suture de Caslick au sens strict.
Mais comme pour toutes les techniques, la suture vulvaire a ses inconvénients. Le premier est que lorsqu’on utilise une suture pour favoriser et éviter les infections pendant une gestation, il arrive un moment où la mise-bas arrive. Et si on n’a pas prévu le coup et ouvert à nouveau le passage, le poulain se le fait lui-même.
- En déchirant la vulve et tout la zone génitale.
- Le deuxième est que l’utilisation de la suture de Caslick pour aider les juments avec une malformation de la zone génitale est efficace seulement si la jument n’a pas d’infection utérine.
- En effet, une telle infection peut devenir chronique et ne plus nécessiter d’apport extérieur pour se maintenir.
La suture gardera ainsi une zone infectée et ne permettra pas le début d’une gestation. Il peut aussi arriver que la suture génère des réactions immunitaires violentes ou que l’utérus soit en constante inflammation. Dans les deux cas, la suture ne changera rien voire provoquera le problème.
- Enfin, la suture peut former, en cicatrisant, des adhérences qui seront un obstacle supplémentaire qu’il faudra éliminer ou qui boucheront le trou laissé.
- On aura alors une rétention des liquides, dont l’urine, avec une inflammation, une infection et enfin une nécrose du vagin.
- Il convient également de noter que bien que très utilisées auparavant pour éviter les prolapsus vaginaux, cette suture est aujourd’hui obsolète car elle ne permet pas de maintenir le tractus génital complet dans le bon sens.
En bref, c’est une méthode très efficace, très utile et très utilisée. Néanmoins, elle ne peut se passer d’un suivi sérieux et d’une étude préliminaire approfondie pour éviter les mauvaises surprises.
- A bientôt,
- Anne
: Sutures vulvaires chez la jument