Qui Sont Les Professionnels De Santé?

Qui Sont Les Professionnels De Santé
Les professions médicales : médecins, odontologistes, chirurgiens-dentistes et sages-femmes (art. L4111-1 à L4163-10) ; les professions de la pharmacie et de la physique médicale : pharmaciens d’officine (exerçant en ville) et hospitaliers et physiciens médicaux (art.

Qui sont les professionnels de la santé au Québec ?

Les infirmières, les ergothérapeutes, les pharmaciens et les physiothérapeutes représentent tous les professionnels inscrits et autorisés par un organisme ou qui détiennent un permis d’exercice délivré par cet organisme et qui, à l’heure actuelle, exercent la profession de la santé précisée.

Quel est le rôle du professionnel de santé ?

Le professionnel de santé est une personne qui exerce ses compétences et son jugement, fournit un service lié au maintien, à l’amélioration de la santé des individus, ou au traitement des individus blessés, malades, souffrant d’un handicap ou d’une infirmité en leur prodiguant des soins et des thérapies,

  • Ces professionnels contribuent à l’ économie de la santé, secteur parmi les plus dynamiques dans l’ensemble des pays de l’ OCDE depuis plusieurs décennies (8,9 % du PIB en moyenne en 2004, avec 2 550 USD par habitant en dépenses sanitaires,
  • De 1990 et 2004, la croissance des dépenses de santé a même grandi plus vite que le PIB dans tous les pays de l’OCDE (hors Finlande ), et alors que les dépenses de santé font augmenter le PIB,

Les techniques modernes des soins de santé dépendent d’un nombre croissant de professionnels, sous forme d’équipe interdisciplinaire, Ces personnes sont appelées des professionnels de la santé dès qu’ils interviennent d’une manière ou d’une autre dans l’administration des soins. Un dentiste au travail à Lagos, au Nigeria.

Quels sont les 8 corps de la santé ?

On retrouve donc le corps des médecins, celui des chirurgiens-dentistes, le corps des pharmaciens, le corps des infirmiers, le corps du génie sanitaire, ceux des techniques médico-sanitaires, ceux des techniques biomédicales et le corps de l’administration de la santé publique.

Comment devenir professionnel de santé ?

Quelles formations ? – Tous ces métiers visent donc au rétablissement de la santé des individus et cherchent à amoindrir les séquelles d’un traumatisme ou d’une déficience. Les professionnels de santé permettent d’améliorer la qualité de vie et le confort de personnes fragiles ou en situation de handicap, ainsi, si vous choisissez d’exercer l’un de ces métiers, il faudra avant tout retrouver lequel d’entre eux s’accorde le mieux à votre personnalité et à vos centres d’intérêts.

  1. Appréciez-vous le contact humain ? Ou préfériez-vous manipuler des outils de diagnostic ? Une fois votre introspection faite, et le métier choisi, il ne vous reste plus qu’à vous informer quant à la formation à suivre afin d’exercer la profession que vous souhaitez.
  2. Il existe de nombreuses formations afin de devenir professionnel de santé.

Ces dernières sont réparties en plusieurs catégories. Vous souhaitez devenir, médecin, dentiste, pharmacien ou encore sage-femme ? Pour cela, il vous faudra passer par la case PACES. Cette première année commune aux études de santé se finalise par un concours très sélectif où près de 12 % des candidats seulement sont reçus chaque année.

  1. Les étudiants reçus en médecine se lancent alors dans une formation qui durera entre 9 et 11 ans, les pharmaciens pour une durée de 6 à 9 ans selon la spécialité, et comptez un minimum de 6 ans pour l’obtention d’un diplôme de chirurgien-dentiste.
  2. Les étudiants reçus en sage-femme pourront poursuivre leur étude dans une école dédiée à cette formation.

Pour les professions paramédicales, les conditions d’admissibilité varient d’une formation à l’autre. Plusieurs diplômes sont accessibles dès le niveau de 3e comme pour les métiers d’aide-soignant, de puériculture et médicotechniques. Le baccalauréat reste cependant bien souvent une condition pour intégrer une formation paramédicale.

Qui sont les professionnels de santé de premier recours ?

La démographie médicale des professionnels du premier recours Agir pour la santé de tous Qui Sont Les Professionnels De Santé Cartosanté est un outil de cartographie interactive et de diagnostics territoriaux sur l’accès et la consommation de soins de premier recours, créé par les agences régionales de santé au service des professionnels. Les professionnels du premier recours comprend :

les médecins généralistes, les infirmiers, les masseurs-kinésithérapeutes, les chirurgiens dentistes.

Quel métier pour gagner 3000 euros par mois ?

Développeur web – Développeur informatique Le développeur web doit avoir une affinité profonde avec l’informatique et connaître sur le bout des doigts les différents langages. C’est lui qui conçoit des sites internet ou des applications. Il lui faut savoir travailler en équipe, et communiquer avec les clients s’il est amené à le faire.

Disponible en formation à distance Pour étudiants, salariés en poste ou demandeurs d’emploi Titre professionnel DWWM et titre professionnel TAI

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Quel métier dans le médical sans diplôme ?

Devenir brancardier – On retrouve également le métier de brancardier, qui est chargé de déplacer et d’accompagner les patients au sein d’un établissement hospitalier dans les meilleures conditions, lui aussi peut exercer sans diplôme ou formation particulière.

Quel métier dans le médical sans bac ?

AIDE-SOIGNANT : POUR ÊTRE AUX PETITS SOINS DES PATIENTS – L’aide-soignant est le soignant le plus proche du patient. Il est aux petits soins de ces malades. Il veille à leur hygiène et leur confort et a un rôle primordial de surveillance de l’état de santé de ses patients. Le soutien psychologique qu’il leur apporte est essentiel. : QUELLES FORMATIONS PARAMÉDICALES SANS LE BAC ?

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Est-ce que le psychologue est un professionnel de santé ?

Une profession méconnue – Le psychologue clinicien est un professionnel qui a validé un master 2 en psychologie, soit un bac +5. A ceci s’ajoute une conditionnalité dans le choix du master et des stages car tout psychologue en titre n’a pas vocation à être au chevet du patient.

  • Bon nombre des facultés ont considéré que la maitrise devait être faite en deux ans en raison des objectifs professionnels à atteindre.
  • Ceci prolonge donc à 6 ans la durée des études, comme pour certaines professions médicales.
  • En licence 1, les universités ont souvent plus de 1000 étudiants.
  • En général, ces mêmes universités n’ont que deux ou trois Masters professionnalisants qui destine l’étudiant vers la voie psychopathologie, développementale ou neuropsychologique.

Sur 1000 étudiants, seuls 60 à 90 seront des “cliniciens” au sens très large du terme. Il y a donc une sélection réelle et exigeante dont le numerus clausus n’est pas sans rappeler le concours de première année en médecine à la différence près que le couperet n’est pas à l’entrée du parcours mais en cours d’un cursus déjà bien entamé.

Cette formation recouvre moult domaines et n’est pas essentiellement littéraire. Le psychologue est formé à la rigueur de la démarche scientifique qui doit être aussi rompu aux statistiques pour s’appuyer sur les publications qui jalonnent les recherches, notamment en sciences cognitives et en neurosciences (neuroanatomie et imagerie, neurophysiologie, pharmacologie, neuropsychologie).

Il est tout aussi formé à la psychopathologie et la démarche diagnostique, qu’à la rigoureuse pratique du bilan. Il est formé à la psychologie sociale et à la psychologie du développement pour saisir le sujet au contact des groupes sociaux et dans le temps.

  1. Enfin, il est aussi formé à l’épistémologie, à l’anthropologie, à la philosophie car ” sciences sans conscience n’est que ruine de l’âme” comme le scandait Rabelais.
  2. Ainsi le psychologue est-il garant de l’intégrité du Sujet dans un parcours de soin où le focus se concentre toujours un peu plus sur l’organe et l’organique.

Le psychologue est le trait d’union entre le monde médico-scientifique et le patient. En institution, le psychologue clinicien est très souvent un cadre A, un cadre statutaire. Ainsi le psychologue clinicien ne saurait être sous l’autorité du Cadre de Santé avec lequel il collabore.

Il n’est pas d’avantage sous l’autorité du médecin dont il est un des partenaires. Le psychologue dépend directement de la Direction des établissements. Cette autonomie du psychologue est garante d’une posture essentielle à son travail, d’être à la croisée de multiples champs expérientiels, et être vecteur du discours du patient sans subordonner le patient à sa propre subordination professionnelle.

Cette place du psychologue, plutôt atypique, est aussi ce qui l’émancipe de la médecine (il n’est pas un paramédical), et aussi de la philosophie (laquelle n’est pas une science). C’est un professionnel des SHS qui exerce très souvent dans le domaine de la santé.

  • Le psychologue clinicien est un acteur essentiel du parcours de soins pour de nombreux patients Nonobstant, le psychologue est reconnu comme étant un acteur de soins sans être une profession de santé.
  • Il doit avoir un numéro ADELI à l’ARS mais a un numéro APE très vague qui ne le différencie pas des soi-disant “psy”, sans diplôme, se targuant de prodiguer des soins psychiques (psychopraticiens, hypnopraticiens, philopsychologues, psychomagnétiseurs, énergéticiens, coachs, dispensateurs de poudre de perlimpinpin et j’en passe).

Le psychologue clinicien est un acteur essentiel du parcours de soins pour de nombreux patients. Sans psychologue, la question diagnostic demeure floue. Or dans de très nombreuses problématiques il est le seul à être formé et habilité à la passation de certains tests, lesquels sont essentiels aux équipes soignantes, y compris au médecin, ainsi qu’aux patients pour obtenir les aides nécessaires.

Sans psychologue, pas de psychothérapie maîtrisée autre que sauvage. Oh, je sais que pour rationaliser les coûts, moult Centres Médico-Psychologiques (CMP) délèguent cette tâche d’apparence peu exigeante à des infirmiers. C’est une erreur. Les infirmiers en psychiatrie ont bien sûr toute leur place dans le parcours de soins psychiques (ateliers thérapeutiques supervisés, temps informels du quotidien et échanges humains, soins infirmiers, dispensation médicamenteuse) mais ils n’ont pas la formation en psychopathologie présumant d’une compétence à se faire psychothérapeutes.

Le psychologue clinicien a le choix entre divers outils psychothérapeutiques, entre diverses approches. Moi-même dans mon travail en IME, j’ai une approche comportementaliste avec des jeunes souffrant de troubles du spectre de l’autisme, je m’appuie sur la neuropsychologie pour ma pratique du bilan, j’ai des références psychanalytiques ou systémiques pour écouter les familles ou les élaborations de patients ayant accès au verbal Psychologue clinicien n’est ni une profession médicale, ni une profession paramédicale, ni une profession administrative.

  • Aussi, quand les médicaux ont été valorisés alors qu’ils sont notre équivalent sur les organigrammes, nous de l’avons point été car nous ne sommes pas médicaux.
  • Quand les Cadres de Santé ont été augmentés, nous ne l’avons pas été car nous ne sommes que statutaires.
  • Quand les paramédicaux ont été revalorisés, nous ne l’avons pas été car nous ne sommes pas paramédicaux.

A chaque fois, notre profession ne rentre pas dans la bonne case. Tandis que toutes les professions voient leurs situations professionnelles évoluer, une chose est sûre : les psychologues, sans cesse, passent à la trappe ! Leur salaire n’a pas évolué depuis 1991 dans l’ensemble des conventions collectives les concernant.

Jusqu’au Ségur de la santé, un psychologue hospitalier démarrait à 1400 euros nets. Dans privé, la situation n’est guère plus réjouissante. Le psychologue qui est pourtant l’un des agents les plus qualifié exerçant à l’hôpital, est le moins bien payé à niveau d’études équivalent (et moindre). Entendez bien que je ne souhaite pas spécialement entretenir ici une posture névrotique victimaire.

Cet argument est surtout là pour être mis en tension avec la réflexion à venir.

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Est-ce que les ostéopathes sont des professionnels de santé ?

Confusion de la mention d’ostéopathe Mme Claudine Thomas attire l’attention de Mme la ministre des solidarités et de la santé sur la pratique de l’ostéopathie en France. Les ostéopathes docteurs en médecine sont les seuls parmi les trois types d’ostéopathes (ostéopathes paramédicaux et ostéopathes non professionnels de santé) qui bénéficient d’un diplôme d’État au terme d’un long cursus contrairement aux ostéopathes paramédicaux et ostéopathes non professionnels de santé.

Les médecins ostéopathes sont les seuls pouvant apporter un véritable diagnostic médical sécurisé pour le patient. Or, la mention « DO » (diplômé en ostéopathie) dont bénéficient les non professionnels de santé et qui figure sur les cartes de visite ou plaques professionnelles laisse à penser aux patients que « DO » signifie docteur ostéopathe.

Elle lui demande par conséquent ce qu’elle envisage de faire pour remédier à cette situation qui crée la confusion pour les patients. La reconnaissance de la pratique de l’ostéopathie est encadrée en France depuis la loi n° 2002-303 du 4 mars 2002 qui a prévu que l’usage professionnel du titre d’ostéopathe est réservé aux personnes titulaires d’un diplôme sanctionnant une formation spécifique à l’ostéopathie, délivrée par un établissement de formation agréé par le ministre chargé de la santé.

  1. L’usage professionnel du titre est ainsi encadré strictement depuis 2002 et partagé entre les professionnels de santé et les ostéopathes exclusifs.
  2. Il appartient aux agences régionales de santé (ARS) de veiller au fonctionnement de ce dispositif car l’autorisation de faire usage professionnel du titre d’ostéopathe est subordonnée à l’enregistrement des diplômes, certificats, titres ou autorisations de ces professionnels auprès du directeur général de l’ARS de leur résidence professionnelle.

Lors de l’enregistrement, ils doivent préciser la nature des études suivies ou des diplômes leur permettant l’usage du titre d’ostéopathe et, s’ils sont professionnels de santé, les diplômes d’État, titres, certificats ou autorisations dont ils sont également titulaires.

Il est établi, pour chaque département, par le directeur général de l’ARS, une liste des praticiens habilités à faire un usage de ces titres, portée à la connaissance du public. Ces éléments sont de nature à répondre au souci de bien distinguer les professionnels de santé des ostéopathes exclusifs et de permettre aux patients d’en être informés.

De plus, les conditions de formation en ostéopathie, et notamment d’agrément des écoles, ont retenu toute l’attention du Gouvernement. Sur la base du rapport de l’inspection générale des affaires sociales rendu public en mai 2012, et dans le but d’améliorer la qualité des écoles et de rendre leur formation plus homogène, le décret du 12 septembre 2014 et son arrêté d’application du 29 septembre constituent le nouveau cadre réglementaire qui définit des critères précis et exigeants sur la base desquels l’ensemble des établissements de formation en ostéopathie, quel que soit le public accueilli, a été tenu de solliciter un nouvel agrément pour se mettre en conformité, dès la rentrée 2015, avec les nouvelles dispositions.

Par ailleurs, un nouveau référentiel activités-compétences-formation en ostéopathie, élaboré conjointement par le ministère chargé de la santé et le ministère de l’éducation nationale a été publié pour une mise en œuvre dans tous les établissements à compter de la rentrée 2015. Les agréments délivrés par le ministère chargé de la santé à partir de la rentrée 2015 ont une durée de validité de cinq ans.

L’agrément peut être retiré par décision motivée du ministère chargé de la santé lorsque les conditions réglementaires cessent d’être remplies ou en cas d’incapacité ou de faute grave des dirigeants. La campagne de renouvellement des agréments qui interviendra à partir de 2020 sera l’occasion pour l’État de s’assurer de la bonne application des règles en vigueur.

Qui fait partie du personnel médical ?

Le personnel médical se compose de médecins, d’odontologistes et de pharmaciens auxquels s’ajoutent les internes et faisant fonction (FFI : faisant fonction d’interne et DIS : diplômés inter-universitaires de spécialités) qui sont en formation.

Quelle est la différence entre médical et paramédical ?

Les différences au niveau des fonctions – Les professions médicales désignent l’ensemble des corps de métiers qui soignent ou qui préviennent les maladies grâce à des produits médicamenteux, Autrement dit, le médical prévient, diagnostique et traite les maladies via des médicaments.

  1. Les métiers “médicaux” sont d’ailleurs les seuls à pouvoir fournir des ordonnances ou des prescriptions (sauf cas particulier).
  2. Les métiers du paramédical, quant à eux, accompagnent les professionnels du secteur médical dans l’exercice de leurs métiers afin d’optimiser leurs services.
  3. De ce fait, leur acte dépend de la prescription d’un médecin.

Ainsi, le paramédical est destiné à soigner, à préparer et à rééduquer les patients. Il prodigue des soins seulement sous prescription médicale.

C’est quoi la profession médicale ?

L’exercice de la médecine comprend, notamment, la consultation médicale, la prescription de médicaments ou de traitements, la radiothérapie, la pratique des accouchements, l’établissement et le contrôle d’un diagnostic, le traitement de maladies ou d’affections.

Quel est le métier qui paye le plus en médecine ?

Métier n°1 : Anesthésiste-réanimateur.

Qu’est-ce qu’un bon professionnel de santé ?

Qualités essentielles – Les professionnels de la santé doivent posséder d’excellentes habiletés relationnelles et communicationnelles (entregent, tact, empathie, respect, etc.), le sens du devoir, de l’engagement et de l’observation, ainsi qu’une excellente dextérité.

Pourquoi devenir professionnel de santé ?

25 juin 2013 | Québec Il y a de nombreuses raisons pour choisir de faire carrière dans le domaine de la santé. Ceux qui sont présentement en poste vous diront sans doute qu’il s’agit d’un travail valorisant, qu’ils évoluent dans un milieu de travail unique, qu’ils ont une carrière passionnante et qu’ils ont l’occasion de sauver des vies et des gens sur une base quotidienne.

  • En deux mots, c’est une carrière qui fait du bien.
  • Les gens qui choisissent un métier dans les soins de santé aiment généralement aider les gens et relever des défis,
  • Ils utilisent les dernières avancées technologiques et profitent de nombreuses possibilités d’apprentissage,
  • De plus, les salaires sont bons.

Comme si ce n’était pas suffisant, les perspectives d’emploi sont généralement excellentes puisque les professionnels qualifiés sont présentement recherchés à cause, notamment, du vieillissement de la population qui engendre un besoin accru de services de santé.

  • Le réseau de la santé et des services sociaux au Québec devrait d’ailleurs recruter entre 13 000 et 22 000 personnes annuellement pour les années à venir.
  • Il ne faut pas oublier qu’il y a présentement une pénurie de professionnels de soins de santé, en particulier chez les médecins et le personnel infirmier,
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En raison du vieillissement de la main-d’œuvre, beaucoup de professionnels en soins de santé prendront leur retraite pendant la prochaine décennie. Par conséquent, des milliers de personnes devront être recrutées d’ici 2020 uniquement pour pallier ce manque.

Autre bonne nouvelle pour les étudiants qui ont complété leur formation, Statistique Canada nous informe que dans les deux années suivant leur graduation, la plupart des diplômés des programmes d’études en santé se trouvent un poste à temps plein et remboursent leurs prêts. Ces diplômés ont tendance à passer rapidement au marché du travail étant donné que leurs compétences sont très en demande.

Deux ans après l’obtention du diplôme, plus des trois quarts des diplômés en santé travaillent dans le domaine de la santé et d’autres travaillent dans des domaines connexes. Pour travailler dans le secteur de la santé, on s’attend à ce que les personnes aient certaines compétences personnelles notamment celles de :

démontrer de l’empathie et d’établir une relation de confiance avec les patients;travailler en équipe et de s’adapter à différentes situations;faire preuve de courtoisie, d’autonomie, d’initiative et de jugement;s’autoévaluer et de gérer son développement professionnel;démontrer de la dextérité manuelle;démontrer un bon sens de l’organisation;faire preuve de vigilance et d’un bon sens de l’observation;démontrer une capacité d’analyse et de synthèse ainsi que de la rigueur et un souci du détailfaire preuve de leadership.

Contrairement à ce qu’on pourrait croire, les professionnels de la santé ne travaillent pas que dans les hôpitaux puisque plusieurs occupent des postes de première ligne dans des centres jeunesse, des CLSC, des centres de réadaptation ou des centres d’hébergement de soins de longue durée, pour n’en nommer que quelques-uns.

Si une telle carrière vous intéresse mais que vous ne savez pas exactement quel métier choisir, vous pouvez faire du bénévolat pour déterminer le domaine qui vous intéresse le plus, passer quelques journées d’observation dans un hôpital ou un cabinet ou encore faire une recherche sur Internet afin d’explorer les différents programmes qui sont offerts.

À titre de rappel, le Collège CDI offre de multiples formations dans le domaine des soins de santé. Des formations qui conduisent à un DEP (diplôme d’études collégiales) ou à une AEC (attestation d’études collégiales). Alors que vous désiriez devenir infirmière auxiliaire, assistante dentaire, secrétaire médicale ou préposé aux bénéficiaires, les cours proposés vous permettront de faire carrière en développant les habiletés et les compétences qui sont en demande sur le marché du travail.

C’est quoi un bon soignant ?

Pratiquer l’art infirmier invite à déployer des connaissances et compétences multiples et variées ! Actif·ve au chevet du·de la patient·e, l’infirmier·ère exerce un jugement clinique afin d’élaborer un plan de soins par lequel il·elle va mettre en œuvre des interventions infirmières ou déléguer certaines techniques de soins aux aides-soignant·e·s. Doté·e d’un sens aigu de l’observation et d’une grande qualité d’écoute, il·elle mobilise ses qualités humaines et relationnelles (empathie, discrétion, respect, honnêteté) pour construire avec le·la patient·e une relation de confiance qui favorisera le diagnostic infirmier et le processus de soins. Confronté·e quotidiennement à des personnes en souffrance, il·elle doit pouvoir supporter des situations difficiles et répétitives, se distancier émotionnellement et réagir rapidement, avec calme et maîtrise de soi En tant que professionnel·le assurant l’interface entre le·la patient·e, son entourage et l’équipe pluridisciplinaire et médicale, l’infirmier·ère doit communiquer de manière claire et efficace, tant oralement que par écrit. Savoir structurer ses informations, rédiger des rapports, faire preuve d’assertivité et s’adapter à ses différent·e·s interlocuteur·trice·s sont des qualités précieuses. Il lui faut également un grand sens de l’organisation : travailler méthodiquement et rigoureusement, savoir planifier son travail en fonction des priorités et des urgences, déléguer le cas échéant La collaboration et le travail en équipe sont indispensables pour entourer au mieux le·la patient·e. Dans les différentes situations rencontrées, l’infirmier·ère doit pouvoir faire preuve d’autonomie et savoir prendre des initiatives dans les limites de ses compétences. De nombreuses règles s’imposent à lui·elle : cadre légal des actes infirmiers, règles déontologiques et éthiques, règles de l’institution en matière de sécurité, d’hygiène, de respect de l’environnement, ou simplement d’horaires. Autant d’éléments par rapport auxquels il·elle doit faire preuve de rigueur ! L’infirmier·ère doit faire preuve d’une grande résistance physique et mentale car il·elle est amené·e à travailler selon des horaires variés : tôt le matin, tard le soir, la nuit, le weekend, les jours fériés Les patient·e·s ont besoin de soins à tout moment ! Vous vous retrouvez dans ces qualités ? Le métier d’infirmier·ère est peut-être bien fait pour vous ! Copyright © 2017,

Qui est considéré comme personnel soignant ?

Le personnel soignant non médical ( infirmiers, aides-soignants, rééducateurs, psychologues, etc.) représente 69 % de l’ensemble des person- nels non médicaux, soit 764 000 emplois. Ils sont largement présents dans les hôpitaux publics, qui concentrent 72 % de ces emplois.

Comment Appelle-t-on celui qui a fait la santé publique ?

Agent de santé publique ou épidémiologiste.

Qui sont les professionnels de santé mentionnés à la quatrième partie du code de la santé publique ?

2° Le directeur général de l’offre de soins ou son représentant ; 3° Le directeur général de la santé ou son représentant ; 4 ° Le directeur de la Haute Autorité de santé ou son représentant ; 5° Le directeur de l’Union nationale des caisses de l’assurance maladie mentionnée à l’article L.

Qui dirige la santé publique au Québec ?

QUÉBEC, le 11 janv.2022 /CNW Telbec/ – Le premier ministre du Québec, François Legault, a annoncé aujourd’hui avoir été informé de la décision du directeur national de santé publique, Dr Horacio Arruda, de quitter ses fonctions.

Quelle entité gère les soins de santé au Québec aujourd’hui ?

La Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ) est responsable de la rémunération des médecins pratiquant dans le régime public.