Se faire plaisir – Sans tomber dans la boulimie, manger ce qui nous fait plaisir est un bon moyen de lutter contre le chagrin. Noyer son chagrin dans un pot de glace ou se réconforter avec une tablette de chocolat active les circuits de la récompense au niveau cérébral et déclenche la sécrétion d’endorphines, surnommées « hormones du plaisir ».
Contents
- 1 Pourquoi ça fait si mal un chagrin d’amour ?
- 2 Quelle durée pour faire le deuil d’une séparation ?
- 3 Pourquoi il ne faut pas rappeler son ex ?
- 4 Pourquoi rejeter la personne qu’on aime ?
- 5 Pourquoi je pense à lui tout le temps ?
- 6 Pourquoi faire souffrir les gens que l’on aime ?
- 7 Pourquoi le chagrin fatigue ?
Pourquoi ça fait si mal un chagrin d’amour ?
: des répercussions physiques & psychologiques ! – Les neurosciences expliquent également la douleur ressentie face à une rupture sentimentale. Les études récentes prouvent que lorsque vous êtes amoureux, une grande partie de dopamine (l’hormone liée au plaisir et au bien-être) est libérée dans notre corps.
Ce qui peut donner l’impression de flotter sur un petit nuage. Face à la rupture amoureuse, cette production d’hormones diminue, d’où une sensation de mal-être ou encore de tristesse. D’après les neuroscientifiques, ces sensations peuvent même générer des maux physiques. Les douleurs physiques et les ressentis sentimentaux sont traités dans les mêmes zones de notre cerveau ! Le syndrome du cœur brisé met donc en évidence le lien puissant entre l’esprit et le corps.
Votre corps est le miroir de vos émotions. D’ailleurs cela se ressent très bien dès les prémices d’une relation amoureuse. Papillons dans le ventre, frissons et battements du cœur qui accélèrent.
Comment faire pour ne plus avoir le cœur brisé ?
Il m’a brisé le cœur : comment remonter la pente ? – Les grands remèdes des cœurs brisés sont le temps qui passe, le sommeil et le repos. Accepter d’être entouré juste après le choc émotionnel Au début, après l’annonce de la rupture, lorsque nous sommes encore sous le choc, la présence bienveillante d’une personne silencieuse, affectueuse, qui comprend, ne juge pas et nous accepte telle que l’on est, nous aide à passer les heures qui paraissent sans fin.
- Renouer petit à petit avec la notion de plaisir Lorsque le calme revient, nous avons la sensation étrange d’être témoin de ce qui se passe pour nous, par exemple de cette perte du goût de vivre.
- Ce sont parfois des gestes ou des petits plaisirs très simples qui nous aident à nous sentir mieux dans notre corps, à travers nos sens : une tisane savoureuse, un très bon thé, la marche dans la nature, une bonne relation avec un animal, enlacer un arbre, nager dans une eau calme, sentir les parfums des fleurs, écouter le chant des oiseaux, prendre un bain Quand on a perdu l’appétit, on peut choisir ses aliments préférés et essayer d’en manger de petites quantités aussi souvent que nécessaire pour avoir de l’ énergie, accompagnées d’une tisane au gingembre pour faire passer les nausées.
Être actif, et faire appel à sa créativité Puis, dès que nous pouvons écouter de la musique, n’hésitons pas à le faire : la musique apaise profondément, adoucit, harmonise et répare le cœur. Nous pouvons aussi cuisinier un peu, jardiner, coudre, dessiner, peindre, avoir une activité créative qui va permettre de libérer l’esprit.
Célébrer le renouveau Viendra enfin le temps de changer son parfum ou sa décoration intérieure, de nous offrir un petit cadeau, de faire un voyage inédit, ainsi que méditer ou danser pour nous reconnecter plus fortement à notre désir de vivre ! Merci à Saverio Tomasella, docteur en psychologie, auteur de Se libérer du complexe de Cendrillon, aux éditions Eyrolles.
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Est-ce qu’on se remet d’un chagrin d’amour ?
Les chagrins d’amour finissent par guérir. Alors oui, accepter la fin d’une histoire d’amour peut mettre du temps. Voire beaucoup de temps. Mais croyez-nous : on finit souvent par s’en remettre.
Pourquoi la rupture me fait encore mal ?
La rupture des couples fusionnels met en jeu des mécanismes existentiels profonds – Pour Jean-Yves Caen, la douleur de la rupture est aussi liée à l’intensité de la relation : chez les couples fusionnels, par exemple, ” c’est tellement fusionnel, tellement intense qu’au moment de la rupture, la personne qui rompt peut se trouver en situation existentielle difficile “.
- Finalement, la personne n’existe plus sans l’autre.
- En outre, si quelque chose de très fusionnel s’est mis en place, même pour une courte durée, six mois par exemple, l’un des deux peut au moment de la rupture être très harceleur : il fait alors tout pour forcer l’autre à ce que la relation ne se termine pas.
De plus, les relations fusionnelles mettent en jeu des mécanismes existentiels profonds. Dans de tels couples, les gens ont des difficultés à vivre pour eux-mêmes, et vivent à travers l’autre. Quand la rupture survient, le mal-être est d’autant plus profond : car il s’agit d’un mal-être dépendant, d’un mal-être personnel profond et même existentiel.
Ces individus ressentiront alors une forme de douleur d’arrachement, comme si quelque chose leur était arraché, qui faisait partie d’eux-mêmes. Le travail individuel, le fait de consulter seront, pour ces couples, essentiels : car souvent, les personnes qui vivent ce type de couple fusionnel ont à faire un travail de fond pour apprendre à exister pour soi.
Karl Rogers disait qu'” en naissant, nous avons tous un sens d’évaluation interne, cette capacité à s’autoévaluer et s’autopiloter “. Plus une éducation sera centrée sur l’écoute et le non jugement, plus les personnes vont développer ce sens d’autopilotage interne.
Quand l’amour fait mal au coeur ?
La question intrigue les scientifiques depuis longtemps : que se passe-t-il dans la tête d’une personne lors d’une rupture amoureuse ? Plusieurs équipes de scientifiques se sont penchées sur la question de ce qu’on pourrait nommer la maladie de l’Anamour (comme dirait Serge Gainsbourg).
Ce mystérieux syndrome qui vous pousse à envoyer trente textos à votre ex en moins de 15 minutes, à vous enfiler une bouteille de whisky sur le week-end ou bien encore à quitter votre emploi, parce que “plus rien n’en vaut la peine!” Ironie de l’histoire, les hormones impliquées dans la déception amoureuse sont les mêmes que celles qui provoquent les liens amoureux.
Contrairement à ce que l’on peut entendre parfois, avoir le cœur brisé n’inflige aucune douleur physique. Des chercheurs ont observé le cerveau de patients ayant subi une déception amoureuse à l’aide d’IRM. Résultat, aucune activité anormale n’a été constatée dans la région du cerveau associée à la douleur physique.
Cependant, une déception amoureuse entraîne la libération des hormones liées au stress, comme le cortisol ou l’adrénaline. Ce qui se traduit par des nausées, une sensation de manque d’air ou bien encore par un ralentissement du rythme cardiaque (la cardiomyopathie), ce qui peut être fatal dans certains cas,
Une période de sevrage d’au moins trois mois En 2010, une équipe de scientifiques de l’Université Rutgers à New York (États-Unis) a demandé à dix femmes et cinq hommes victimes d’une déception sentimentale mais encore “intensément amoureux” de regarder des photos de leur ex,
Pendant ce temps-là, les scientifiques ont réalisé des IRM pour évaluer ce qu’il se passait dans leur tête. Résultat, les analyses ont montré que leur activité cérébrale était similaire à celle d’un toxicomane en crise de manque quand il n’a pas de cocaïne. Autrement dit, quand on tombe amoureux, c’est comme devenir accro à une drogue.
En l’occurrence, la dopamine, l’hormone du désir, du bonheur et des bonnes surprises. Le cerveau en demande toujours plus, ce qui explique ce sentiment de manque qui tourne parfois à l’obsession au début d’une histoire d’amour. Du style : “Tu raccroches le premier, non, c’est toi en premier”.
- Mais cette douce période n’a qu’un temps, comme vous le savez.
- Le cerveau finit par s’habituer, lui-aussi.
- Au moment de la rupture, une nouvelle phase d’amour obsessionnel s’enclenche.
- Mais dans le sens inverse.
- D’où un fort sentiment de manque.
- Au cours de cette phase, il arrive que le cerveau tente de retrouver du plaisir afin de stimuler la production de dopamine.
Du coup, on a tendance à compenser sur la nourriture. Le cerveau humain aurait besoin de trois mois en moyenne pour se sevrer, d’après les conclusions d’une étude parue début 2015. Comme on dit dans ces moments-là : “Avec le temps, la douleur disparaît”.
Quelle est la rupture la plus douloureuse ?
Le ghosting, méthode de rupture la plus douloureuse – Pour mener leur étude, l’équipe de chercheurs de l’université de Milano-Bicocca, ont interrogé 176 individus de 18 à 36 ans qui venaient de vivre une rupture sous forme de ghosting, d’orbiting ou de rejet.
- Les résultats qu’ils ont obtenus sont plutôt clairs : le ghosting est le genre de rupture amoureuse qui fait le plus mal.
- « Les sentiments d’exclusion étaient plus forts pour les participants ghostés que pour les participants rejetés », explique Lucas Pancani, un des auteurs de l’étude.
- Selon les experts, le ghosting est sans doute la pratique amoureuse la plus toxique qui soit puisqu’elle provoque un sentiment d’incompréhension.
« C’est une expérience d’exclusion plus menaçante », ajoute le chercheur. Selon les résultats, les victimes d’orbiting souffrent un peu moins. « Leur niveau d’exclusion se situe entre ceux ressentis par les ghostés et les individus rejetés », détaillent les scientifiques.
Le rejet, forme de rupture plutôt explicite, reste la méthode qui fait le moins mal. Pour cause, elle a le mérite d’être claire et frontale. C’était leur partenaire depuis des mois, parfois des années. Puis, du jour au lendemain, plus rien. Le #ghosting est une forme de #rupture brutale dont il est difficile de se remettre.
Explications et conseils. https://t.co/Uwjc8mQeoi — Psychologies (@Psychologies_) March 10, 2020
Pourquoi je n’arrive pas à tourner la page avec mon ex ?
Ne pas nier les raisons de la rupture – La rupture ne doit pas être un tabou. Même si vous aimez encore la personne, posez-vous les bonnes questions sur votre rupture. Malgré l’amour, cela n’a pas fonctionné. Alors demandez-vous pourquoi ? Se concentrer sur les raisons de la séparation aide à mieux l’accepter.
Est-ce que celui qui quitte regrette ?
Le regret d’un confort de vie – Pour notre experte, les regrets s’expliquent aussi du fait qu’un couple, ce n’est pas que de l’amour. C’est aussi un confort de vie, des amis, une, ” Quand on quitte l’autre, on n’anticipe pas toujours cet aspect car on se centre sur l’absence de sentiments.
Donc dans le cas de ces personnes qui ont quitté leur conjoint, c’est parfois davantage le mode de vie qui est regretté “, analyse la spécialiste. D’après elle, sont en général temporaires, comme lorsqu’une jeune femme quitte une relation amoureuse installée et se retrouve seule face à son écran, écumant les et enchaînant les speed dating “foireux” jusqu’au jour où elle finit par tomber sur la bonne personne.
On peut donc regretter d’avoir quitté son conjoint pendant 6 mois, mais se dire que finalement c’était vraiment la bonne décision deux ans plus tard.
Quelle durée pour faire le deuil d’une séparation ?
Quelle est la durée d’un deuil ? – Déterminer une durée de deuil, c’est un élément rassurant et sécurisant. La durée d’un deuil est très variable selon l’objet de la perte, le contexte, son état psychologique. Il n’y a ni norme, ni temporalité. Chacun fait son deuil à son rythme et à sa façon,
- Les références internationales mettent en avant une période de 12 mois pour faire un deuil dit réussi pour un adulte et de 6 mois pour un enfant car l’enfant a généralement une plus grande capacité de résilience,
- Néanmoins, il n’y a rien de linéaire : l’expression des ressentis fluctue et les rechutes sont possibles.
Ce n’est pas grave. Déterminer une durée de deuil, c’est un élément rassurant et sécurisant pour les personnes. Cela permet de savoir que ce que l’on vit est tout à fait normal”, prévient notre experte.
Pourquoi il ne faut pas rappeler son ex ?
Recontacter son ex : un scénario commun – On récapitule, votre relation vient de prendre fin. Peut-être est-ce de votre plein gré, ou peut-être pas. A cause de la pandémie, vous vous isolez et vous sentez encore plus déprimé.e ? C’est bien ce qu’on pensait.
Il vous semble alors judicieux de recontacter votre ex et l’implorer de vous reprendre, pour soulager cette peine. Mais, mauvaise, très mauvaise, idée. Dans ce cas, sachez que l’envie d’entrer en contact avec cet ex, n’est pas saine, alors même qu’elle vous semble irrépressible C’est une étude réalisée sur 180 personnes par des chercheurs en psychologie aux Etats-Unis, qui a révélé que cette habitude n’est pas ce qu’il y a de mieux pour nous.
Publiée dans la revue Journal of Social and Personal, cette étude a mené à la conclusion suivante : la raison expliquant cette volonté de revenir vers l’être anciennement aimé est la perte de confiance en soi et non l’amour véritable.
Pourquoi rejeter la personne qu’on aime ?
Pourquoi rejette on les personnes qui s’attachent à nous jusqu’à mettre fin à une relation? Quelle est votre réponse ? Meilleure réponse 23 AVRIL 2022 · Cette réponse a été utile à 15 personnes Bonjour Marie, Une des raisons fréquentes de ce scénario de rejet est la peur de l’abandon : il s’agit d’abandonner ou de ne pas s’attacher pour ne pas souffrir d’être abandonné(e).
- Derrière cela, il y a souvent la croyance limitante que l’on ne mérite pas d’être aimé(e), que l’on va forcément décevoir l’autre et qu’il vaut mieux s’épargner la souffrance de vivre cette déception.
- C’est presque toujours en lien avec un manque d’estime de soi et la manière dont, enfant, on s’est senti(e) abandonné(e) (ou on ne s’est pas senti aimé(e)/reconnu(e)) par ses parents.
Bien à vous, Caroline GORMAND Psychothérapie intégrative (EmètAnalyse), thérapie systémique du couple et de la famille. (Visio consultations et consultations en présentiel, sur rendez-vous) Caroline Gormand Psy sur Clermont-l’Hérault 1625 réponses 2222 J’aime Réalisez une thérapie en ligne Contacter Cela vous a été utile ? Merci d’avoir donné votre avis !
Pourquoi je pense à lui tout le temps ?
Pourquoi je pense à lui tout le temps ? – La première signification que l’on peut donner au fait de penser tout le temps à quelqu’un est l’affection. L’ amour crée une connexion spirituelle entre deux personnes. La pensée représente donc une forme de communication entre les âmes, lorsque les corps sont éloignés.
Autrement dit, il s’agit d’une énergie que deux personnes qui s’aiment, se renvoient l’une à l’autre. Ainsi, quand vous pensez beaucoup à quelqu’un, il est fort probable que lui aussi pense à vous, On parle de loi de l’attraction, Il peut y avoir d’autres raisons de penser continuellement à quelqu’un.
C’est le cas par exemple lorsque la personne, objet de votre obsession, rencontre des difficultés personnelles et que vous estimez être en mesure de lui venir en aide. Aussi, la rupture d’une relation amoureuse ou le décès d’un proche peuvent entraîner des pensées constantes,
Est-ce qu’il m’aime vraiment ?
9. Cette personne est là pour vous même lorsque ça ne va pas – Être amoureux est facile quand tout va bien, mais que se passe-t-il lorsque vous rencontrez une mauvaise passe ou lorsque vous avez besoin de l’autre personne ? Comment réagit cette personne quand il y a un problème, quand elle a besoin d’être là pour vous même s’il y a d’autres choses qu’elle préférerait faire ? L’amour est centré sur les autres ; il ne s’agit pas de ses propres besoins et désirs, mais de la prise en compte de quelqu’un d’autre,
Pourquoi faire souffrir les gens que l’on aime ?
Pourquoi les gens qui s’aiment se font mal, et comment arrêter cela. – Comment se fait-il que des partenaires vivent tellement de conflits ? Comment se fait-il que le Grand Amour Passionnel du début se change en Grande Haine Passionnelle ? Comment des gens qui se sont aimés si profondément peuvent-ils se faire aussi horriblement mal? Dans cet article, j’explique ce qui se passe réellement et comment vous pouvez éviter de laisser entrer ce monstrueux poison dans votre relation.
- Vous étiez profondément amoureuse de votre partenaire.
- Vous l’aimez toujours mais vous ne réussissez plus à communiquer avec lui sans dispute.
- À chaque fois, tout finit en mots durs et douloureux coups de couteau sous la ceinture.
- Après d’épuisantes discussions vous vous retirez dans votre coquille pour lécher vos plaies et réfléchir à une stratégie encore plus efficace pour vous protéger ou lui dire encore plus clairement la prochaine fois que vous avez raison.
Vous vous sentez confuse et vaincue et pourtant vous l’aimez. Comment est-ce possible ? Pourquoi les gens font-ils le plus de mal à ceux qu’ils aiment le plus ? Comment se fait-il que vous n’arriviez pas à exprimer votre amour ? D’où vient ce combat ? Comment se fait-il que vous commenciez une nouvelle conversation avec plein de bonne volonté et qu’elle se termine toujours par des cris et des reproches ? Sans parler du monstre de culpabilité qui vous prend ensuite à la gorge,
Comment arrêter ce cercle vicieux ? Comment pouvez-vous faire en sorte de pouvoir vivre ensemble dans un climat d’amour et de sérénité, car c’est ce que vous voulez vraiment ? Laissez-moi d’abord expliquer ce qui se passe réellement. Nous avons tous besoin d’énergie. Nous avons besoin d’énergie pour vivre et survivre.
L’énergie a plusieurs formes : amour, attention, nourriture, amitié, argent, approbation, reconnaissance, etc. Nous avons tous besoin de ces choses pour nous sentir bien, développer notre personnalité et trouver notre place dans la société. Mais il y a un os : tant que nous croyons que cette énergie doit provenir d’autres êtres humains, nous tomberons dans des situations de lutte,
Car l’énergie humaine est limitée. Nous devons lutter pour l’obtenir. L’énergie humaine ne dure pas longtemps. Il n’y en a pas assez. Par conséquent, nous devons nous battre pour en avoir. C’est ce que nous avons appris. Énergie = attention. Si nous pouvons attirer l’attention des autres sur nous, nous recevons une bonne dose d’énergie,
Nous devons donc être la plus rapide, la plus intelligente, la plus jolie et la meilleure pour attirer sur nous l’attention des autres et ainsi recevoir leur énergie. Si nous ne pouvons pas attirer l’attention sur nous de manière positive, en étant plus intelligente et courageuse ou en faisant de notre mieux, nous essayons une autre stratégie.
Nous tentons d’attirer l’attention par un comportement négatif. Un enfant apprend cela très tôt dans sa vie : lorsqu’il est en train de jouer tranquillement, sa mère s’occupe à d’autres tâches : elle téléphone, prépare le repas, bavarde avec papa. Mais dès que l’enfant pince sa petite sœur ou lui fait mal autrement, sa mère ou son père se précipite pour voir ce qui se passe et donc lui donne son attention.
Ils crient, se fâchent ou s’inquiètent, mais c’est parfait car toute leur attention se porte maintenant sur l’enfant à cause de son comportement. L’enfant a obtenu ce qu’il voulait : l’attention. Et il a également appris comment il peut la soutirer : non pas en étant courageux et sage, mais en manigançant quelque chose.
L’enfant apprend très vite quel comportement va lui donner la plus grande quantité d’attention et d’énergie. Lorsque sa mère ou son père le regarde, même fâché, c’est encore de l’énergie qui arrive vers lui ! Lorsqu’ils le grondent, ils lui donnent de l’énergie. D’accord, c’est une attention négative, mais c’est toujours mieux que rien du tout.
En fait, nous apprenons à nos enfants comment ils peuvent obtenir notre attention de manière négative, Si nous lui donnions caresses, compliments et attention lorsqu’il est calme et sage, nous lui apprendrions que c’est la meilleure manière d’obtenir de l’attention.
- Mais nous ne passons à l’action et n’exprimons nos émotions que lorsqu’ils sont méchants.
- Nous leur passons le message : tu dois être méchant si tu veux que je vienne voir ! Lorsque nous passons de l’enfance à l’adolescence et commençons à sortir, nous découvrons un phénomène très intéressant : lorsqu’on est amoureux, on reçoit énormément d’énergie gratuite de notre bien-aimé,
Nous recevons de l’attention, du temps, de l’amour, des cadeaux, etc. L’autre personne nous donne gratuitement des tonnes d’énergie. Nous ne devons même pas demander, nous ne devons pas appliquer une stratégie pour la recevoir, elle nous est donnée gratuitement, en échange de rien du tout ! Nous laissons simplement agir notre mécanisme habituel pour attirer l’attention.
- Nous nous laissons aller, et c’est tellement agréable.
- Nous sommes amoureuses.
- Nous flottons.
- Nous nous sentons aussi légère qu’un papillon ! Tout semble plus coloré, plus vivant, nous nous sentons légère, la vie paraît si facile, tout est naturel, nous avons le sentiment d’aimer tout le monde et toutes choses, même notre patron grincheux ! Rien ne peut nous blesser, nous nous sentons en sécurité et chargée d’énergie.
Mais c’est l’énergie de l’autre personne, pas la nôtre. Cette personne nous donne gratuitement son attention, nous ne devons rien faire pour la recevoir. Mais c’est ici que se situe aussi le danger ! Nous vivons de l’énergie d’un autre, et l’énergie humaine est limitée.
- C’est exactement là le problème.
- Ce flux d’énergie gratuite commence à diminuer car notre amoureux recommence, à un moment donné, à tourner son attention vers son travail et vers les activités qu’il exerçait avant, avant de nous rencontrer.
- Il reprend le fil de sa vie et nous donne une place dans son univers, mais non plus toute la place comme avant.
Pourquoi cela arrive-t-il maintenant ? Pourquoi ne pouvons-nous pas rester éternellement dans cette ivresse et ne rien devoir faire pour obtenir de l’énergie ? Le corps ne peut pas assimiler pendant longtemps une telle quantité d’adrénaline, dit-on. De plus, cela prendrait trop de temps, nous ne pourrions plus rien faire d’autre.
Nous ne pourrions pas évoluer, nous resterions immobiles, si nous ne nous occupions que d’une seule personne. Mais la vraie raison est que nous devons apprendre à trouver notre énergie ailleurs, non pas auprès d’un être humain, mais auprès de la source universelle d’énergie. Notre amoureux nous donne donc moins d’énergie qu’avant.
Nous étions tout-à-fait habituée à ce flux d’énergie gratuite et voilà que nous devons nous débrouiller nous-même pour l’obtenir ! L’énergie gratuite, c’est tellement plus facile ! Pendant des mois nous n’avons dû faire aucun effort pour la recevoir.
- Et maintenant que nous recevons moins de cette énergie gratuite, nous ne voulons pas l’accepter.
- À ce moment notre ancien système pour obtenir de l’énergie des autres – comme nous l’avons appris dans notre enfance – doit être remis en action vu la pénurie d’énergie.
- Une alarme sonne en nous et nous avertit : « Danger ! Manque d’énergie !» L’ancien mécanisme pour soutirer de l’énergie des autres, qui fonctionnait tellement bien avec nos parents, est automatiquement remis en route et commence à fonctionner.
Ce programme nous fournissait l’énergie nécessaire lorsque nous étions enfant, et est maintenant réactivé suite au manque d’énergie. Et de la même manière que lorsque nous étions un petit enfant, nous tentons maintenant d’attirer l’attention de notre amoureux.
Nous faisons la moue lorsqu’il veut à nouveau assister à un match de foot avec ses amis, ou nous sommes jaloux lorsqu’elle passe de nouveau des heures au téléphone avec ses amies. Nous sortons notre boîte à malices pour manipuler l’attention de notre amoureux et la rediriger vers nous, Et il ne va pas se laisser faire, bien sûr.
Et il va rallumer son mécanisme personnel, qui fonctionnait avec ses parents, pour récupérer l’énergie que nous lui avons « volée ». En fait, comment cela se passe-t-il ? Par quels mécanismes tentons-nous de manipuler l’attention de l’autre et la réorienter vers nous (et essaye-t-il d’attirer vers lui notre énergie) ? Il y a plusieurs possibilités.
Soit en jouant les victimes et en pleurnichant : « Pauvre de moi, regarde tout ce que j’ai fait pour toi, mais tu ne vois rien ; personne ne me regarde, personne n’est reconnaissant ! Regarde un peu le mal que je me donne ! Ai-je donc mérité ce traitement, cette maladie, cette souffrance ! Oh oh oh ! Ce n’est pas juste ! » Une autre manière de soutirer l’attention et l’énergie de l’autre est d’adopter un comportement agressif : insulter, hurler, menacer, intimider, se fâcher, dominer, tenter d’humilier l’autre.
Un troisième mécanisme consiste à contrôler l’autre, espionner, l’inonder de questions (D’où viens-tu ?), vérifier ses allées et venues (Pourquoi arrives-tu toujours aussi tard, tu es certainement allé au bar ou voir untel ou unetelle ?), critiquer constamment (Non mais, tu t’es regardé ? Tu n’as aucune idée !), le harceler et l’humilier (Ce n’est pas étonnant que les enfants soient difficiles avec un père/une mère comme toi !), l’abaisser par toutes sortes de remarques humiliantes ou en faisant des comparaisons (tu es encore pire que ta mère).
Un quatrième système est de s’abstenir de tout contact : il y a une image mais pas de son, nous refusons de répondre, jouons les mystérieuses, ne réagissons pas, dans le but de torturer l’autre et l’embarrasser par un sentiment de culpabilité. L’autre fera tout ce qu’il peut pour reprendre contact, ce qui fait circuler son énergie vers vous.
Ces mécanismes destinés à soutirer l’énergie de l’autre réussissent certainement à réorienter leur énergie vers vous, mais ensuite ? L’autre a maintenant perdu son énergie, se sent affaibli et va tout essayer pour récupérer son énergie. Comment le fait-il ? En utilisant son propre mécanisme qui lui procurait l’énergie lorsqu’il était enfant.
- Il va hurler, ou faire la victime qui ne mérite pas votre traitement, ou vous inonder d’un flot de questions et remarques vicieuses, ou se fermer et refuser tout contact.
- Ceci explique pourquoi nous blessons ceux que nous aimons le plus.
- La première raison est que nous voulons recevoir à nouveau l’énergie qu’ils nous donnaient gratuitement.
Nous pensons y avoir droit. Nous pensons que cette énergie nous appartient, qu’elle est notre propriété. Et pour être sûre que cette énergie est disponible quand nous en avons besoin, nous devons en posséder la source. Donc, nous devons posséder cette personne, cette source d’énergie.
- Nous devons la contrôler pour sauvegarder notre approvisionnement en énergie.
- Une deuxième raison pour laquelle nous blessons celui que nous aimons le plus est que cette personne est là, tout simplement.
- Son énergie est disponible et nous nous en servons selon nos besoins.
- En lui prenant son énergie, nous le faisons souffrir.
Voler l’énergie à quelqu’un revient à le blesser. Ainsi, une véritable guerre fait rage entre deux personnes qui « s’aiment ». Elles manipulent constamment l’attention de l’autre car elles pensent y avoir DROIT. Elles sont plongées jusqu’aux oreilles dans une guerre d’attention.
- Et tout cela sous prétexte « qu’il ou elle est à moi et me doit cette attention ! » Sur base de quel droit nous comportons-nous ainsi ? Que pouvons-nous y faire ? Nous ne devrions entrer en contact avec d’autres personnes que lorsque nous sommes déjà remplies d’énergie.
- Ce n’est qu’ainsi que nous pouvons être sûre que nous ne prendrons pas d’énergie de ces personnes.
C’est automatique : nous nous sentons vide, faible, fatiguée de tous nos soucis, épuisée de travail, surmenée par les enfants, humiliée par le patron, mal comprise par notre famille, pourchassée par nos voisins, sous-estimée par nos collègues, etc. Si, dans cette situation de vide intérieur, nous rencontrons une autre personne, nous allons pomper son énergie pour combler nos propres besoins.
- Mais si nous sommes consciente de ce processus et comprenons qu’il résulte toujours en conflits, luttes et désaccords, nous pouvons décider de devenir autonome en termes d’énergie.
- Cela signifie que nous prenons nos responsabilités pour conserver notre niveau d’énergie et trouver des moyens de le maintenir sans pour autant utiliser ou voler l’énergie des autres.
Lorsque notre niveau d’énergie est bas, nous ne devrions pas entrer en contact avec l’autre. Chaque personne est responsable de sa propre production d’énergie et ne peut pas dépendre d’un autre pour cela. Comment faire ? En vous connectant à l’énergie qui est toujours disponible.
En vous chargeant d’énergie universelle. Celle-ci est toujours disponible, abondante, inépuisable et offerte à tous. La manière la plus facile de vous connecter à cette énergie universelle est de contempler la beauté de la nature. Allez vous promener dans un bois ou dans votre jardin et regardez la beauté des fleurs et des arbres.
Comment surmonter un chagrin d’amour : La méthode à suivre !
Vous pouvez aussi admirer la beauté d’un objet ou d’une personne. Vous pouvez écouter de la belle musique, méditer, prier, danser, peindre, écrire, répéter des pensées affirmatives, lire, voir des amis joyeux, rechercher et exécuter votre mission de vie, caresser votre chat ou votre chien, regarder dans les yeux d’un enfant, bref, rechercher des activités qui rétablissent votre niveau d’énergie.
Faites une liste de toutes les activités qui élèvent votre niveau d’énergie, Dès que vous vous sentez entraînée dans un conflit avec votre partenaire, ou avec qui que ce soit, choisissez un point de votre liste afin de rester centrée sur l’élévation de votre propre niveau d’énergie. Ne vous laissez pas entraîner dans la dispute.
Vous serez toujours perdante. Vous perdrez toujours de l’énergie. Ne dites rien jusqu’à ce que votre niveau d’énergie soit à nouveau suffisant pour pouvoir envoyer de l’énergie à l’autre. En envoyant de l’énergie, vous êtes sûre que vous n’êtes pas en train d’en soutirer.
- Au contraire, vous en donnez.
- C’est un acte d’amour,
- Si vous ne réussissez pas à rétablir le niveau de votre énergie, allez ailleurs, faites quelque chose pour vous-même et attendez que vos vibrations soient suffisamment élevées pour rencontrer à nouveau les autres.
- Donner de l’énergie à quelqu’un, c’est l’aimer.
Aimer c’est donner de l’énergie. Voyez-vous la différence avec le fait de soutirer l’énergie parce que vous pensez y avoir droit ? Préférez-vous aimer ou voler ? Pour pouvoir aimer véritablement quelqu’un, vous devez donc être consciente de cette guerre d’énergie et vous préparer suffisamment pour être en mesure de donner l’énergie, par amour, au lieu de voler l’énergie, par vide.
Voulez-vous aimer vos proches ou voler leur énergie?
: Pourquoi blesse-t-on celui qu’on aime le plus et comment peut-on cesser de le faire?
Pourquoi le chagrin fatigue ?
Ne sommes-nous tous pas confrontés un jour ou l’autre de notre vie à subir un chagrin ? – La perte d’un être cher fait partie de ces grands traumatismes qui provoquent un sentiment d’épuisement et de fatigue. Le repli sur soi, l’isolement, l’incompréhension, le sentiment d’injustice, le chagrin et la colère sont des sentiments bien connus lors d’une période de deuil.
La récupération est longue et les troubles psychiques et physiques sont repérables. C’est une vie au ralenti. Un sentiment de vide qui s’installent avec une fatigue prononcée chez la personne endeuillée ou ayant subi un traumatisme telle qu’une rupture ou une disparition. Pour apaiser la douleur et la souffrance qui perdure, vous pouvez compter sur une alliée solide et sans effets secondaires qui est l’ homéopathie,
Le traitement proposé prend en compte la personnalité du sujet, le contexte du chagrin et du deuil. Afin d’aider chacun en fonction des manifestations spécifiques ressenties, les pharmaciens de la Pharmacie Homéopathique Centrale vous proposent les combinaisons suivantes : Chagrin : l’homéopathie, une alliée solide.