Mensen zoeken ook naar Lena 4,294K km Oessoeri 897 km Jenisej 3,487K km
Contents
Quel est le fleuve le plus petit du monde ?
Plus petit fleuve au monde – Le Fleuve La Veules.
Quel fleuve sépare la Russie et la Chine ?
L’Amour est un fleuve d’Asie s’étendant sur 4354 km depuis la source de l’Argoun, un autre fleuve asiatique, et se jetant dans le détroit de Tatarie en face de l’île de Sakhaline au sud de la mer d’Okhotsk.
Où est situé l’Amour ?
Amour (fleuve)
Caractéristiques | |
---|---|
· Rive droite | Songhua, Oussouri |
Pays traversés | Chine, Russie |
Principales localités | Beiji, Huma, Blagovechtchensk, Heihe, Tongjiang, Fuyuan, Khabarovsk, Troïtskoïé, Amoursk, Komsomolsk-sur-l’Amour, Bogorodskoïé, Nikolaïevsk-sur-l’Amour |
modifier |
Quelle est la superficie de l’Amour ?
Oblast de l’Amour
Administration | |
---|---|
Superficie | 361 913 km 2 |
Autres informations | |
Langue(s) officielle(s) | Russe |
Fuseau horaire | UTC+10 |
Quel est le plus beau fleuve du monde ?
1. Le Gange Durant la Kumbh Mela (Inde)
Quel fleuve le plus profond du monde ?
Le fleuve le plus profond de la planète – Steve Fisher s’extrait d’un tourbillon © Greg von Doersten/Red Bull Content Pool Pourquoi ça fait peur : 250 mètres à son point le plus profond, le fleuve Congo est effectivement un cours d’eau effrayant. Surtout quand vous savez qu’il présente des tourbillons capables d’avaler un bateau.
Comment les Russes surnomment les Ukrainiens ?
4 La russification de l’Ukraine sous les tsars –
Au XIX e siècle, l’ Empire russe se caractérisait par des politiques très conservatrices et réactionnaires émises par des tsars autocrates. L’exception est survenue sous le règne réformiste d’Alexandre II (1855-1881), en particulier dans les années 1860. Mais, malgré les changements entrepris, il ne s’est pas empêché de mener une politique linguistique répressive à l’égard de l’ukrainien. Au Congrès de 1815, la Russie obtint l’Ukraine au complet en absorbant la Pologne. Contrairement à l’Ukraine occidentale, l’Est et le Sud subirent la russification des tsars. Durant deux siècles d’occupation, les décrets (les oukases) se succédèrent pour limiter, voire interdire l’usage de la langue ukrainienne. Pour les tsars, l’ukrainien était considéré non seulement comme un «dialecte inférieur au russe», mais aussi comme un «dialecte de transition» entre le polonais et le russe. D’ailleurs, l’ukrainien était appelé «dialecte petit russe». C’est pourquoi les tsars pratiquèrent une vigoureuse politique de russification à l’égard de l’ukrainien. |
Afin de favoriser le processus de russification, les autorités russes incitèrent un grand nombre de leurs ressortissants à s’installer dans l’est de l’Ukraine, notamment pour exploiter ce territoire riche en charbon et en mines de fer, question de faire d’une pierre deux coups! 4.1 L’interdiction de l’ukrainien
Sous le tsar Alexandre I er, l’enseignement en ukrainien dans les écoles avait déjà été interdit dès 1804, ce qui avait entraîné une dégradation considérable de la culture ukrainienne. En 1817, la langue polonaise fut obligatoirement enseignée dans toutes les écoles publiques de l’Ukraine occidentale ( rive droite ), pendant que le russe était imposé dans la partie orientale ( rive gauche ). Rappelons qu’une partie occidentale de l’Ukraine avait été sous juridiction polonaise. Si la politique réformiste d’Alexandre II (de 1855 à 1881) avait pour objectif l’alphabétisation des campagnes, elle excluait les Ukrainiens, sauf s’ils étaient totalement russifiés! De fait, à la fin du XIX e siècle,ceux-ci formaient une classe sociale essentiellement rurale, l’ukrainien étant considéré comme la langue de ruraux incultes! La politique linguistique impérialiste d’Alexandre II s’intensifia lorsque plusieurs décrets furent publiés pour interdire l’usage de la langue ukrainienne, le «dialecte petit russe» (” ” > malorossiyskom narechi), selon la terminologie de l’époque. Au mieux, on faisait allusion à la «petite langue russe» ou au «petit russe», pas à la langue ukrainienne. Pour les Russes, le «petit russe» n’était rien d’autre qu’un «dialecte» employé par les roturiers et considéré comme du «russe corrompu par l’influence de la Pologne». Dans ces conditions, il devenait légitime d’interdire ce « dialecte» qu’était l’ukrainien. Il en fut ainsi avec la circulaire Valuev (en russe : “Valuyevskiy tsirkulyar”) de 1863 et le décret Ems (en russe : “Emskiy ukaz”) de 1876. Même le synode de l’Église orthodoxe russe finit par interdire aux prêtres de prêcher en «dialecte petit russe», que ce soit en ukrainien ou en biélorusse. |
La circulaire Valuev La circulaire Valuev du 18 juillet 1863 constituait un décret du ministre des Affaires intérieures de l’ Empire russe, Piotr Aleksandrovitch Valouïev, par lequel une grande partie des publications en langue ukrainienne était interdite, ce qui incluait les textes religieux, les manuels scolaires, les œuvres littéraires, les chansons folkloriques, les représentations théâtrales, etc.
,,,,,,,,, ;,,,,,,,,, |
En fait, les autorités russes craignaient que les adeptes d’une langue ukrainienne distincte du russe puissent prôner une idéologie séparatiste non seulement à l’encontre de la langue russe, mais surtout à l’égard de la Russie. – Le règlement sur les écoles primaires L’année suivante, en 1864, ce fut le Règlement sur les écoles publiques primaires,
- À la suite de la nouvelle charte universitaire, de nouvelles lois sur les écoles primaires et secondaires furent promulguées sous Alexandre II.
- Elles furent au préalable élaborées sous la direction du ministre de l’Éducation, Alexandre Vassilievitch Golovnine, puis examinées par le Conseil d’État et approuvées par le tsar.
Contrairement aux lois de 1828, le nouveau règlement sur les écoles primaires de 1864 autorisait le financement des écoles primaires par les ministères. Une toute nouvelle organisation scolaire fut créée pour l’ensemble de l’enseignement primaire dans le but de donner accès à l’éducation aux citoyens russes de toutes les classes.
4,, | Article 4 Dans les écoles publiques primaires, l’enseignement doit être en russe. |
Le décret Ems Ces mesures concernant l’enseignement furent encore renforcées par le décret Ems du 18 mai 1867, lequel interdisait l’importation de livres en ukrainien dans l’ Empire russe ainsi que l’impression de textes originaux ou de traductions en ukrainien, sauf pour les documents historiques (sans adopter l’orthographe ukrainienne moderne) et pour certains romans (sous réserve d’adopter l’orthographe russe).
Le décret Ems (d’après la ville de Bad Ems en Allemagne, où ce décret fut promulgué) du 30 mai 1876 était un oukase du tsar Alexandre II de Russie interdisant l’emploi écrit de la langue ukrainienne, à l’exception de la réimpression de documents anciens. Les actions suivantes furent interdites par le décret Ems: • importer sur le territoire de l’Empire russe des livres écrits en ukrainien, appelé «dialecte russe», sans autorisation spéciale; • publier des œuvres originales et des traductions de langues étrangères; une exception fut faite pour les «documents et monuments historiques» et les «œuvres de littérature élégante», sous réserve d’une censure préalable; • mettre en scène des productions théâtrales ukrainiennes (l’interdiction fut levée en 1881), imprimer des notes avec des textes ukrainiens; • organiser des concerts avec des chansons ukrainiennes; • enseigner en ukrainien dans les écoles primaires; • conserver des livres en ukrainien dans les bibliothèques des écoles secondaires. |
Voici quelques extraits en russe (avec une traduction en français) du décret Ems :
1.,,,,,, (,, ), ( «»).2.,,,,,,,3., ( ). | 1. Il est interdit d’imprimer dans l’Empire russe, dans le même dialecte russe, les œuvres ou les traductions originales, à l’exception des documents historiques, mais pour ces derniers, s’ils appartiennent au folklore oral (les chansons, les contes, les proverbes), ils doivent être publiés sans s’écarter de l’orthographe entièrement russe (c’est-à-dire qu’ils ne sont pas imprimés au moyen du prétendu système “Kulishovka”).2. Il est possible de permettre l’impression dans le dialecte petit russe, en plus des documents historiques et des œuvres de littérature élégante, à la condition de respecter l’orthographe russe, et cette autorisation ne peut être accordée qu’après examen des manuscrits par la Direction principale de la presse.3. Toutes les représentations théâtrales dans le même dialecte, ainsi que les textes de notes et les lectures publiques (comme ayant actuellement le caractère de manifestations ukraino-polonaises), sont interdites. |
Le système dit “kulishovka” (en ukrainien) ou “kulichovki” était l’orthographe nommée ainsi d’après l’écrivain ukrainien Panteleimon Koulich (1819-1897). Afin de faciliter l’alphabétisation de ses compatriotes, Koulich proposa une orthographe simplifiée pour écrire l’ukrainien.
Le tsar Alexandre III (de 1881à 1894) poursuivit la politique de russification de ses prédécesseurs, mais en y ajoutant une nouvelle «trouvaille» : l’interdiction de choisir un nom de baptême en ukrainien pour tout nouveau-né. C’est ainsi que les Piotr russes ( Pierre en français) remplacèrent les Petro ukrainiens. Sous Alexandre III, les interdictions se succédèrent sans relâche. En 1881, l’ukrainien fut interdit dans les sermons à l’église; en 1884, ce fut à nouveau la prolongation de son interdiction dans les théâtres et dans les oblasts (régions); puis, en 1895, l’interdiction fut étendue à la publication de livres en ukrainien. Alexandre III étendit même la russification en Pologne, dans les pays baltes et en Finlande. L’ Empire russe multiethnique devait être de langue russe et de religion orthodoxe. Sous Nicolas II (1894-1917), le gouvernement russe proscrivit en 1901 l’usage du mot «Ukraine» et imposa la dénomination de la «Malorossiia» («Petite Russie»), par opposition à la Grande Russie (Russie centrale européenne) et à la Russie blanche (Russie de l’Est ou Biélorussie). C’est pourquoi on disait que le tsar était «le souverain de toutes les Russies: la Grande, la Petite et la Blanche». Les Ukrainiens furent officiellement appelés les «Petits Russes». On attribue au tsar Nicolas II cette phrase: «Il n’y a pas de langue ukrainienne, juste des paysans analphabètes parlant peu le russe.» |
L’affirmation selon laquelle l’ukrainien n’était pas une langue fut un leitmotiv de la relation russo-ukrainienne durant quelques siècles. Il est vrai que la distinction entre une langue et un dialecte est dans une grande mesure arbitraire, car elle relève davantage de l’idéologie ou de la politique que du vocabulaire lui-même.
Un célèbre maréchal français du nom de Louis-Hubert Lyautey (1854-1934), qui contribua à l’expansion coloniale de son pays, fit un jour la déclaration suivante: «Une langue, c’est un dialecte qui possède une armée, une marine et une aviation.» On pourrait enchaîner en affirmant que les langues sont des dialectes qui ont «réussi».
De toute façon, ce genre de distinction n’a rien à voir avec des critères d’ordre linguistique. Au XIX e siècle, les Ukrainiens vivaient principalement dans des villages ou des petites villes. En 1897, la population de Kiev était composée principalement de Russes (environ 54%) avec seulement 22% d’Ukrainiens, 12% de Juifs et 8% de Polonais.
Par conséquent, Kiev se développait en tant que ville russophone. Par la suite, en raison de la révolution industrielle, davantage d’ukrainophones commencèrent à venir des villages et des petites villes; le nombre d’Ukrainiens à Kiev augmenta constamment au cours du XX e siècle. Cependant, l’influence de la langue russe déjà bien établie allait demeurer très importante.
Dans l’ Empire russe, la langue ukrainienne s’appelait également «petit russe» — l’Ukraine s’appelait aussi «Petite Russie» — et coexistait avec la langue «grand-russe» dans une relation de diglossie, donc de subordination dans laquelle le «petit russe» jouait le rôle de variété basse, celle parlée par les roturiers et les paysans, par opposition au «grand russe», celui de la variété haute, employée par les fonctionnaires de l’Empire et la haute société.
Durant l’époque de l’Empire russe, les aristocrates aimaient aussi s’exprimer en français, une langue considérée plus prestigieuse que les langues slaves.4.2 Les résistances à l’expansion du russe Les Russes avaient commencé à industrialiser l’Ukraine. Des dizaines de milliers de Russes vinrent habiter dans l’est du pays, en Ukraine-Sloboda et au sud (la Novorossija : la « Nouvelle Russie »).
Beaucoup d’Ukrainiens ruraux s’exilèrent dans les villes où ils adoptèrent le plus souvent le russe. Mais les politiques d’assimilation pratiquées par des tsars conservateurs et rétrogrades suscitèrent l’opposition des révolutionnaires. Le tsar Alexandre II, après avoir survécu à quatre tentatives d’assassinat, périt (le 13 mars 1881) dans un attentat à la grenade artisanale perpétré par un révolutionnaire polonais.
Au cours de la Première Guerre mondiale, à la suite de la Révolution bolchevique de 1917, appelée «Grande Révolution socialiste d’octobre», l’Ukraine proclama son indépendance. Au même moment, en Galicie, en Bucovine et en Ruthénie subcarpatique, les Ukrainiens sous domination autrichienne s’affranchirent, puis fondèrent en 1918 leur propre république en Galicie orientale. Celle-ci ne tarda pas à rejoindre l’Ukraine «russe»(par opposition à la Galicie polonaise) pour former une fédération dénommée République populaire d’Ukraine occidentale comprenant la Galicie ukrainienne, la Ruthénie subcarpathique et la Bucovine. Cette période d’indépendance permit de prendre des mesures favorisant la langue ukrainienne. Le 22 janvier 1918, la République adopta la Loi sur l’autonomie nationale et personnelle, Cette loi accordait aux représentants des nations russes, juives et polonaises vivant en Ukraine le droit à l’autonomie nationale et personnelle. Pour leur part, les Biélorusses, les Tchèques, les Moldaves (Roumains), les Allemands, les Tatars, les Grecs et les Bulgares qui résidaient en Ukraine pouvaient bénéficier d’un tel droit après avoir soumis au tribunal général de la Cour suprême une pétition spéciale de chacune de ces nationalités, laquelle devait être signée par au moins 10 000 ressortissants, sans distinction de sexe ni de religion, ne concernant pas les droits civiques, et déclarant qu’ils appartenaient à l’une de ces nationalités. Cette loi était une première mondiale et elle avait un caractère constitutionnel; elle représentait une partie distincte de la Constitution de la République populaire d’Ukraine occidentale (avril 1918). Toutefois, en raison de la guerre civile qui se poursuivit en Ukraine de 1917 à 1921, ce modèle ne fut jamais mis en œuvre, sauf durant quelques mois. |
En dépit de l’importance de la langue russe à l’époque tsariste, l’ukrainien s’est développé en parallèle au cours de tout le XIX e siècle; il allait devenir un symbole national auquel les Ukrainiens pourraient s’identifier, sans en même temps renoncer à la langue russe qui resterait la langue de prestige.
Comment s’appelle le fleuve qui traverse l’Ukraine ?
1. Le cours du fleuve – Kiev, Dniepr Le Dniepr prend sa source au plateau du Valdaï, passe à Smolensk, coule en direction du Sud-Ouest, avant de pénétrer en Biélorussie, puis adopte un cours méridien jusqu’à son entrée en Ukraine, Au-delà de Kiev, il oblique vers le Sud-Est, puis contourne les hauteurs du Dniepr, avant-pays des hauteurs de Podolie et de Volhynie, en décrivant une vaste courbe au niveau de Dnieprodzerjinsk et de Zaporojie,
- Il rejoint la mer Noire à l’est d’Odessa par un estuaire que ferme en partie un cordon littoral.
- Bien alimenté sur son cours supérieur, à la traversée de la zone forestière, il reçoit les eaux de la Berezina et du Pripiat, qui écoule les eaux de la Polésie (marais de Pinsk), sur sa rive droite, celles du Soj et de la Desna sur sa rive gauche.
En aval de Kiev, le fleuve, qui entre dans le domaine de la steppe boisée, puis de la steppe, gagne peu d’eau. Ponctionné par l’évaporation et les prélèvements pour l’irrigation et les usages industriels, le Dniepr a un débit moyen de 1 700 m 3 s à l’embouchure.
Qui avait colonisé la Russie ?
La Moscovie – Carte de l’expansion de la Russie entre 1300 et 1796. Du XIV e au XVI e siècle, l’une de ces principautés, la grande-principauté de Moscou, dirigée par des princes habiles, annexe progressivement toutes les autres pour devenir la Russie. Le prince Dimitri IV (Dimitri Donskoï) vainc une première fois les Mongols à la bataille de Koulikovo (1380).
Toutefois, ce mouvement d’unification se heurte aux rivalités et à la tradition de partage des territoires entre les différents fils du prince, ce qui engendre une guerre civile entre 1425 et 1453, Monté sur le trône en 1462, Ivan III, qu’un voyageur vénitien décrit comme un « homme de haute taille, penché en avant et beau », libère la Moscovie du joug des Mongols dont l’empire est désormais fragmenté en plusieurs khanats, puis absorbe les principales principautés russes encore indépendantes dont Novgorod (1478) et Tver (1485).
En 1485, Ivan III prend le titre de “souverain de toute la Russie”, désirant montrer sa volonté de reconstituer tout l’héritage de Vladimir, À la fin du règne d’ Ivan III le territoire de la Moscovie a quadruplé. Son fils Vassili III (1505-1533) poursuit l’extension territoriale en annexant la cité-état de Pskov (1510) et la principauté de Riazan (1521) ainsi que Smolensk (1514).
Ivan IV, dit « le Terrible », est le premier prince à se utiliser le titre de « tsar », dérivé du nom latin de César ( Caesar ; en allemand : Kaiser ). Il s’empare du khanat de Kazan en 1552 et du khanat d’Astrakhan en 1556, mais il perd l’accès à la mer Baltique face à une coalition de l’ Empire suédois avec la Pologne et la Lituanie,
Ivan le Terrible se considère comme le seul héritier de Vladimir, bien qu’il ne contrôle pas la ville de Kiev, encore aux mains de la dynastie lituanienne des Jagellon, comme la plus grande partie des territoires occidentaux de la Rus’ de Kiev, Désormais l’expansion de la Russie vers l’Est n’a plus d’obstacle sérieux.
Qui est la capitale de l’amour ?
Paris, capitale de l’amour : les explications – Au XIXe siècle, le courant romantique gagne toute l’Europe et Paris n’est pas exempte de ce phénomène. Les romanciers et les poètes romantiques avec leurs envolées lyriques apparaissent. On pense alors à Hugo, Lamartine, Chateaubriand et tant d’autres.
Qui a inventé le mot amour ?
Ce sont les troubadours occitans qui ont apporté l’amour à la langue française ! Le cliché concède aux Françaises et Français une réussite particulière dans le domaine amoureux (le fameux french lover ). Étonnamment, le mot « amour » n’est pas vraiment français, Il suffit de constater l’évolution étymologique qu’aurait dû logiquement suivre l’ amor latin en français. Les mots latins terminés en – or ont évolué phonétiquement en – eur :
- favor -> faveur
- rigor -> rigueur
- rancor -> rancœur
- labor -> labeur
Le latin amor avait ainsi initialement donné le mot ameur en français. Ce dernier a depuis plusieurs siècles laissé place à l’ amour occitan dans la langue de Molière. Pour la rime, sachez que le mot humour n’est pas français non plus.
Qui a découvert l’amour ?
Histoire de l’amour — Wikipédia Cet article est une concernant la littérature. Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant ( ) selon les recommandations des, Pour le film de sorti en 2016, voir,
Histoire de l’amour | |
Auteur | |
---|---|
Pays | |
Genre | |
Version originale | |
Langue | |
Titre | 情史 (Qing shi) ou 情史類略 (Qingshi leilüe) |
Version française | |
Date de parution | entre et |
Le Qing shi (情史 Histoire de l’amour) ou Qingshi leilüe (情史類略 Histoire des catégorisations de l’amour) est un recueil de récits en attribué à (馮夢龍 -).
Quel est le nom du fleuve le plus long au monde ?
L’Amazone est le plus long fleuve du monde – Après s’être disputé la première place du classement avec le Nil pendant des années, l’Amazone est enfin reconnu comme le plus long fleuve du monde. Au début des années 2000, le géologue Paulo Roberto Martini, coordinateur d’une étude menée par l’Institut brésilien de recherches spatiales (Inpe) s’appuyant sur des images satellites, affirme que l’Amazone s’étend sur 6 992 km.
Quel est le fleuve le plus propre ?
Par Jean-Paul Vigneaud Publié le 17/06/2012 à 0h00 Mis à jour le 17/06/2012 à 8h19 À l’occasion de la Traversée de la Garonne, revue de détail des idées reçues sur le fleuve Ce dimanche, à partir de 9 heures, 500 nageurs de la France entière vont participer à la Traversée de la Garonne.
- Le grand plongeon annuel dans un fleuve que l’on dit indomptable.
- Mais l’est-il vraiment ? Marc Lafosse, océanographe de formation, président d’Énergie de la Lune qui a lancé l’idée d’un site d’expérimentation pour hydroliennes au pied du pont de pierre, ancien champion de France de natation, président de la section natation des Girondins, a bien voulu jouer au jeu du vrai et du faux.
La Garonne est dangereuse VRAI, « Jamais, elle ne deviendra un lieu de baignade. Ce n’est pas possible. Personnellement, je n’ai jamais pris le risque de passer sous le pont de pierre. Il y a de trop forts courants. En aval, aussi, il y a des pièges. Au pied des piles, il y a des vortex (tourbillons) excessivement dangereux.
Si on s’y aventure, on est aussitôt aspiré vers le fond et on peut difficilement s’en sortir. Il y a également de fortes turbulences le long des quais, si bien qu’on se retrouve poussé sous les voûtes et bloqués comme au fond d’une cave. » Des obstacles inattendus VRAI, « La Garonne est une rivière à embâcles, soit des accumulations de débris flottants.
Généralement des branchages et des troncs d’arbres. Transportés de l’amont vers l’aval lors des périodes de crue ou de lâchers d’eau importantes, ces embâcles peuvent atteindre plusieurs mètres. Entraînés par les courants, ils peuvent faire très mal. » Il est interdit de plonger FAUX,
- « On peut le faire, puisque la profondeur du lit du fleuve est importante, mais uniquement lors des épreuves encadrées comme la traversée de la Garonne organisée ce dimanche.
- C’est l’un des buts de l’opération d’ailleurs.
- Donner la possibilité de découvrir le fleuve avec un maximum de sécurité, les nageurs étant suivis de très près.
Un sauveteur présent pour cinq nageurs. » Dans l’eau, on n’y voit rien VRAI, « C’est la première surprise lorsque l’on saute dans la Garonne. C’est le noir complet. On n’y voit absolument rien. À la surface comme au fond. » La Garonne est sale FAUX, « La Garonne est l’un des fleuves les plus propres.
- La couleur marron ne signifie pas que l’eau est sale.
- La coloration de l’eau est d’origine physique : elle est due à la floculation des particules d’argile.
- C’est le résultat de la rencontre entre les eaux douces (chargées d’argile) venant du bassin versant et les eaux salées (sodium, magnésium, calcium) provenant du golfe de Gascogne.
Lors du contact se forment des floculats, lesquels se déposent au fond de l’estuaire. Ce qu’on appelle la crème de vase. D’où cette couleur. » L’eau du fleuve est chaude VRAI, « L’eau est actuellement à 21-22 degrés et elle peut monter jusqu’à 26 degrés en plein été.
- La Garonne est plus chaude que l’Océan qui affiche actuellement 16 degrés.
- C’est la seconde surprise lorsqu’on plonge dans le fleuve.
- Sous un fort soleil, les matières en suspension chauffent et communiquent la chaleur à l’eau.
- L’effet albédo.
- » La Garonne est polluée VRAI ET FAUX,
- « La pollution est limitée car les rives sont peu industrialisées.
Il y a du cadmiun dans le bouchon vaseux (NDLR : pollution due aux rejets des usines de Decazeville) mais ce n’est pas une pollution majeure. Il y a eu longtemps aussi des rejets dans le fleuve. Il n’y en a plus au sud depuis la création de la station Clos-de-Hilde à Bègles, il y en aura plus au nord lorsque la station Louis-Fargues sera terminée.
- Et puis la chance veut qu’il y ait les marées.
- Les courants jouent le rôle d’une chasse d’eau.
- » Il n’y a plus de poissons FAUX,
- « Le port de la Lune est fréquenté par sept espèces de poissons migratoires d’intérêt communautaire : le saumon atlantique, l’esturgeon, la lamproie marine, la lamproie de Planer, la lamproie de rivière, la grande alose et l’alose feinte.
Ces espèces remontent la Garonne pour aller se reproduire en amont dans l’estuaire. Elles passent donc par Bordeaux.
Quel est le fleuve le plus sale du monde ?
Le Citarum qui coule en Indonésie est surnommé le « fleuve le plus pollué au monde ». Depuis peu, le gouvernement est déterminé à nettoyer cette poubelle aquatique, un défi titanesque.
Quel est le plus long du monde ?
Classement des plus longs fleuves du monde – Sources : Encyclopaedia Britannica ; United Nations Environment Programme ; U.S. Department of the Interior, U.S. Geological Survey ; Geological Society of London ; Geoscience Australia ; Encyclopedia of inland waters ; University of British Columbia ; University of Michigan ; The Water Encyclopedia.
Sources détaillées : Encyclopaedia Britannica ; United Nations Environment Programme ; U.S. Department of the Interior, U.S. Geological Survey ; Geological Society of London ; Geoscience Australia ; Encyclopedia of inland waters ; University of British Columbia ; University of Michigan ; The Water Encyclopedia.
Ouvrages et publications de référence : J.C. Kammerer, “Largest Rivers in the United States”, U.S. Geological Survey, May 1990 ; Arthur C. Benke, Colbert E. Cushing, Rivers of North America, Academic Press, 2005 ; Avijit Gupta, Large rivers: geomorphology and management, John Wiley and Sons, 2007 ; “Studies from INPE indicate that the Amazon River is 140km longer than the Nile”, Instituto Nacional de Pesquisas Espaciais, Jul 01, 2008 ; Shaochuang Liu, P.
Lu, D. Liu, P. Jin, “Pinpointing the sources and measuring the lengths of the principal rivers of the world”, International Journal of Digital Earth, 2(1):80-87, March 2009 ; Patrick Seyler, Laurence Maurice-Bourgoin, Jean Loup Guyot, “Hydrological Control on the Temporal Variability of Trace Element Concentration in the Amazon River and its Main Tributaries”, Geological Survey of Brazil, 24 July 2010 ; James Contos, Nicholas Tripcevich, “Correct placement of the most distant source of the Amazon River in the Mantaro River drainage”, Area, Volume 46, Issue 1, 12 February 2014, p.27-39 ; Bundesministerium für Umwelt, Naturschutz und Reaktorsicherheit: Hydrologischer Atlas von Deutschland, Freiburg i.
- Br.2003 ; André Blanc et Pierre Carrière, « Le Danube », Encyclopaedia Universalis, 10e éd. ; M.
- Becker, F. Papa, F.
- Frappart, D.
- Alsdorf, S.
- Calmant, J.
- Da Silva, J.
- Santos, C.
- Prigent, F.
- Seyler, “Satellite-based estimates of surface water dynamics in the Congo River Basin”, International Journal of Applied Earth Observation and Geoinformation, 2018 ; “Nile River” and “Amazon River”, Encyclopaedia Britannica, 2020 ; Laurent Touchart, « Danube », Encyclopaedia Universalis, consulté le 19/05/2022.
Note(s) : Les mesures relatives à la longueur du fleuve Amazone varient selon les sources entre 6 259 km et 7 025 km : 6 280 km (Dictionnaire Hachette), 6 762 km (Le Robert encyclopédique), 7 000 km depuis les sources du Río Apurímac (Dictionnaire Larousse), 7 025 km pour la branche mère Ucayali- Apurímac (Le Petit Robert des noms propres), 7 025 km depuis le cours supérieur du Marañon (Encyclopaedia Universalis).
- Cf. sources détaillées supra.
- La longueur du Nil diffère selon les sources entre 6 499 km et 7 088 km : 6 671 km (Dictionnaire Hachette), 6 671 km (Le Robert encyclopédique), 6 671 km (Le Petit Robert des noms propres), 6 058 km depuis le lac Victoria et 6 671 km depuis la source de la Luvironza en Tanzanie (Encyclopaedia Universalis), 6 700 km (Dictionnaire Larousse), 7 088 km selon une étude publiée au sein de l’International Journal of Digital Earth.
Cf. sources détaillées supra. Le Mississippi, long de 3 734 km et entièrement situé aux États-Unis, prend sa source à l’extrémité nord du lac Itasca dans l’État du Minnesota et coule en direction du sud, rejoint par le Missouri à quelques kilomètres au nord de la ville de Saint-Louis, puis l’Ohio et l’Arkansas – pour ne citer que les principaux affluents – avant de se jeter dans le golfe du Mexique pour former le delta du Mississippi, 160 km à l’aval de La Nouvelle-Orléans.
- Avec une superficie de 3 238 000 km², le bassin hydrographique du Mississippi est le plus grand d’Amérique du Nord et le troisième du monde, derrière celui de l’Amazone et du Congo.
- Le Missouri est le plus long fleuve d’Amérique du Nord avec une longueur de 4 087 km, et le principal affluent du Mississippi.
En effet, au point de confluence avec le Mississippi, le Missouri représente environ 45 % du débit total du fleuve. La longueur initiale de la Volga est de 3 531 km, portée à 3 645 km après la construction de nombreux barrages et la formation de bassins artificiels en amont de ceux-ci.
La longueur du Danube, deuxième plus long fleuve du continent européen, diffère selon les sources et le point de départ considéré. D’après le Ministère allemand de l’environnement, de la conservation de la nature et de la sûreté nucléaire, le Danube a une longueur de 2 857 km en partant de sa source principale la Breg, longue de 46 km.
D’autres estimations oscillent entre 2 845 et 2 889 km voire même 3 019 km. Cf. sources détaillées supra.
Quelle est la différence entre un fleuve et une rivière ?
Le fleuve rejoint la mer – Selon le dictionnaire, le fleuve est un cours d’eau qui finit dans l’océan ou la mer. Il s’est formé grâce à la réunion de rivières. Par exemple, en France, le Rhône se jette dans la Méditerranée. En Amérique du Sud, l’Amazone finit dans l’Atlantique.
Quel est le fleuve le plus puissant de l’Afrique ?
Le Congo est un fleuve d’Afrique centrale prenant sa source sur les hauts plateaux à la limite de l’Afrique australe, se jetant dans l’océan Atlantique. Il sert de frontière naturelle entre la République démocratique du Congo, la République du Congo et l’Angola.
Quel est le fleuve le plus sale du monde ?
Le Citarum qui coule en Indonésie est surnommé le « fleuve le plus pollué au monde ». Depuis peu, le gouvernement est déterminé à nettoyer cette poubelle aquatique, un défi titanesque.
Quelle est le fleuve le plus long du monde ?
Classement des plus longs fleuves du monde – Sources : Encyclopaedia Britannica ; United Nations Environment Programme ; U.S. Department of the Interior, U.S. Geological Survey ; Geological Society of London ; Geoscience Australia ; Encyclopedia of inland waters ; University of British Columbia ; University of Michigan ; The Water Encyclopedia.
Sources détaillées : Encyclopaedia Britannica ; United Nations Environment Programme ; U.S. Department of the Interior, U.S. Geological Survey ; Geological Society of London ; Geoscience Australia ; Encyclopedia of inland waters ; University of British Columbia ; University of Michigan ; The Water Encyclopedia.
Ouvrages et publications de référence : J.C. Kammerer, “Largest Rivers in the United States”, U.S. Geological Survey, May 1990 ; Arthur C. Benke, Colbert E. Cushing, Rivers of North America, Academic Press, 2005 ; Avijit Gupta, Large rivers: geomorphology and management, John Wiley and Sons, 2007 ; “Studies from INPE indicate that the Amazon River is 140km longer than the Nile”, Instituto Nacional de Pesquisas Espaciais, Jul 01, 2008 ; Shaochuang Liu, P.
Lu, D. Liu, P. Jin, “Pinpointing the sources and measuring the lengths of the principal rivers of the world”, International Journal of Digital Earth, 2(1):80-87, March 2009 ; Patrick Seyler, Laurence Maurice-Bourgoin, Jean Loup Guyot, “Hydrological Control on the Temporal Variability of Trace Element Concentration in the Amazon River and its Main Tributaries”, Geological Survey of Brazil, 24 July 2010 ; James Contos, Nicholas Tripcevich, “Correct placement of the most distant source of the Amazon River in the Mantaro River drainage”, Area, Volume 46, Issue 1, 12 February 2014, p.27-39 ; Bundesministerium für Umwelt, Naturschutz und Reaktorsicherheit: Hydrologischer Atlas von Deutschland, Freiburg i.
Br.2003 ; André Blanc et Pierre Carrière, « Le Danube », Encyclopaedia Universalis, 10e éd. ; M. Becker, F. Papa, F. Frappart, D. Alsdorf, S. Calmant, J. Da Silva, J. Santos, C. Prigent, F. Seyler, “Satellite-based estimates of surface water dynamics in the Congo River Basin”, International Journal of Applied Earth Observation and Geoinformation, 2018 ; “Nile River” and “Amazon River”, Encyclopaedia Britannica, 2020 ; Laurent Touchart, « Danube », Encyclopaedia Universalis, consulté le 19/05/2022.
Note(s) : Les mesures relatives à la longueur du fleuve Amazone varient selon les sources entre 6 259 km et 7 025 km : 6 280 km (Dictionnaire Hachette), 6 762 km (Le Robert encyclopédique), 7 000 km depuis les sources du Río Apurímac (Dictionnaire Larousse), 7 025 km pour la branche mère Ucayali- Apurímac (Le Petit Robert des noms propres), 7 025 km depuis le cours supérieur du Marañon (Encyclopaedia Universalis).
Cf. sources détaillées supra. La longueur du Nil diffère selon les sources entre 6 499 km et 7 088 km : 6 671 km (Dictionnaire Hachette), 6 671 km (Le Robert encyclopédique), 6 671 km (Le Petit Robert des noms propres), 6 058 km depuis le lac Victoria et 6 671 km depuis la source de la Luvironza en Tanzanie (Encyclopaedia Universalis), 6 700 km (Dictionnaire Larousse), 7 088 km selon une étude publiée au sein de l’International Journal of Digital Earth.
Cf. sources détaillées supra. Le Mississippi, long de 3 734 km et entièrement situé aux États-Unis, prend sa source à l’extrémité nord du lac Itasca dans l’État du Minnesota et coule en direction du sud, rejoint par le Missouri à quelques kilomètres au nord de la ville de Saint-Louis, puis l’Ohio et l’Arkansas – pour ne citer que les principaux affluents – avant de se jeter dans le golfe du Mexique pour former le delta du Mississippi, 160 km à l’aval de La Nouvelle-Orléans.
Avec une superficie de 3 238 000 km², le bassin hydrographique du Mississippi est le plus grand d’Amérique du Nord et le troisième du monde, derrière celui de l’Amazone et du Congo. Le Missouri est le plus long fleuve d’Amérique du Nord avec une longueur de 4 087 km, et le principal affluent du Mississippi.
En effet, au point de confluence avec le Mississippi, le Missouri représente environ 45 % du débit total du fleuve. La longueur initiale de la Volga est de 3 531 km, portée à 3 645 km après la construction de nombreux barrages et la formation de bassins artificiels en amont de ceux-ci.
La longueur du Danube, deuxième plus long fleuve du continent européen, diffère selon les sources et le point de départ considéré. D’après le Ministère allemand de l’environnement, de la conservation de la nature et de la sûreté nucléaire, le Danube a une longueur de 2 857 km en partant de sa source principale la Breg, longue de 46 km.
D’autres estimations oscillent entre 2 845 et 2 889 km voire même 3 019 km. Cf. sources détaillées supra.
Où se jette le plus petit fleuve de France ?
La Veules (ou Veulles) est le fleuve côtier de France ayant le cours le moins long. Elle arrose la commune de Veules-les-Roses, dans le département de Seine-Maritime, et se jette dans la Manche.
Ou arrête l’eau salée dans le fleuve ?
Lorsqu’on parle du Saint-Laurent, on entend souvent les termes « estuaire » et « golfe ». Que veulent-ils dire? Où se termine donc l’estuaire et où commence le golfe? Le fleuve Saint-Laurent prend sa source dans les Grands Lacs à la frontière du Canada et des États-Unis.
Ses 2 000 km (excluant les Grands Lacs) se divisent en trois secteurs : le fluvial, l’estuaire et le golfe. À lui seul, le fleuve recueille 1 % de l’eau de pluie qui tombe sur la planète. Les marées commencent à se faire sentir dès le lac Saint-Pierre, peu avant Trois-Rivières. L ‘estuaire moyen commence à la hauteur de l’Ile d’Orléans, là où l’eau salée de l’océan se mélange avec l’eau douce du fleuve.
La densité de l’eau salée n’étant pas la même que celle de l’eau douce, il se crée deux couches d’eau. L’eau trouve sa pleine salinité à la tête du chenal Laurentien, à la hauteur de Tadoussac. La brusque élévation du fond marin du chenal produit d’importantes remontées d’eaux profondes fraiches et salées qui se mélangent aux eaux de surface plus tempérées et moins salées. Le golfe commence à Pointe-des-Monts, là où le fleuve s’élargit en une mer intérieure qui s’ouvre sur l’Atlantique par les détroits de Cabot, au sud de l’ile de Terre-Neuve, et de Belle-Isle, au nord de Terre-Neuve.