Comment Mettre Une Image Gimp En Png?

Comment Mettre Une Image Gimp En Png
Changer le format d’une image avec Gimp – Avant de savoir comment fonctionne les formats d’image dans Gimp, il faut comprendre la subtilité de Gimp sur la sauvegarde des fichiers. En effet, le logiciel fait la distinction entre « Enregistrement» et « export »,

  • Enregistrer (menu Fichier > Enregistrer) permet de sauvegarder le projet au format XCF. C’est le format natif de Gimp assurant une sauvegarde complète d’un projet en cours (voir plus bas pour détails).
  • Exporter (menu Fichier > Exporter) permet de convertir le projet actif dans n’importe quel format d’image commun (JPG, GIF, PNG, TIFF,).

Comment Mettre Une Image Gimp En Png Enregistrer et Exporter ce n’est pas pareil Si vous avez bien compris le principe, pour changer le format d’une image, vous devez l’ouvrir avec Gimp pour l’exporter dans le format qui vous intéresse. Concrètement il suffit de choisir le format dans une liste déroulante lors de l’enregistrement du fichier. Reste à savoir quel format utiliser ?

Comment changer le format d’une image Gimp ?

Redimensionner l’image – Aussi, pour redimensionner votre image avec Gimp sans avoir à la découper, vous devrez vous rendre dans le menu Images > Echelle et taille de l’image, Une fenêtre va alors s’ouvrir pour vous présenter la taille de votre image en pixels, Si cela vous dérange, vous avez la possibilité de changer cette unité de mesure en cliquant sur le petit ascenseur. Vous pourrez alors choisir l’unité de mesure en millimètres, en pouces ou encore en pourcentages. Ainsi, le logiciel s’adaptera à votre demande afin de vous rendre la tâche plus facile. Maintenant, il va falloir changer les dimensions de votre image. Pour cela, vous devrez cliquer dans l’encart indiquant la largeur ou la hauteur de votre image. Vous pourrez indiquer la taille de votre image directement avec le pavé numérique ou en utilisant les petits ascenseurs montants et descendants. Le ratio (le rapport largeur et hauteur) est conservé durant cette opération. Il n’y a que la hauteur qui va automatiquement changer ou la largeur. Cela évitera à l’image de se déformer pendant que vous serez en train de la redimensionner. Il vous sera cependant possible de désactiver ce ratio et de créer une déformation de l’image volontairement. Pour cela, vous devrez cliquer sur l’icône qui représente le maillon d’une chaîne, Ainsi, vous aurez la totale liberté de préciser les dimensions que vous désirez, afin de la déformer. N’oubliez pas de cliquer sur “mise à l’échelle” afin de valider vos modifications.

Comment mettre un fond transparent sur Gimp ?

Rendre l’arrière – plan transparent : Commencez par Calque → Transparence → Ajouter un canal Alpha. Puis utilisez la commande EditClear ou tapez la touche Del sur le clavier pour supprimer l’ arrière – plan.

Comment mettre un fichier Gimp en JPG ?

La solution – Comment Mettre Une Image Gimp En Png Tout ce que vous avez à faire est d’aller dans Fichier> Exporter au lieu de Fichier> Enregistrer. Cette modification a été apportée avec la sortie de GIMP 2.10, lorsque l’enregistrement dans des types de fichiers tels que JPEG a été déplacé du menu Enregistrer vers le menu Exporter. Si vous avez déjà exporté le fichier précédemment, vous pouvez également aller dans Fichier> Exporter sous (juste en dessous de l’option Exporter). Indépendamment de celui avec lequel vous choisissez d’aller, cela fera apparaître votre dialogue «Exporter l’image» (illustré ci-dessous). REMARQUE: Si vous avez déjà enregistré votre fichier auparavant, ou si votre fichier est déjà un JPEG, vous pouvez aller dans Fichier> Écraser qui écrasera automatiquement votre fichier existant avec le fichier mis à jour en utilisant le même type de fichier (aka JPEG si votre image est déjà un JPEG). Comment Mettre Une Image Gimp En Png Une fois que vous avez ouvert la boîte de dialogue Exporter l’image, vous pouvez renommer votre fichier comme vous voulez l’appeler (j’ai nommé le mien Pink Hair). Assurez-vous simplement de terminer le nom par «.jpg» ou «.jpeg» pour l’enregistrer au format JPEG (comme illustré sur la photo ci-dessus – indiqué par la flèche rouge).

  1. Ensuite, vous pouvez naviguer sur votre ordinateur en utilisant la section «Lieux» (indiquée par la flèche bleue) pour enregistrer votre fichier à l’emplacement de votre choix.
  2. Cliquez simplement une fois sur l’emplacement du disque dans la section Lieux (je suis allé avec mon disque Data (D :)), et double-cliquez sur chaque dossier dans lequel vous souhaitez enregistrer le fichier (vous pouvez également cliquer sur l’icône “Créer un dossier” pour créer un tout nouveau dossier – indiqué par la flèche verte sur la photo ci-dessus).

L’emplacement de chaque dossier que vous entrez sera affiché en haut de la boîte de dialogue à côté de «Enregistrer dans le dossier». Par exemple, je vais enregistrer ce JPEG dans le dossier «GIMP Photos» sur mon ordinateur. Comment Mettre Une Image Gimp En Png Une fois que vous êtes prêt à enregistrer votre JPEG, cliquez sur le bouton «Exporter». Cela fera apparaître le dialogue «Exporter l’image au format JPEG» (illustré ci-dessus). La seule chose qui m’inquiète dans ce dialogue est le curseur Qualité (que j’ai souligné en vert sur la photo ci-dessus).

  • Cette fonctionnalité vous permet d’augmenter ou de diminuer la qualité de votre JPEG, entre la qualité% 0 et 100.
  • Plus la qualité est basse, plus la taille JPEG sera petite.
  • N’oubliez pas cela lorsque vous enregistrez pour le Web plutôt que pour l’impression.
  • Je recommande d’enregistrer entre 60% et 80% pour le Web et entre 90% et 100% pour l’impression.

Vous pouvez soit cliquer sur le curseur, faire glisser le curseur, utiliser les flèches haut et bas ou taper une valeur numérique pour définir votre qualité. Une fois que vous avez défini la qualité souhaitée, cliquez à nouveau sur «Exporter» pour exporter l’image au format JPEG (indiqué par la flèche rouge dans l’image ci-dessus).

Quel est le format natif de GIMP ?

Formats de fichiers GIMP supporte de très nombreux formats. Voici une description des principaux formats utilisés et de leur boîte de dialogue d’exportation. XCF est le format natif de GIMP. Il supporte toutes les fonctionnalités de GIMP et permet donc de sauvegarder calques, calques de texte, canaux alpha personnalisés, chemins.

  • Il n’est pas supporté par d’autres applications (comme Photoshop) mais il reste identique quel que soit le système d’exploitation utilisé pour faire fonctionner GIMP.
  • C’est le format de fichier à choisir si vous devez garder vos calques, canaux et/ou chemins.
  • Pour enregistrer une image dans ce format, dans la liste déroulante Sélectionner le type de fichier (Selon l’extension), choisissez Image GIMP XCF puis cliquez sur le bouton Exporter,

Le format de fichier JPG est massivement employé pour les images destinées à un affichage sur Internet. Il limite la taille du fichier en utilisant un algorithme de compression destructif. Si le taux de compression est trop important, les effets visuels de cette destruction sont flagrants.

Quel format GIMP ?

Caractéristiques –

  • C’est un et gratuit.
  • Début, il n’était pas encore compatible avec le mode pour l’impression professionnelle. Il était cependant possible de traiter les images en grâce à l’ajout de l’extension Separate+, Depuis la version de développement 2.9.4 puis la série 2.10 basée sur GEGL et sortie le 27 avril 2018, cela est à présent possible,
  • Le format spécifique de GIMP est le format, qui permet de conserver les, canaux, et autres paramètres propres à une image modifiée avec GIMP (l’équivalent du format sous ). GIMP supporte également le format,
  • Une des grandes forces de GIMP est sa capacité de « scriptage ». Il est interfacé avec de nombreux langages de programmation, en particulier,, et, Cela permet d’automatiser des traitements répétitifs et d’écrire des modules d’extension.
  • Les versions GIMP 2.8 et supérieures permettent de réunir les différentes fenêtres dans une seule par un système d’onglets, facilitant ainsi leur gestion.
  • Il existe un spécialisé dans l’animation appelé GAP ( GIMP Animation Package ), permettant l’import et l’export dans différents, de déplacer, tourner et agrandir des objets sur différentes couches, et d’y ajouter du son.
  • Il traite le format « Photoshop ABR brush » des brosses (à partir de la version 2.4).
  • GIMP a donné lieu, outre la création de, à un grand nombre de développements annexes, comme,,, (autrefois Film GIMP ), ou ( GE neric G raphical L ibrary ).

Boîte à dialogue des brosses sous KDE. Les outils de manipulation de GIMP sont accessibles grâce à des boîtes à outils, des menus déroulants et des (qui sont aussi connus sous le nom de palettes). Ces outils sont des brosses et des filtres, mais aussi des outils de transformation, de sélection et de calques.

Comment rendre un fond PNG transparent ?

Ajouter une zone transparente à une image – Si l’image ne dispose pas d’une zone transparente, vous pouvez en créer une. Vous pouvez effectuer cette opération dans la plupart des images.

  1. Sélectionnez l’image dans laquelle vous voulez créer des zones transparentes.
  2. Cliquez sur Outils image > Recolorier > Couleur transparente,
  3. Dans l’image, cliquez sur la couleur que vous voulez rendre transparente. Remarques :
    • L’option Couleur transparente est disponible pour les images image bitmap sans informations de transparence. Elle est également disponible pour certaines images image clipart.
    • Pour créer une zone transparente dans une image GIF animée, utilisez un programme d’édition des images GIF animées, puis réinsérez le fichier.

    Rendre opaque un arrière-plan transparent

  4. Sélectionnez l’image.
  5. Appuyez sur Ctrl+T.

Comment mettre un fichier en format JPG ?

Enregistrer une image ou une autre image en tant que fichier séparé –

Ctrl + cliquez sur l’image que vous voulez enregistrer en tant que fichier image séparé, puis cliquez sur enregistrer en tant qu’image, Dans la liste type de fichier, sélectionnez le format de fichier souhaité. Dans la zone Enregistrer sous, tapez un nouveau nom pour l’image, ou acceptez le nom de fichier suggéré. Dans la zone dans, accédez au dossier dans lequel vous voulez enregistrer l’image. Cliquez sur Enregistrer,

Comment enregistrer une image GIMP en PDF ?

Fichier->Exporter->Sélectionner le type de fichier ou simplement ajouter. pdf au nom du fichier!

Quel format ne gère pas la transparence GIMP ?

1.2.2. Exporter une image en HEIF/HEIC – HEIF est un acronyme pour High Efficiency Image File Format. Également connu sous le nom HEIC High Efficiency Image Coding. Deux fois plus d’information peut être stockée dans une image HEIF par rapport à une image JPEG, ce qui entraine une meilleure qualité. Ces options n’ont pas besoin d’explications. Les fichiers JPEG peuvent avoir l’extension,jpg,,JPG ou,jpeg. C’est un format très répandu, car il comprime très efficacement les images avec une perte de détails réduite au minimum. Aucun autre format n’atteint un tel niveau de compression. L’algorithme de compression JPEG est très complexe et comporte un nombre déconcertant d’options, au delà du champ de cette documentation. A moins que vous ne soyez un spécialiste du JPEG, le paramètre Qualité est probablement le seul dont vous aurez à vous soucier.

  1. Qualité Quand vous sauvegardez au format JPEG, une fenêtre de dialogue s’ouvre, qui vous permet de régler le niveau de Qualité (de 1 à 100).
  2. Néanmoins, un niveau supérieur à 95 est rarement nécessaire.
  3. Un niveau de 85 donne habituellement d’excellents résultats, mais il est souvent possible de baisser ce niveau sans dégrader l’image de manière sensible.

Vous pouvez tester l’effet des différents réglages en cochant la case Montrer l’aperçu dans la fenêtre d’image : l’image n’est pas pour autant modifiée et revient à son état d’origine si vous quittez le dialogue JPEG.

Note
Notez que le Niveau de qualité JPEG a une signification différente selon les applications. Enregistrer dans GIMP avec un niveau de qualité de 80 ne donne pas le même résultat qu’enregistrer avec le même niveau de qualité dans une autre application.

Utilise les renseignements de qualité de l’image originale Si une « table de quantisation » (renseignements de qualité particuliers) est attachée à l’image quand elle est chargée, alors cette option vous permet d’utiliser ces renseignements à la place des valeurs standards.

  • Si vous n’avez effectué que peu changements à votre image, alors ré-utiliser les mêmes renseignements de qualité donnera presque les mêmes qualité et taille de fichier que pour l’image originale.
  • Cela diminuera les pertes causées par l’algorithme de quantisation par rapport à ce qu’elles auraient été avec des valeurs différentes.

Si les renseignements de qualité trouvés dans le fichier original ne sont pas meilleurs que ceux par défaut, l’option « Utilise les renseignements de qualité de l’image originale » sera disponible mais pas validée. Ce qui vous assure d’avoir en fin de compte le minimum de qualité spécifiée par les valeurs par défaut.

Si vous ne devez pas faire de modifications majeures à l’image et que vous voulez l’enregistrer avec la même qualité que l’original, ceci peut être obtenu en validant cette option. Afficher l’aperçu dans la fenêtre d’image Si cette option est cochée, l’image affichée apparaîtra selon les réglages. C’est un bon moyen pour voir à partir de quel taux de compression des artéfacts deviennent visibles.

Cela ne modifie pas l’image elle-même, qui reviendra à son état initial dès que la fenêtre de dialogue sera fermée. Conserver les métadonnées Si l’image que vous avez chargée possède des métadonnées Exif, XMP ou IPTC, elles sont préservées et vous pouvez les enregistrer ou non lors de l’exportation en JPEG.

  1. Enregistrer la vignette, Enregistrer le profil de couleur De nombreuses applications utilisent ces vignettes pour donner un aperçu rapide des images.
  2. Commentaire Vous pouvez modifier le commentaire attaché à l’image que vous avez chargée ou en écrire un nouveau.
  3. Les options Avancées Vous aurez rarement à modifier les options Avancées de la fenêtre de dialogue de l’enregistrement JPEG: Optimiser Cette option permet de réduire la taille du fichier en diminuant le nombre de couleurs de façon raisonnable.

Adoucissement Du fait de la compression, certains artéfacts peuvent apparaître dans l’image. Ce curseur permet de les atténuer en les rendant plus ou moins flous. Mais votre image devient aussi plus ou moins floue. À vous de choisir. Utiliser un codage arithmétique Arithmetic encoding is a form of entropy encoding (a lossless data compression scheme) that, since GIMP-2.10 can be used in exporting as JPEG.

  1. Images using arithmetic encoding can be 5 – 10 % smaller.
  2. But older software may have trouble opening these images.
  3. Utiliser les Marqueurs de redémarrage Vous pouvez inscrire, dans le fichier d’image, un certain nombre de marqueurs permettant de le segmenter.
  4. Si une interruption survient lors du chargement de l’image dans une page Web, le chargement pourra reprendre au marqueur suivant.

Intervalle (lignes MCU) Les images JPEG sont enregistrées comme une série de carrés comprimés appelés MCU (Minimum Coding Unit = Unité de codage minimale).Vous pouvez fixer la taille de ces carrés (en pixels). Progressif Quand cette option est cochée, l’image s’affiche progressivement sur une page Web, ce qui permet aux possesseurs de connexion lente de bloquer le chargement de l’image si elle ne les intéresse pas.

Note
Beware that certain older TVs and photo frames (and maybe other devices) may not be able to show jpeg images that have been exported with the progressive setting enabled (which is the default).

Sous-échantillonnage L’œil humain n’est pas sensible de la même façon sur l’ensemble du spectre de couleur. La compression peut utiliser ce fait pour considérer comme identiques des pixels un peu différents. Vous disposez de trois méthodes:

1×1, 1×1, 1×1 (meilleure qualité) : aussi connue sous le nom (4:4:4), elle préserve bien les contours et les oppositions de couleurs, au prix d’une compression moins forte. 2×1,1×1,1×1 (4:2:2) : c’est le sous-échantillonnage qui donne le meilleur compromis entre la taille du fichier et la qualité de l’image.Néanmoins, dans certaines circonstances, l’absence de sous-échantillonnage (4:4:4) donne une augmentation notable de la qualité de l’image; par exemple quand l’image contient de fins détails tels que qu’un texte sur un fond uni ou des aplats de couleurs. 1×2,1×1,1×1 : est semblable à (2×1,1×1,1×1), mais l’échantillonnage se fait plutôt dans le sens horizontal, comme si l’image avait été tournée. 2×2, 1×1, 1×1 (fichier “moins lourd”) : également connue sous le nom (4:1:1), elle donne une compression plus forte et convient aux images avec des contours peu marqués, mais a tendance à dénaturer les couleurs.

Méthode DCT La transformation DCT (Discrete Cosine transform) est la première étape de l’algorithme de codage JPEG pour passer du domaine spatial à celui de la fréquence. Les choix possibles sont « virgule flottante », « entier » (par défaut) et « entier rapide »,

virgule flottante Les calculs en virgule flottante sont légèrement plus précis qu’avec des nombres entiers, mais ils sont plus lents sauf si votre machine permet des calculs rapides en virgule flottante. Notez que les calculs en virgule flottante peuvent varier d’une machine à l’autre, alors que ceux avec les entiers sont les mêmes de partout. entier (par défaut): Cette méthode est plus rapide qu’en « virgule flottante », mais moins précise. entier rapide : La méthode utilisant les « entiers rapides » est moins précise que les deux autres

Figure 6.5. La fenêtre d’exportation en PNG Entrelacement L’entrelacement permet à une image de page Web de s’afficher progressivement lors du chargement, ce qui peut être utile avec un connexion lente, parce que vous pouvez interrompre le chargement d’images sans intérêt. Enregistrer la couleur d’arrière-plan If your image has many transparency levels, the Internet browsers that recognize only two levels, will use the background color of your Toolbox instead.

  1. Enregistrer le gamma La correction du gamma est la capacité à corriger les différences d’interprétation des couleurs des ordinateurs.
  2. Elle enregistre, dans le PNG, l’information gamma qui reflète le facteur Gamma actuel de votre affichage.
  3. Les afficheurs sur d’autres ordinateurs peuvent alors compenser afin que l’image ne soit pas trop sombre ou trop claire.

Enregistrer le décalage de calque Le PNG possède une valeur de décalage appelée « oFFs chunk », qui fournit des données de position. Malheureusement, la prise en compte du décalage PNG par GIMP est défectueuse, ou du moins n’est pas compatible avec d’autres applications.

  1. N’activez pas les décalages, aplatissez les calques avant d’enregistrer et vous n’aurez aucun problème.
  2. Enregistrer la résolution Enregistre la résolution de l’image, en ppi (pixel per inch = points par pouce) Enregistrer la date de création Date à laquelle le fichier a été enregistré.
  3. Enregistrer un commentaire Vous pourrez lire ce commentaire dans la Propriétés de l’image,

Enregistrer les valeurs de couleur pour les pixels transparents Quand cette option est cochée, les valeurs de couleur sont enregistrées, même si les pixels sont complètement transparents. Mais cela n’est possible que s’il y a un seul calque, et non avec une composition fusionnée.

Quand une image multi-calques est exportée dans un format de fichier à un seul calque, il n’y a aucun moyen pour que GIMP puisse préserver les valeurs de couleur des pixels transparents. Format de pixel By default your PNG image is exported in a pixelformat that resembles the settings of your image in GIMP,

This is usually what you want, but when you need a specific output format you can change this here to 8 or 16 bits per channel RGB or Grayscale, with or without alpha channel. Niveau de compression La compression PNG étant sans perte, la seule raison d’utiliser un taux de compression inférieur à 9 serait une durée de compression trop longue avec un ordinateur lent.

  • Rien à craindre non plus de la décompression, celle-ci étant aussi rapide quel que soit le niveau de compression.
  • Conserver les métadonnées Si l’image que vous avez chargée possède des métadonnées Exif, XMP ou IPTC, elles sont préservées et vous pouvez les enregistrer ou non lors de l’exportation en PNG.

Enregistrer les valeurs par défaut Cliquez pour enregistrer les paramètres courants. Ultérieurement, vous pourrez les récupérer grâce au bouton Charger les valeurs par défaut,

Note
Puisque le format PNG accepte les images indexées, vous avez intérêt à réduire de façon acceptable le nombre de couleurs de vos images avant l’enregistrement si vous désirez avoir un fichier aussi léger que possible pour le Web. Voyez Images indexées, Les ordinateurs travaillent sur des blocs de 8 bits appelés « octet », Un octet (8 bits) permet de stocker 256 couleurs. Il ne sert donc à rien de réduire le nombre de couleurs en-dessous de 256: un octet entier sera de toute façon utilisé et la taille du fichier PNG ne sera pas plus réduite. En outre, ce « PNG8 » ne réserve, comme le format GIF, qu’un seul bit pour coder la transparence. Il ne permet que deux niveaux de transparence: transparent ou opaque.

Figure 6.6. La boîte de dialogue Enregistrer au format TIFF Compression Cette option permet d’enregistrer une miniature avec l’image.

    None : is fast, and lossless, but the resulting file can be very large. LZW : The image is compressed using the « Lempel-Ziv-Welch » algorithm, a lossless compression technique. This is efficient and fast. More information at, Bits par paquets : Apple a introduit cette méthode rapide lors de la création de MacPaint pour le Macintosh. Une chaîne de données de type « paquets de bits » consiste en un octet d’en-tête suivi par les données. (Source: ) Deflate : is a lossless data compression algorithm that uses a combination of the LZ77 algorithm and Huffman coding. It is also used in Zip and Gzip files and PNG images. Source:, JPEG : is a very good compression algorithm but lossy. This is the same compression as used in JPEG images. Since it is lossy, you should not use this when image quality is important. This compression can not be used when your image is in indexed mode. CCITT Group 3 fax and CCITT Group 4 fax are black and white formats developed to transfer images by FAX.

    Note
    These two compression modes can only be selected, if the image is in indexed mode and reduced to two colors. Use → → to convert the image to indexed mode. Make sure that « Use black and white (1-bit) palette » is checked.

    /ul> Enregistrer les calques Since GIMP-2.10.12, you can save layers when exporting to TIFF. Each layer will be a separate page in the TIFF image. Crop layers to image bounds When Save layers is checked, this option, which is enabled by default, will resize all layers to the size of the image.

    1. TIFF images can not have negative offsets.
    2. This option enables you to import the TIFF again without having to change the position of layers that had a different size as the image in the original.
    3. Enregistrer les valeurs de couleur pour les pixels transparents When this is enabled the color values are saved even if the pixels are completely transparent.

    Commentaire Dans cette boîte de texte, vous pouvez entrer un commentaire qui sera associé à l’image. Save Exif data When this option is enabled existing EXIF metadata will be saved in the exported TIFF image. Save XMP data When this option is enabled existing XMP metadata will be saved in the exported TIFF image.

    Save IPTC data When this option is enabled existing IPTC metadata will be saved in the exported TIFF image. Save thumbnail When this option is enabled a thumbnail will be saved as the second page in the exported TIFF image. This will also cause certain EXIF tags to be saved even if you have disabled saving EXIF metadata.

    Save color profile When this option is enabled the color profile will be saved in the exported TIFF image. Save GeoTIFF data When this option is enabled GeoTIFF metadata that was present in the original image will be saved in the exported TIFF image.

    Quelle est la qualité minimum d’une image pour travailler sur GIMP ?

    Initiation à GIMP Cette première partie théorique a pour objectif d’apporter une meilleure compréhension du travail de l’image numérique. Avant de commencer tout travail, vous devez savoir quel sera l’usage final de vos images, sur quel support seront-elles visibles et quel niveau de qualité attendez-vous.

    Une image matricielle est une image numérique dans un format de données qui se compose d’un tableau (matrice) de pixels (contraction de l’anglais picture element, élément d’image). Elle est toujours rectangulaire. Chaque pixel est porteur d’une couleur unique, exprimée généralement dans le modèle RVB (rouge, vert, bleu – les trois couleurs de base sur un support lumineux, l’écran, notamment ; voir la section sur les couleurs ci-après).

    Certains formats de fichier gèrent une quatrième composante, nommée « alpha », permettant de faire varier l’opacité. On peut ainsi simuler des images non rectangulaires en rendant certains pixels transparents (qui laissent donc apparaître le « fond »). Comment Mettre Une Image Gimp En Png Une image vectorielle (ou image en mode trait) est une image numérique composée d’objets géométriques individuels (segments de droite, polygones, arcs de cercle, etc.) définis chacun par divers attributs de forme, de position, de couleur, etc. (définition Wikipédia). Comment Mettre Une Image Gimp En Png GIMP est un logiciel dédié au traitement des images matricielles. Cela ne l’empêche pas de gérer des aspects vectoriels avec l’outil Chemin. Le texte intégré dans les images est également vectoriel, jusqu’à un certain point. Pour le dessin vectoriel on préfèrera Inkscape dédié à cet usage.

    De plus, Inkscape permet l’intégration d’images matricielles, ce qui ouvre la porte à toute sortes d’assemblages moins bien gérés que par GIMP. L’usage en parallèle de GIMP et Inkscape est fortement recommandé. Le monde de l’image se divise en deux catégories : le numérique (donc un peu virtuel) et le physique (donc le réel).

    Dans le monde numérique, c’est-à-dire, lorsque vous travaillez vos images sur un ordinateur, elles sont mesurées en pixels (px) uniquement ! Dans le monde réel, c’est-à-dire, imprimée sur une feuille de papier, on peut mesurer les images en millimètres (mm), centimètres (cm), pouces (in, unité anglophone servant de référence).

    1. Pour information, un pouce vaut exactement 2,54 cm.
    2. On appelle « définition » le fait de désigner les dimensions d’une image sous la forme largeur × hauteur.
    3. Cependant, tous les logiciels de graphisme (libres ou non) dont GIMP, savent manipuler les dimensions réelles.
    4. Ainsi, l’on peut créer une image de 10cm × 5cm.

    Mais l’image créée sera tout de même composée de pixels et non de centimètres. Le rapport entre les deux ? La résolution ! Elle définit le nombre de pixels par unité de longueur (centimètre ou pouce). La résolution d’une image numérique s’exprime en PPI (Pixel Per Inch) ou PPP (Pixels Par Pouce).

    • La résolution d’impression d’une imprimante se détermine en DPI (Dot Per Inch) ou PPP (Points Par Pouce) (définition Wikipédia).
    • On parle de résolution essentiellement pour de l’impression.
    • Pour l’impression les pixels affichés à l’écran sont décomposés en points d’encre pour former une trame.
    • D’où la nécessité d’avoir plus de pixels sur la surface représentée.

    Plus la trame est serrée, moins on en voit le détail. En général, on normalise la résolution d’une image à 300 Pixels Par Pouces. L’œil ne permettant pas de voir la différence de qualité au-dessus de ces 300 DPI, les imprimeurs ont donc généralisé cette règle.

    1. Une résolution inférieure à 150 DPI est insuffisante pour des impressions de qualité.
    2. Ces valeurs limites sont valables pour des documents destinés à être lus à bout de bras.
    3. Pour des affiches d’arrêt de bus par exemple, la résolution sera moindre, voire bien moindre.
    4. Lorsque vous attendez le bus ou le métro, ayez le réflexe d’observer de près les affiches.

    Vous verrez la trame d’impression. Comment Mettre Une Image Gimp En Png Le RVB est un modèle colorimétrique dit additif. Chaque couleur est obtenue par l’addition des composantes rouge, verte et bleue. C’est le modèle utilisé pour tout affichage généré par de la lumière, notamment sur écran. Ces trois composantes sont des sources lumineuses colorées : plus l’intensité augmente, plus la couleur est vive. Comment Mettre Une Image Gimp En Png Le CMJN est un modèle colorimétrique dit soustractif. Chaque couleur résulte de l’occultation du blanc par chaque composante (cyan, magenta, jaune et noir). Ce modèle est utilisé par tous les appareils d’impression (de l’imprimante personnelle à la rotative professionnelle). Comment Mettre Une Image Gimp En Png Quel modèle utiliser ? Considérons la finalité de vos images et documents. S’ils sont destinés au Web ou tout autre affichage sur écran, aucun doute, vous travaillez et restez en RVB jusqu’au bout. Si vous envisagez l’impression alors il faudra passer en CMJN à un moment donné.

    1. Votre écran et votre logiciel de graphisme, aussi chers soient-ils, ne peuvent afficher d’image en CMJN.
    2. Ils peuvent, tout au plus, simuler ce que serait l’image une fois imprimée.
    3. La seule façon de voir une image en CMJN est de l’imprimer.
    4. Et encore, le résultat dépend de l’encre (un peu) et du papier (beaucoup).

    Il faut savoir aussi que convertir des couleurs d’un modèle à l’autre n’est pas réversible : vous perdez de l’information à chaque conversion. Il vaut mieux donc travailler le plus longtemps possible en RVB puis passer au CMJN juste avant d’imprimer. C’est ce que fait le pilote de votre imprimante : vous lui envoyez de la couleur en RVB, il la traduit en CMJN.

    Attention, cela ne concerne pas les éléments graphiques (textes, cadres, logos) devant suivre une charte graphique, et généralement vectoriels, qui seront mis en page, avec un logiciel de mise en page tel que Scribus qui gère très bien le CMJN. GIMP n’est pas un logiciel de mise en page, il n’a pas besoin de gérer le CMJN.

    Scribus est le dernier maillon de la chaîne graphique avant impression, c’est à lui que revient le travail de préparation de l’impression. JPEG À utiliser avec parcimonie. JPEG est avant tout une norme de compression. Les données sont compressées et altérées.

    • C’est-à-dire que l’image enregistrée dans un fichier au format JPEG est modifiée par la compression.
    • Il est possible de choisir, lors de l’enregistrement, la qualité résultante de cette compression, mais il ne faut pas oublier que même une qualité de 100 % altère toujours le contenu.
    • Cette altération est toutefois imperceptible à l’œil nu pour une photo, tant que la qualité ne descend pas en dessous de 85 %.

    En revanche, pour une image comportant peu de couleurs reparties en surfaces unies (un logo par exemple), le JPEG est à proscrire ! PNG Pour les images simples. La norme PNG a été conçue pour remplacer le format Gif, limité et soumis à brevets. Les données sont compressées mais inaltérées. Comment Mettre Une Image Gimp En Png Gif Le désuet, tout comme le PNG utilise une palette de couleurs mais bloquée à 256 couleurs alors que le PNG peut aller au-delà. La transparence, elle, est limité à deux niveaux. Vraisemblablement le Gif ne présente aujourd’hui plus aucun intérêt. XCF Le format de travail de GIMP.

    Il permet de gérer toutes les spécificités de ce dernier : calques, chemins, la sélection active et cela sans dégradation. Cependant, actuellement, seul GIMP (ou presque) utilise ce format. SVG Standard vectoriel et format de travail d’Inkscape. Il est le format de travail d’Inkscape (même si ce dernier y ajoute des caractéristiques non prévues initialement, d’où la distinction entre « SVG Inkscape » et « SVG Simple » lors de l’enregistrement d’une image).

    Il est à privilégier pour des logos, pictogrammes, ou plus généralement, tout dessin composé de courbes (également appelées chemins). Il peut être lu directement par les navigateurs Web modernes (attention, tous ne savent pas encore interpréter l’intégralité des fonctions offertes par SVG).

    1. SLA Format de travail de Scribus, logiciel de mise en page Scribus.
    2. Un fichier SLA contient la description de la mise en page, les textes et les objets vectoriels (fabriqués dans Scribus ou importés en SVG).
    3. Il ne contient pas les images matricielles intégrées à la composition.
    4. Lorsque vous lancez GIMP pour la première fois, le logiciel est décomposé en trois fenêtres.

    C’est l’interface historique de GIMP. Cette interface, critiquée par les utilisateurs habitués à PhotoShop, a néanmoins des arguments en sa faveur : si vous disposez de deux écrans, vous pouvez répartir les fenêtres sur ces deux espaces (par exemple, la fenêtre d’images sur un, les fenêtres de fonctions sur l’autre). Comment Mettre Une Image Gimp En Png Comment fermer GIMP proprement Lorsque vous démarrez GIMP pour la première fois, vous obtenez trois fenêtres : boîtes à outils avec les options, image et fenêtres de fonctions diverses. Pour fermer GIMP, le réflexe est de chercher la petite croix. Mais il y en a trois.

    La bonne étant celle de la fenêtre d’image. Cependant, pour éviter de se tromper, vous pouvez aussi passer par le menu Fichier → Quitter ou passer en mode Fenêtre unique où il n’y a plus qu’une seule croix. Il se peut donc que vous ayez cliqué sur l’une des deux autres croix et fermé soit la boîte à outils, soit la fenêtre des fonctions.

    GIMP interprète cela comme un choix de personnalisation. Vous pouvez récupérer les fenêtres fermées via le menu Fenêtres :

    • Groupe de fenêtres récemment fermés pour les groupes de fenêtres de fonctions ;
    • Nouvelle boîte à outils ;
    • Fenêtres ancrables → Options de l’outil pour la fenêtre d’options à placer sous la boîte à outils.

    Si votre GIMP est tout cassé, vous pouvez aussi nettoyer le, Une barre de menus orne le haut de la fenêtre et nous en ferons le tour plus loin dans ce chapitre. Pour l’instant, découvrons l’interface :

    • la zone d’images (1) ;
    • la boîte à outils (2) ;
    • les options de l’outil actif (3) ;
    • les autres fenêtres ancrables (4) et (5).

    Comment Mettre Une Image Gimp En Png

    1. Les images ouvertes sont accessibles via des onglets
    2. Règle horizontale
    3. Règle verticale
    4. Curseur de la souris (indicateurs sur les règles)
    5. Coordonnées du curseur de la souris
    6. Niveau actuel de zoom
    7. Important : messages informatifs de GIMP, vous donnent de précieuses indications
    8. Autre accès pour les menus
    9. Activer ou désactiver le masque rapide

    Comment Mettre Une Image Gimp En Png Elle présente sous forme d’icônes (si vous laissez la souris immobile sur une icône, une info-bulle vous indique sa fonction) les outils vous permettant d’agir sur les calques (attention à la nuance, un outil agit sur un calque et non sur l’intégralité de l’image).

    • Ces outils sont également disponibles via le menu Outils,
    • Les couleurs de premier et d’arrière-plan sont également représentées et peuvent être modifiées par simple clic sur leur représentation (1).
    • Les outils de peinture utilisent la couleur de premier plan.
    • La couleur d’arrière-plan peut être utilisée par la gomme, les outils de remplissage et de dégradé.

    La zone (2) montre la brosse, le motif et le dégradé courants. Le contenu de la boîte à outils peut être configuré dans Édition → Préférences → Boîte à outils,

    • Outils de sélection rectangulaire et elliptique : crée une sélection de forme géométrique.
    • Outil de sélection contiguë (aussi appelée baguette magique), sélectionne tous les pixels d’une même couleur (ou approchante selon un seuil) dans une zone contiguë au clic.
    • Outil de sélection par couleur : fonctionnement similaire à la sélection contiguë mais la zone de recherche englobe tout le calque.
    • Ciseaux intelligents : pour détourer des éléments avec des contours simples (pas un arbre avec plein de feuilles par exemple).
    • Extraction de premier plan : pour détourer des éléments complexes et bien contrastés par rapport au fond.
    • Découpage : pour recadrer une image, il découpe tous les calques et réduit le canevas.
    • L’outil texte de GIMP est très limité, préférer Inkscape pour faire des compositions avec du texte.
    • Outil de clonage : permet de peindre avec de la matière prise ailleurs dans l’image.
    • Outil correcteur : corrige les imperfections d’une surface (exemple : un visage). Reproduit la matière, le grain de ce qu’on clone mais pas la couleur.
    • Outil de barbouillage : comme lorsqu’on étale la peinture avec son doigt.

    Sous les outils se trouvent les indicateurs de couleurs de premier et d’arrière-plan. Voyez cela comme une palette de deux couleurs disponibles facilement pour de la peinture, du remplissage de zones. Cliquez sur la couleur de premier plan pour ouvrir la fenêtre Modification de la couleur de premier plan,

    • La partie droite comporte six curseurs pour définir la couleur avec précision, soit avec ses composantes RVB, soit HSV (teinte, saturation, valeur).
    • La partie gauche permet de choisir la couleur visuellement selon plusieurs modèles.
    • Le premier, dit « GIMP », comporte une bande verticale où l’on choisi la teinte (ou un autre paramètre que l’on peut cocher à droite) ; puis, dans le carré, on choisi les deux autre paramètres (saturation et valeur lorsque l’échelle verticale montre la teinte).

    Le troisième, plus classique, permet de choisir une couleur grâce à la fameuse roue : la teinte est répartie autour de la roue et le triangle sert à régler la saturation et la valeur. Un certain nombre de fonctionnalités sont accessibles via des fenêtres dédiées, dites Fenêtres ancrables,

    Options de l’outil : paramétrage de l’outil actif

    • Calques : liste des calques, actions associées
    • Canaux : liste des canaux, usage avancé de GIMP
    • Chemins : liste des chemins, ou comment GIMP gère un peu de vectoriel
    • Historique d’annulation : liste de toutes les actions effectuées sur une image et possibilité de revenir en arrière
    • Brosses : liste des brosses utilisables avec les outils de peinture
    • Motifs : liste des motifs de remplissage (textures)
    • Dégradés : liste des dégradés prédéfinis

    Vous pouvez en ajouter et réafficher les groupes fermés par erreur via le menu Fenêtres, Le menu Fichier contient les fonctions classiques de création, ouverture, enregistrement, impression et fermeture de la fenêtre ou de l’application. On y trouve également la fonction d’export que nous détaillons un peu plus loin.

    • À noter qu’il est possible de faire une capture d’écran ou de scanner une image (avec votre scanner) depuis le menu Fichier → Créer,
    • Le menu Édition propose également des fonctions classiques telles que annuler ou rétablir les dernières actions, couper, copier, coller.
    • C’est par là que vous accèderez aux préférences et aux raccourcis clavier.

    Le menu Sélections contient un certain nombre de fonctions agissant sur les sélections : sélectionner tout, supprimer la sélection, agrandir, rétrécir, adoucir, etc. Le menu Affichage offre toutes les options d’affichage des divers éléments de travail : sélection, guides, grille, bords du calque.

    • C’est également là que vous pourrez activer le magnétisme de ces éléments (aligner sur).
    • On trouve aussi le zoom et la navigation dans l’image, mais nous verrons un peu plus loin comment faire cela plus simplement à la souris.
    • Les menus Image et Calque sont dédiés à chacune de ces entités.
    • Une image est constituée d’au moins un calque, mais des fonctions similaires peuvent s’appliquer : rogner selon la sélection, découpage automatique, échelle et taille (redimmensionner), dupliquer, transformer,etc.

    Le menu Couleurs rassemble les outils de couleurs ainsi qu’un certain nombre de filtre destinés à la manipulation des couleurs. Le menu Outils est simplement un autre moyen d’accéder aux outils de la Boîte à outils précédemment décrite. Le menu Filtres contient tous les filtres disponibles.

    1. Les filtres sont des fonctionnalités plus ou moins prédéfinies effectuant une action bien précise : flou, amélioration, ombres et lumières, etc.
    2. Le menu Fenêtres permet de choisir de nouvelles fenêtres ancrables, de rouvrir celles fermées par erreur ou encore de basculer entre mode « fenêtre unique » et « multi-fenêtres ».

    La fenêtre des préférences s’ouvre via le menu Édition → Préférences, Elle permet de régler un grand nombre de paramètres et il n’est pas nécessaire de tous les connaître ! Vous pouvez également arranger les fenêtres ancrables comme vous le souhaitez.

    Dans chaque groupe d’onglets, il est possible d’en ajouter un nouveau en cliquant en haut de chaque onglet sur l’icône représentant un triangle orienté vers la gauche. Pour créer un nouveau groupe d’onglets, il suffit d’ouvrir une nouvelle fenêtre ancrable depuis le menu Fenêtres, On peut ensuite rattacher cette fenêtre à une autre et ainsi obtenir des fenêtres contenant plusieurs groupes.

    En haut et en bas de chaque fenêtre se trouve une fine barre. Si vous passez la souris dessus, l’info-bulle vous dira « Vous pouvez déposer ici des boîtes de dialogue ancrables ». En vidéo, voici comment personnaliser la position de vos fenêtres ancrables.

    • Les personnalisations de l’interface et paramètres que vous modifiez dans les Préférences sont conservés dans votre profil utilisateur, c’est-à-dire, un dossier de votre ordinateur et plus précisément, un sous-dossier de votre dossier personnel.
    • Si vous voulez repartir à neuf il suffit de supprimer ce dossier.

    De même, si vous voulez copier vos paramètres sur un nouvel ordinateur, il suffit de copier ce dossier. Mais où se trouve-t-il ? Cela dépend de votre système d’exploitation. Mais voici une réponse générique, pour le trouver à coup sûr. Allez dans Édition → Préférences de GIMP, puis dans l’onglet Dossiers,

    Vous y trouvez les dossiers où sont rangés les brosses, les motifs et toutes les ressources utilisables dans GIMP. Pour chaque ressource il y a au moins deux dossiers : l’un dit système est créé lors de l’installation de GIMP ou d’extensions au niveau du système (par exemple /usr/share/gimp/2.0/ sous Linux) ; n’y touchez pas.

    L’autre se trouve être dans votre profil personnel : le chemin commun est celui du profil (par exemple /home/utilisateur/.gimp-2.8/ sous Linux). Pour commencer, nous allons voir quelques manipulations de base recadrer et remettre d’aplomb une photo mal cadrée et penchée, ce qui arrive souvent lorsque l’on prend peu de temps pour la prise de vue.

    1. Via le menu Fichier → Ouvrir et choisir une photo parmi votre collection.
    2. Vous pouvez aussi copier l’adresse d’une photo depuis le Web et la copier dans Fichier → Ouvrir suivant l’emplacement,
    3. Enfin, vous pouvez aussi faire glisser une image depuis votre gestionnaire de fichiers ou d’images vers la fenêtre de GIMP : sur la boîte à outils pour créer une nouvelle image, sur la fenêtre d’image pour ajouter votre nouvelle image en tant que calque de l’image actuelle.

    Zoomez et déplacez la vue à la souris Plutôt que d’utiliser l’outil Zoom vous pouvez vous servir de la molette de la souris avec la touche Ctrl pour zoomer (molette vers l’avant) ou dézoomer (molete vers l’arrière). Plutôt que d’utiliser les ascenseurs horizontal et vertical pour déplacer la vue de votre image, vous pouvez utiliser la molette de votre souris : appuyez sur la molette (comme si c’était un bouton) puis déplacez la souris, vous déplacez ainsi la vue de votre image.

    1. L’outil Recadrer permet de tracer un rectangle visant à réduire le canevas.
    2. Attention, il agit sur toute l’image (exception à la règle énoncée plus haut).
    3. Il est possible de fixer des contraintes (proportions, largeur, hauteur ou taille).
    4. Généralement on fixe les proportions pour créer une découpe selon un rapport bien précis.

    Dans la vidéo suivante vous verrez un découpage libre suivi d’une découpe carrée (rapport 1:1). C’est l’outil Rotation qui nous permet de pivoter un calque. Sélectionnez-le dans la boîte à outils puis cliquez sur l’image pour l’utiliser. Vous pouvez ensuite, à la souris, faire pivoter le calque.

    Validez en cliquant sur Rotation dans la fenêtre qui s’est ouverte lors de l’activation de l’outil. À noter que l’outil Rotation offre deux directions (cf. fenêtre Options de l’outil ). Avec la direction normale (par défaut) la grille et le calque pivotent de concert ; cela sert à faire tourner un élément ne nécessitant pas de calage particulier.

    Pour redresser l’horizon utilisez la direction corrective : seule la grille pivote. Vous devez alors faire correspondre les lignes horizontales de la grille avec l’horizon de la photo. Validez et la photo est pivotée. Des trous apparaissent dans le calque ? C’est normal, le calque rectangulaire a été pivoté.

    • Or, le canevas est toujours rectangulaire et toujours droit.
    • Donc, dans les quatre coins on voit apparaître des zones transparentes.
    • Commencez par agrandir le canevas pour qu’il laissent apparaître le calque dans son ensemble : Image → ajuster le canevas au calque,
    • Puis recadrez avec l’outil Découpage,

    Il manque un morceau de ciel ? Vous souhaitez le recréer ? Utilisez l’outil Clonage pour recréer de la matière. Augmentez la taille de la brosse pour coller la matière où l’on veut. Attention, cette seconde méthode est plus longue et fastidieuse et pas forcément nécessaire.

    Préférez le découpage qui fait disparaître les vides et des zones peu importantes de la photo. Dans la barre de titre de la fenêtre d’image sont affichées un certain nombre d’informations, dont les dimensions de l’image (toujours en pixels). Selon l’usage que vous destinez à votre image, vous devrez réduire ses dimensions.

    Notamment pour un envoi par e-mail ou pour la publier sur une page Web. Pour de l’impression il faudra considérer également la résolution. Le menu Image → Échelle et taille de l’image vous permet cela. Conservez le ratio ! C’est un des travers des logiciels de graphisme en général : le redimmensionnement ne conserve pas le ratio largeur/hauteur par défaut.

    • Ainsi, si vous n’y prêtez pas attention, vous déformez l’image.
    • Prenez donc garde à ce que la petite chaîne soit toujours liée (les cas où il faut la délier sont rares) : cela vous garantit de conserver les proportions entre la largeur et la hauteur.
    • Dans ce cas, vous raisonnez en pixels, et uniquement en pixels.

    Pour un envoi par e-mail, une largeur de 800 pixels est largement suffisante. En effet, les clients mail réduisent l’affichage d’une image et rares sont les fois où le destinataire agrandit l’image. Donc, si l’image est trop grande, cela induit un surplus inutile d’informations transférées dans la boîte mail, avec toujours le risque de la saturer.

    • Pour du Web, il faut savoir si l’image sera proposée derrière un lien invitant à voir l’image (dans ce cas, vous pouvez lui laisser une grande définition) ou simplement en tant qu’illustration d’un article (dans ce cas, inutile qu’elle soit plus large que la zone de texte de l’article).
    • Qu’importe la résolution ! La résolution (exprimée en DPI, points par pouce) détermine comment l’image sera imprimée, avec quelle densité de points par pouce (ou centimètre).

    Ici, nous ne sortons pas de l’écran, les unités du monde réel telles que pouce et centimètre n’ont aucune pertinence. La résolution n’a aucune influence sur le poids du fichier image final ! C’est en jouant sur ses dimensions (donc la quantité de pixels) que vous pourrez le réduire.

    • Pas sur la résolution qui n’est qu’une densité.
    • Il est une légende tenace qui court toujours : il faudrait que la résolution des images pour le Web soit de 72 DPI.
    • C’est parfaitement faux ! La résolution n’a aucun impact sur le poids des images.
    • De plus, la valeur de 72 DPI correspond à la résolution des écrans cathodiques de la fin du XXe siècle (un écran a effectivement une résolution d’affichage : il affiche des pixels et c’est un objet physique mesurable dans le monde réel).

    Or ces écran ont quasiment tous disparus de la circulation. Aujourd’hui nous avons des écrans plats (ceux de base ont une résolution de 96 DPI mais d’autres plus évolués peuvent avoir des valeurs supérieures), ainsi que des tablettes et des téléphones (dont les résolutions se situent plutôt au-delà de 150 DPI).

    Il faut bien savoir que vous ne maîtrisez absolument pas la manière dont seront affichées vos images sur écran : vous ne pouvez savoir quel type d’écran utilisent vos visiteurs, ni la manière dont ils sont réglés. Inutile donc de se préoccuper de résolution. Dans ce cas, vous raisonnez en unités réelles (millimètres ou centimètres).

    Le menu Image → Taille de l’impression permet de régler la résolution. En aucun cas cela ne modifie les dimensions de votre image ! Cela modifie juste l’information de résolution qui sera utilisée pour l’impression si aucun paramètre de zoom n’est appliqué à ce moment-là.

    Fixez d’abord la résolution Avant de changer les dimensions d’impression de votre image vous devez fixer la résolution, sans quoi vos dimensions en centimètres signifieront rien. Pour dimensionner une image en unités réelles, c’est aussi via Image → Échelle et taille de l’image, Là vous pouvez changer l’unité proposée (pour le millimètre par exemple) et également changer la résolution.

    Interpolation Derrière ce mot barbare se cachent plusieurs algorithmes qui décident de la manière de gérer les pixels créés (en cas d’agrandissement) et les pixels supprimés (réduction). En effet, si vous optez pour aucun algorithme, l’agrandissement se fera en dupliquant les pixels existants et la réduction en supprimant un ou plusieurs pixels régulièrement, sans toucher aux pixels qui restent.

    En revanche, si vous optez pour un algorithme, il va calculer des moyennes : pour l’agrandissement, les nouveaux pixels seront issus de moyennes des pixels voisins ; pour la réduction, les pixels restants seront calculés à partir des pixels supprimés afin de conserver toute la diversité colorimétrique.

    Enregistrer son travail signifie que l’on veut le garder en l’état. Pour cela on utilise donc le format de travail de GIMP : le XCF. C’est le seul format qui vous garantit de conserver vos calques, la sélection active, bref, de reprendre votre travail comme si vous ne l’aviez interrompu.

    • Cela passe par Fichier → Enregistrer ou Fichier → Enregistrer sous pour lui donner un nouveau nom.
    • Vous ne pouvez enregistrer qu’au format XCF.
    • On parle d’export lorsque l’on veut utiliser l’image dans un autre logiciel que GIMP (Scribus, Inkscape, etc.) ou pour en avoir un usage seulement contemplatif (sur le Web, par e-mail, en diaporama, etc.) Pour cela, passez par le menu Fichier → Exporter qui ouvre une fenêtre similaire à l’enregistrement, mais sémantiquement dédiée à l’export.

    Le Web impose des contraintes de poids et de dimensions. En effet, il est souvent inutile de charger une image plus grande que la page Web ou pire, que l’écran. De même, pour le format vous n’avez guère de choix. Ce sera du Jpeg pour les photos et du PNG pour les images comportant peu de couleurs.

    Vous devez d’abord réduire les dimensions via le menu Image → Échelle et taille de l’image, La contrainte se portera en priorité sur la largeur, le Web étant un média défilant tout en hauteur. À titre indicatif, un bandeau tenant sur toute la largeur de votre page mesure entre 960 et 1200 pixels. Ne pas confondre résolution et définition ! N’oubliez jamais que les pages Web se mesurent en pixels, de même que l’affichage de votre écran.

    Aussi, pour vos images, vous devez raisonner en pixels et non en centimètres ou millimètres. C’est donc la définition (largeur × hauteur en pixels) que vous devez réduire et non la résolution (exprimée en PPI ou DPI, pixels ou points par pouce). Contrairement à la rumeur courante, diminuer la résolution n’a aucun effet sur le poids de l’image ! Ensuite, exportez votre image au format Jpeg.

    GIMP affiche alors une fenêtre réduite des options que vous pouvez changer. Ouvrez les options avancées. Cochez également Afficher l’aperçu dans la fenêtre d’image, Outre le fait d’avoir un aperçu des dégats que vous faites subir à votre photo (faut-il rappeler que le Jpeg est destructif), vous aurez également l’information, en temps réel, du poids du fichier.

    Décochez sans hésiter l’enregistrement des données Exif, XMP et de la vignette qui prennent de la place inutilement. Optez pour le sous-échantillonnage 4:4:4 : sil augmente le poids, il garantit une meilleure qualité d’image et donne accès à l’adoucissement (réducteur de poids).

    Enfin, vous pouvez diminuer la qualité en gardant un œil sur la fenêtre d’image pour constater les affres de la compression. GIMP est modulaire et il existe nombre d’extensions pour augmenter ses possibilités. L’extension ajoute le menu Fichier → Enregistrer pour le Web qui facilite le travail. Pour l’installer, le plus simple est d’utiliser le paquet d’extensions pré-emballées pour Windows ou Debian Linux (et à priori les distributions de la famille Ubuntu).

    Si vous n’êtes pas dans l’un de ces cas de figure, il faut suivre les indications données sur la page de l’extension. Cette extension s’occupe d’alléger la photo mais aussi de la redimmensionner, sauf si l’une des dimensions dépasse 4096 px. Dans ce cas, vous serez notifié du message « the image is too large » et vous devrez par Image → Échelle et taille de l’image,

    Cette extension permet généralement d’obtenir de meilleurs résultats que le simple export en Jpeg. Après avoir choisi le format d’export deux onglets vous proposent différentes opérations. Le premier concerne les opérations de réduction de poids du fichier image. Le second vous permet de réduire les dimensions de l’image et de la découper.

    Pour le format Jpeg, deux paramètres sont essentiels pour réduire le poids :

    • Qualité : plus vous baissez la qualité, plus vous diminuez le poids du fichier image, mais plus vous ferez apparaître des artefacts sur des éléments de contraste.
    • Adoucissement : pour compenser l’apparition des artefacts vous pouvez augmenter l’adoucissement : cela aura pour effet de flouter légèrement l’ensemble de l’image. De plus, l’adoucissement diminue également le poids.

    Les outils de sélection sont à la base de tout montage numérique et, dans une moindre mesure, d’opérations d’amélioration d’image. Le but est de délimiter une zone sur laquelle nous appliquons divers traitements, sans toucher au reste de l’image ou du calque.

    • Lorsqu’on sélectionne une partie de l’image avec un outil de sélection, on ne peut agir qu’à l’intérieur de la sélection avec les autres outils tant que celle-ci est active.
    • Une sélection est indépendante des calques, contrairement à un masque.
    • Lorsqu’on fait un copier-coller, cela crée une « sélection flottante ». La renommer ou cliquer sur le bouton Créer un nouveau calque (fenêtre des Calques ) pour qu’elle devienne un calque. Quand on crée une sélection il faut obligatoirement en faire qq chose car aucune autre action n’est possible tant que cette sélection est active. Donc en général, en faire un calque s’avère le plus pratique.

    Dans l’ordre par défaut de la boîte à outils en partant du début, vous disposez de sept outils de sélection :

    • sélection rectangulaire ;
    • sélection elliptique ;

    sélection à main levée (équivalent du lasso dans Photoshop) et polygonale (les deux modes sont utilisables dans une même sélection) : attention, pour clore la sélection il faut revenir clicquer sur le point de départ ; de plus, cette sélection n’est plus modifiable à postériori ;

    • sélection de zones contiguës (baguette magique) : régler le niveau de seuil pour régler la sensibilité de la sélection, plus le seuil est élevé, plus la sélection va englober de couleurs différentes ; vous pouvez aussi utiliser plusieurs fois d’affilée cet outil en mode Addition (touche Maj enfoncée ou cochez le bouton correspondant dans la fenêtre d’options) pour agrandir la zone ;
    • sélection de zones de même couleur : elle fonctionne comme la sélection contiguë mais effectue la recherche sur tout le calque, pas seulement à proximité du clic ;

    sélection en traçant le contour avec les ciseaux intelligents ;

    sélection d’un élément de premier plan.

    Quelques sélections particulières : pour effectuer une sélection carrée ou ronde avec les outils Sélection rectangulaire et Sélection elliptique, commencez à tracer puis appuyez sur la touche Maj pour contraindre ses dimensions. Vous pouvez combiner les sélections avec les touches Ctrl et Maj, y compris des sélections réalisées avec des outils différents :

    • Sélection + Ctrl = soustraction
    • Sélection + Maj = addition
    • Sélection + Ctrl + Maj = intersection

    Enfin, pour supprimer la sélection passez par le menu Sélection → Aucune, Une fois la sélection effectuée, il est possible d’en copier le contenu ( Édition → Copier ) pour l’extraire et en faire un nouveau calque, une nouvelle image, une nouvelle brosse ( Édition → Coller comme ).

    • dégrossir avec un des outils de sélection cités précédemment (principalement Ciseaux intelligents et Extraction de premier plan ), vous obtenez une première sélection ;
    • affiner avec un masque de calque : créez un masque de calque (dans la fenêtre des Calques cliquez droit sur le calque puis Ajouter un masque de calque et choisissez de l’initialiser à la sélection). Ensuite, il faut supprimer la sélection (sinon elle vous empêche de travailler correctement) et utiliser l’outil Pinceau pour peindre directement dans le masque.

    Détecte automatiquement et assez finement un contour et une fois la sélection bouclée, on peut encore ajouter des nœuds pour affiner le tracé. quand on est en cours de tracé, on ne peut pas déplacer le dernier nœud posé (si erreur de tracé) mais il suffit de poser un nouveau nœud et on peut alors déplacer le ou les précédents nœuds.

    Cliquer ou appuyer sur entrée pour transformer en sélection. Une image est un plan en deux dimensions. Un calque est également une image. Cependant, un calque peut être partiellement ou totalement transparent. Que ce soit avec GIMP ou Photoshop, un projet d’image peut comporter un grand nombre de calques, l’image finale résultant de leur aplatissement.

    Les parties transparentes d’un calque laissent apparaître les calques situés en dessous. Pour travailler de manière efficace, vous avez tout intérêt à décomposer votre image en plusieurs, Ces derniers peuvent être comparés aux différents plans d’une scène : au cinéma, on parle d’arrière-plan, de premier plan et des différents plans intermédiaires pour désigner les éléments d’une scène, soit une situation figée par la caméra.

    Pour cela, dans la fenêtre des calques, cliquez droit sur le calque puis choisissez Ajouter un masque de calque, Initialisez ce masque avec la sélection. Une fois ce masque créé, pour continuer à travailler dessus et éventuellement affiner le contour de ce nouvel objet, il faut commencer par désactiver la sélection, car elle n’est plus utile et même gênante.

    À noter : pour travailler les contours de cette sélection, qui est désormais un masque, il faut utiliser l’outil Pinceau avec les couleurs noir et blanc. Le noir fait disparaître la partie correspondante du calque et le blanc la fait apparaître, même au-delà des limites de la sélection (permet de corriger facilement un coup de pinceau un peu leste).

    Le masque a justement cette fonction de retravailler un élément sans altérer le calque : vous faites juste disparaître ou apparaître des portions, mais jamais le calque n’est modifié. Attention si vous voulez faire une copie ( Édition → Copier ) de l’élément détouré (dans le cadre d’un calque masqué), il faut prendre quelques précautions.

    Si le calque est actif (dans la fenêtre des Calques ) et que vous utilisez la fonction Édition → Copier, vous copiez le contenu du calque seul, c’est-à-dire sans application du masque (le détourage n’est pas pris en compte). Si c’est le masque qui est actif, vous copiez le contenu du masque, donc, une image en niveaux de gris (ce n’est sans doute pas non plus ce que vous souhaitez).

    1. Vous voulez sans doute copier ce que vous voyez.
    2. Dans ce cas, il faut utiliser la fonction Édition → Copier visible, alors, vous faites une copie aplatie de ce que vous voyez réellement dans le canevas (y compris d’autres calques s’il y en a).
    3. Une fois cela fait il ne vous reste qu’à coller pour créer une nouvelle image : Édition → Coller comme → Nouvelle image,

    Vous isolez ainsi votre élément détouré dans une nouvelle image que vous pouvez exporter dans un format gérant la transparence (PNG, Tiff, mais pas Jpeg !). L’extraction de premier plan se fait en deux étapes. Ne changez pas d’outil avant d’avoir achevé l’opération !

    • Il faut d’abord détourer grossièrement (l’outil de sélection montre un lasso, il se comporte donc comme l’outil Sélection contiguë ). Cette étape sert à délimiter une zone de travail. L’image est alors recouverte d’une couche rouge, verte ou bleue (la couleur est paramétrable dans les options de l’outil). Une partie plus claire montre la zone qui sera sélectionnée.
    • L’outil prend alors le comportement du pinceau, avec lequel on va aller recouvrir un maximum des couleurs contenues dans l’objet à détourer. Si la zone sélectionnée n’est pas complète, on peut compléter avec des coups de pinceaux supplémentaires mais cela sera moins précis. On peut aussi, en pressent conjointement la touche Ctrl supprimer des zones (en cas de débordement impromptu). Lorsque la zone de couverture est satisfaisante vous pouvez créez la sélection en appuyant sur Entrée,

    Libre à vous de finir avec la méthode du citée précédemment pour affiner le détourage. Ce n’est pas le tout d’avoir découpé une rose ou un palmier, il faut en avoir utilité ! Voici un exemple d’utilisation du palmier dans un nouveau décor. Une image est un plan en deux dimensions.

    • Un calque est également une image.
    • Cependant, un calque peut être partiellement ou totalement transparent.
    • Que ce soit avec GIMP ou Photoshop, un projet d’image peut comporter un grand nombre de calques, l’image finale résultant de leur aplatissement.
    • Les parties transparentes d’un calque laissent apparaître les calques situés en dessous.

    Pour travailler de manière efficace, vous avez tout intérêt à décomposer votre image en plusieurs calques. Ces derniers peuvent être comparés aux différents plans d’une scène : au cinéma, on parle d’arrière-plan, de premier plan et des différents plans intermédiaires pour désigner les éléments d’une scène, soit une situation figée par la caméra.

    1. Les coulisses du montage : L’image finale est donc le résultat de la superposition des calques visibles auxquels sont appliqués les éventuels masques.
    2. Il est conseillé de conserver l’empilement de calques tout au long du processus créatif.
    3. Cependant, vous pouvez fusionner certains calques ensembles, voire tous.

    Depuis la fenêtre des Calques un clic droit vous donne accès à un menu d’où vous pouvez :

    • Nouveau depuis le visible : un nouveau calque est créé résultant de la fusion de tous les calques visibles, les calques existants ne sont pas modifiés ;
    • Fusionner vers le bas : le calque sur lequel vous effectuez le clic est fusionné avec celui situé juste en dessous ;
    • Fusionner tous les calques : fusionne tous les calques et conserve le canal alpha s’il est présent ;
    • Aplatir l’image : fusionne tous les calques et supprime le canal alpha.

    Dans la fenêtre des Calques vous pouvez également changer la position d’un calque dans la pile :

    • cliquez-glissez le calque pour le placer là où vous le souhaitez ;
    • ou utilisez les boutons représentant des flèches vers le haut ou le bas.

    La sélection flottante C’est ce qui est produit lorsque vous collez dans l’image ( Édition → Coller ) un élément précédemment copié. Pour convertir une sélection flottante en calque, double-cliquez sur son nom (dans la fenêtre Calques ) et changez-le.

    • Canal alpha et transparence Le canal alpha permet de faire varier l’opacité de chaque pixel du calque rendant ainsi translucides certaines zones.
    • Pour activer le canal alpha d’un calque, passez par le menu Calque → Transparence → Ajouter un canal alpha,
    • Si le calque dispose déjà d’un canal alpha, la fonction est grisée.

    Concrètement, lorsque vous utilisez l’outil Gomme ou la fonction Édition → Effacer (touche Supprim ) si la partie effacée est remplacée par la couleur d’arrière-plan (souvent du blanc), c’est que votre calque n’a pas de canal alpha. Il faut sans doute en ajouter un.

    Groupe de calques Il est possible de classe les calques par groupe. La fenêtre des Calques propose un bouton Créer un nouveau groupe de calques, Il suffit ensuite d’y glisser les calques désirés. L’outil Déplacement est facétieux et peut avoir tendance à déplacer autre chose que ce qu’on croit déplacer.

    En effet, par défaut, l’outil pointe un calque ou un guide, c’est-à-dire, choisit le calque situé sous le pointeur de la souris lorsque vous cliquez. Selon le contenu du calque, cela peut poser quelques problèmes, notamment pour un calque de texte plein de vide autour des caractères.

    • Pour régler cela, il faut aller dans les options de l’outil et choisir le deuxième mode déplacer le calque actif pour éviter que la sélection de l’objet à déplacer ne change quand on bouge la souris.
    • Les dimensions d’un calque sont propres à chaque calque et ne dépendent pas des dimensions du canevas.

    Vous pouvez donc avoir des calques plus grands, plus petits, voire décalés par rapport au canevas. Tout ce qui dépasse du canevas est sauvegardé lorsque vous enregistrez votre travail ( Fichier → Enregistrer ), mais pas lorsque vous exportez dans un format d’image autre que le XCF ( Fichier → Exporter ).

    • Calque → Taille des bords du calque, fonction similaire à Image → Taille du canevas, vous définissez de nouvelles dimensions pour le calque en rentrant les valeurs à la main.
    • Calque → Calque aux dimensions de l’image, les nouvelles dimensions sont celles du canevas.
    • Calque → Découpage automatique du calque, le calque est réduit de sorte a ce que ses limites ne contiennent plus de vide sur les bords.
    • Tracez une sélection rectangulaire et utilisez la fonction Calque → Rogner selon la sélection pour réduire les dimensions du calque à cette sélection.

    Lorsque vous importez de nouvelles images en tant que calque, il se peut que les calques résultants dépassent des bords du canevas. Une solution simple consiste à élargir le canevas pour que tous les calques apparaîssent entièrement : Image → Ajuster le canevas aux calques,

    Ouvrez deux photos dans une même image (la deuxième doit être ouverte en tant que calque). Décalez la photo du dessus pour qu’elles soient côté à côte tout en se recouvrant légèrement (disons 20% de la largeur). Associez un masque (blanc) au calque qui est au-dessus, et créez un dégradé sur ce masque à l’endroit où l’on veut créer la transition douce entre les deux images (donc tracer un segment plutôt court, qui reste dans la zone de recouvrement).

    Vous pouvez ensuite faire des ajustement en déplaçant le calque (son masque suivra) ou simplement le masque avec son dégradé. L’outil Gomme est inapproprié pour effacer un élément indésirable d’une photo : en effet, la gomme se contente de faire un trou ou de remplir avec une couleur unie.

    1. Il faut donc recréer l’arrière-plan avec de la matière prise ailleurs dans l’image et qui produise un rendu crédible.
    2. Attention, il ne faut pas espérer recréer la réalité : le but étant seulement que le résultat soit crédible.
    3. L’outil a utiliser est Clonage (son icône représente un tampon).
    4. La première étape est de définir la source, c’est-à-dire, l’endroit où l’on prend la matière pour la peindre.

    Pour cela, cliquez sur la zone voulue comme source en pressant la touche Ctrl, Ensuite, choisissez bien votre brosse ( Clonage est un outil de peinture) : des bords flous pour un meilleur mélange entre la matière ajoutée et celle existante, et une taille de brosse adaptée à la zone de travail (pas trop grosse pour ne pas déborder, pas trop petite pour ne pas passer trop de temps).

    • aucun = la source suit le mouvement de la souris mais revient à sa position d’origine dès que vous lâchez le bouton ;
    • aligné = la position du clone par rapport à la source reste fixe, même quand vous lâchez le bouton de la souris ;
    • fixé = la source reste à la même place indépendamment des mouvements de la souris ;
    • enregistré = la source reste attachée au calque d’origine : donc vous pouvez aller cloner sur un autre calque, et même sur une nouvelle image.

    Dans la vidéo suivante vous pourrez voir un exemple de clonage. L’outil Perspective est un outil de transformation, il vous permet de modifier la perspective d’un calque. Comme pour l’outil Rotation il propose une direction normale et une direction corrective.

    • Choisissez comme repère une zone de l’image qui doit devenir rectangulaire et alignez la grille dessus.
    • Attention, plus la grille est réduite, plus le calque résultant sera grand et inversement !

    Une fois la perspective redressée vous pouvez redimensionner le canevas ( Image → Ajuster le canevas aux calques ) et corriger la déformation qui s’est forcément produite en largeur ou en hauteur (le calque résultant est étiré en largeur ou en hauteur).

    • Pour cela utilisez l’outil Mise à l’échelle,
    • Pour cette dernière correction optez pour le sens de la réduction du calque : la correction de perspective a eu pour effet d’augmenter les dimensions du calque (le calque a été étiré) ce qui produit une perte de qualité ; donc, avec Mise à l’échelle il vaut mieux réduire la taille du calque pour atténuer la dégradation précédente.

    Voici un exemple en vidéo. Les outils de manipulation des couleurs se trouvent dans le menu Couleurs, Vous pouvez également les ajouter dans la boîte à outils via Édition → Préférences → Boîte à outils en cochant les outils que vous souhaitez faire apparître (faites apparaître l’œil).

    Répétez les paramètres de couleur Lorsque vous utilisez un outil de couleur les paramètres choisis sont automatiquement enregistrés. Vous pouvez les réappliquer ensuite (sur un autre calque, d’une autre image, y compris des mois plus tard) en utilisant la liste Préselections située en haut de chaque fenêtre de paramétrage d’outil.

    Par défaut ils sont nommés avec la date et l’heure à laquelles vous les avez appliqués. Vous pouvez en conservez certains en les nommant (bouton + ). Une photo prise dans un environnement peu lumineux sera très sombre à l’écran. Pourtant, même si votre œil ne les distinguent pas, des nuances sont tout de même présentes, à moins d’avoir pris la photo dans le noir total.

    Les outils Niveaux et Courbes (outils de couleurs) permettent de faire ressortir ces nuances. Figure 1. Corriger avec Niveaux Trois curseurs vous permettent de modifier cette répartition. Ainsi, dans notre exemple, vous constatez que toutes les couleurs sont rassemblées vers la gauche (couleurs sombres).

    En ramenant le curseur de droite (aussi appelé « point blanc », il symbolise l’intensité maximale) vers les couleurs sombres, celles-ci augmenteront en intensité. En effet, elles seront plus proches de l’intensité maximale. Le point médian est appelé « gamma ».

    • Il permet de jouer sur le contraste : déplacez le curseur à droite pour augmenter le contraste ou à gauche pour le diminuer.
    • Vous pouvez agir séparément sur les quatre canaux de couleur rouge, vert, bleu et alpha, mais aussi sur leur valeur résultante.
    • Effectuez votre choix dans la liste déroulante en haut à gauche, le bouton Auto permet d’appliquer un réglage automatique qui convient dans bon nombre de cas.

    Ce réglage affecte les quatre canaux de couleur, mais pas le canal valeur. Cela peut être un bon point de départ pour votre travail de réglage de niveaux. Les trois pipettes permettent de définir respectivement le point noir, le gamma et le point blanc en pointant dans le calque.

    Là encore, seuls les canaux de couleur sont affectés, pas celui de valeur. Enfin, en agissant sur les deux curseurs Niveaux de sortie, vous pouvez filtrer certaines couleurs à l’extrémité de leur spectre ; par exemple, éliminer tous les rouges vifs en déplaçant le curseur droit du canal rouge. Figure 2.

    Corriger avec la courbe La courbe permet des réglages encore plus souple qu’avec les niveaux. Avec les niveaux, vous effectuez des réglages linéaires. Avec la courbe vous pouvez réhaussez seulement les parties sombres en plaçant un point au milieu de la courbe, puis un autre dans la partie sombre.

    Déplacez ce dernier vers le haut. Le point central empêche la répercussion de votre modification sur les teintes claires. L’outil Courbes nécessite pas mal de tatonnements : il est facile d’obtenir des couleurs psychédéliques. Aussi utilisez-le seulement si vous n’êtes pas satisfait de l’outil Niveaux,

    Créez un calque transparent situé au-dessus de votre photo. Appliquez-lui une couleur : à partir de la palette de couleurs dans la boîte à outils, choisissez une couleur (par exemple un sépia) et faites la glisser dans le calque transparent. Choisissez un mode de fusion différent de « normal » pour le calque coloré en haut de la fenêtre des Calques,

    • Image → Mode → Niveaux de gris : basique, vous ne pouvez que constater l’effet produit.
    • Couleurs → Désaturer : trois modes s’offrent à vous, basés sur trois calculs différents.
    • La méthode la plus souple reste d’utiliser l’outil Colorier (oui, ça fait toujours bizarre pour du noir et blanc) : baissez la saturation à 0 et jouez sur la luminosité. Vous pouvez renforcer les contrastes ensuite avec l’outil Niveaux,

    L’outil Texte permet d’insérer du texte dans vos compositions. Sélectionnez-le, cliquez quelque part dans votre image et saisissez votre texte. Vous venez de créer un calque de texte, calque aux fonctionnalités spécifiques (remarquez la vignette dans la fenêtre Calques ), mais limitées.

    Le texte est trop petit ! Par défaut, la taille de police est très petite donc vous pouvez taper du texte et avoir l’impression qu’il n’apparaît pas ! Par défaut la taille du texte est de 18 pixels. Si votre image mesure 2000 pixels de haut, imaginez le rapport. Il faut donc augmenter la taille du texte dans la fenêtre d’option (pas dans la boîte d’outils Texte qui apparaît au-dessus du texte).

    Vous avez deux manières de modifier la mise en forme :

    • globalement pour tout le cadre de texte avec la fenêtre d’options de l’outil Texte,
    • localement pour le texte sélectionné avec la boîte d’outils texte, qui surmonte le cadre de texte.

    Voici les options que vous pouvez régler pour l’ensemble du calque de texte :

    • la fonte (ou police) : cliquez sur le bouton montrant l’échantillon pour en choisir une autre ;
    • la taille en pixels (ou autre unité au choix à considérer avec la résolution) : pensez que si votre image mesure 3 000 pixels de haut, un texte de 18 pixels sera tel une aiguille dans une botte de foin ;
    • vous pouvez utiliser un éditeur (une fenêtre additionnelle) pour saisir le texte ;
    • lisser le texte revient à adoucir ses contours ;
    • l’ajustement altère la forme des caractères lorsque la taille est petite afin d’améliorer la lisibilité ;
    • la couleur du texte : cliquez sur le bouton ouvre une interface classique de choix de couleurs ;
    • alignez le texte comme vous le souhaitez : les boutons alignent respectivement à gauche, à droite, au centre ou justifient le texte (aligné à gauche et à droite) ;
    • indentez la première ligne de chaque paragraphe (chaque fois que vous appuyez sur Entrée le début de la nouvelle ligne est décalé) ;
    • ajustez l’interligne, c’est-à-dire, l’espace entre deux lignes de texte ;
    • ajustez le crénage, c’est-à-dire, l’espace entre deux caractères ;
    • la boîte est la zone d’inclusion du texte et occasionnellement définit les limites du calque : lorsque la boîte est dynamique, elle s’adapte au texte, sinon, c’est le texte qui s’adapte à la boîte ;
    • enfin, vous pouvez préciser la langue du texte, afin que GIMP gère certains paramètres typographiques (rappelons que GIMP n’est pas un logiciel de publication assistée par ordinateur, n’attendez donc pas de miracle).

    Cette boîte qui n’apparaît que lorsque vous avez choisi l’outil Texte et que vous avez cliquer sur un calque de texte, permet des réglages locaux, sur les caractères sélectionnés. Si vous n’avez rien sélectionné, vos modifications seront sans effet. Concise, elle permet de changer de police (avec un petit reproche, il faut taper, et donc connaître, la première lettre de la fonte pour voir apparaître une liste), la taille (ainsi que l’unité).

    • effacer le style manuel, le texte sélectionné reprend alors l’aspect par défaut ;
    • mettre en gras ;
    • mettre en italique ;
    • souligner ;
    • barrer ;
    • modifier la position du texte par rapport à la ligne de base ;
    • modifier le crénage (espace entre deux caractères) ;
    • modifier la couleur.

    Choisir sa police de caractères comme dans un traitement de texte, c’est-à-dire, en ayant un rendu en temps réel du texte saisi avec la bonne police ? C’est possible grâce à la fenêtre Polices, Voici comment faire en vidéo. GIMP n’est pas un logiciel de mise en page ! L’outil Texte de GIMP a ses limites.

    Si vous êtes habitués à Photoshop ou à un logiciel de dessin vectoriel, vous risquez d’être déçu. Cependant, n’oublions pas que GIMP est un logiciel de retouche d’image matricielle. Or le texte est un composant vectoriel. Si vous voulez un logiciel libre vous permettant de travailler le texte pratiquement sans limite artistique, intéressez-vous à,

    Petit exercice où vous pouvez tapisser un texte avec une image. Ouvrez une image puis créez un texte. Assurez-vous que ce texte occupe suffisamment d’espace : augmentez la taille des caractères à l’extrême, choisissez une police bien grasse. La zone occupée par le texte sera celle où l’on verra l’image.

    Si votre texte est trop fin ou trop petit, vous ne verrez pas grand chose. Sélectionnez le calque du texte dans la fenêtre des Calques puis créez une sélection à partir du texte : clic-droit → Alpha vers sélection (cela sélectionne tout ce qui n’est pas transparent, donc le texte créé), le texte devient sélectionné et sa bordure clignote.

    Puis activez le calque de fond (celui avec l’illustration) et appliquez-lui un masque à partir de la sélection. Ainsi le texte devient masque : il ne reste plus qu’à cacher le calque de texte (avec le petit œil dans la fenêtre des Calques ) pour faire apparaître l’image seulement à travers le texte.

    Le masque peut désormais être déplacé, étiré, etc. Mais vous ne pouvez plus modifier le texte lui-même ! Pour la couleur d’arrière-plan, vous devez créer un calque supplémentaire, blanc par exemple, que vous placez en bas de la pile des calques, et auquel vous pourrez appliquer des couleurs ou textures à l’envie.

    Créez une sélection à partir du texte (cf. exercice précédent). Cachez le calque de texte. Créez un calque transparent et placez-le au-dessus de la pile. À partir de là vous pouvez tracer sur le contour de la sélection : Édition → Tracer la sélection. Choisissez une taille de trait approprié par rapport à la taille du texte et de l’image en général : on voit alors le contenu des lettres transparentes, et une bordure de couleur.

    • supprimer la sélection ( Sélection → Aucune ) ;
    • verrouiller le canal alpha de ce calque (case à cocher dans la fenêtre des Calques en haut, sous le curseur d’opacité), sinon on va barbouiller partout (puisque la sélection n’est plus là pour délimiter le texte) ; une fois le canal alpha verrouillé vous ne pouvez plus agir sur la partie transparente (par exemple, vous ne pouvez appliquer un flou qui implique l’étalement de pixels) ;
    • pour colorier vous pouvez faire glisser une couleur depuis la boîte à outils (couleur qui peut être changée en cliquant sur le rectangle coloré de la couleur de premier ou d’arrière-plan) ;
    • vous pouvez aussi utiliser la fonction Couleurs → Colorier et définir une couleur à partir de sa teinte puis de sa saturation et sa luminosité.

    Des ressources libres que vous pouvez utiliser dans un cadre professionnel en toute légalité : : Initiation à GIMP

    Quel est le meilleur logiciel de retouche photo gratuit GIMP ?

    Découvrir GIMP – GIMP est un logiciel d’édition et de retouche d’image, libre et gratuit. Il possède de nombreux outils pour retravailler une image et permet de réaliser des photomontages ou encore des dessins à la main. Ce logiciel peut être considéré comme une alternative à Photoshop car il dispose de fonctions similaires. Cet outil propose de nombreuses fonctionnalités pour :

    retoucher les couleurs : le logiciel dispose d’outils pipette et de remplissage, de multiples calibres de brosse et traite les dégradés. Il est également possible de créer ou télécharger de nouvelles brosses et nouveaux dégradés de couleurs. réaliser une sélection et des calques : l’outil permet de faire des sélections rectangulaires, elliptiques ou à main levée. Il est également possible de modifier la taille et position d’une sélection grâce à des poignées, sans altérer le contenu. Il propose également un outil d’extraction du premier plan et possède une gestion des claques. utiliser des éléments vectoriels : vous avez accès à des segments et courbes qu’il est possible de renommer et d’agrandir sans perte de qualité. Vous pouvez aussi les tracer d’un simple trait ou à l’aide de brosses. adopter des effets, scripts et filtres : vous disposez de 150 effets et filtres répartis dans des catégories. Il est également possible de créer ou télécharger des scripts.

    Vous pouvez télécharger vos créations sous tous types de formats. Des fichiers GIF ou MPEG peuvent être créées grâce à un plugin d’animation. Le logiciel est diffusé sous la licence GPLv3. GIMP dispose également de version desktop sur Windows, macOS et Linux.

    Comment bien debuter avec GIMP ?

    Chapitre 2. Mise en service de GIMP Le plus souvent vous lancez GIMP en cliquant sur une icône (si votre système est configuré pour vous en afficher une), ou en tapant gimp sur la ligne de commande. Si vous avez plusieurs versions de GIMP installées, vous devrez taper gimp-2.6 pour lancer la dernière version.

    1. Vous pouvez, si vous le désirez, donner une liste de fichiers d’image dans la ligne de commande après le nom du programme, pour qu’ils soient automatiquement ouverts au démarrage de GIMP,
    2. On peut aussi, bien sûr, ouvrir des images une fois le programme démarré.
    3. La plupart des systèmes d’exploitation savent associer les extensions de noms de fichier (comme,jpg) à un logiciel particulier.

    Vous pouvez ainsi associer les fichiers d’image à GIMP qui les ouvrira quand vous cliquerez sur le nom de fichier. GIMP est probablement le programme de manipulation d’images le mieux accepté par les différents systèmes d’exploitation. Plateformes sur lesquelles GIMP a été vu fonctionner : GNU /Linux ™, Apple Mac OS X ™, Microsoft Windows ™, OpenBSD ™, NetBSD ™, FreeBSD ™, Solaris ™, SunOS ™, AIX ™, HP-UX ™, Tru64 ™, Digital UNIX ™, OSF/1 ™, IRIX ™, OS/2 ™, and BeOS ™.

    GIMP peut aisément être porté sur d’autres systèmes grâce à la disponibilité de son code source. Pour plus d’informations visitez la page web des développeurs du GIMP, GIMP détecte automatiquement la langue de votre système d’exploitation. S’il échoue, ou si vous désirez changer la langue utilisée par GIMP, voici comment faire : Linux Sous LINUX : en mode console, tapez LANGUAGE=fr gimp ou LANG=fr gimp en remplaçant fr par en, de,,

    selon la langue choisie. En utilisant LANGUAGE=en vous choisissez une variable d’environnement pour le programme gimp dans ce cas. Windows XP Sous WINDOWS XP : allez sur //, Cliquez sur le Bouton Variables d’environnement puis sur le bouton Nouveau et entrez LANG pour Nom et FR, EN, DE,

    Pour Valeur. Attention ! vous devez cliquer sur trois « OK » successifs pour valider votre choix. Si vous changez souvent de langue, vous pouvez créer un fichier de commandes,BAT. Ouvrez le Bloc-Note. Tapez les commandes (pour avoir GIMP en anglais) : set lang=fr start gimp-2.6.exe Enregistrez ce fichier sous le nom GIMP-EN.BAT (ou tout autre nom mais toujours avec l’extension,BAT).

    Créez un raccourci pour ce fichier et faites-le glisser jusque sur votre bureau. Autre possibilité : → →, Choisissez et sélectionnez la langue voulue dans la liste déroulante. Apple Mac OS X Allez dans les Préférences système, cliquez sur l’icône International et dans l’onglet Langue, la langue voulue doit être placée en premier dans la liste.

    Comment changer l echelle d’une image ?

    Cliquez sur l’entrée Imagedu menu et les sous-menus apparaîtront. Cliquez sur Échelle et taille de l’image Cela fait apparaître une boîte de dialogue Échelle de l’Image. Inscrivez la largeur choisie dans la case Largeur.